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    Nous sommes certains que vous attaquez cette nouvelle année 2023, plein d’énergie, malgré l’augmentation du coût de l’énergie à prévoir tout au long de cette nouvelle année. Parmi vos résolutions pour la nouvelle année, vous avez peut-être pris la décision d’acheter un bien immobilier.

    Homelike Home vous dévoile les nouveautés 2023 en immobilier, afin de vous éclairer sur tous les changements à envisager.

    L’actualité des taux immobilier à l’horizon 2023 :

    C’est officiel, le taux d’usure a augmenté au 1er janvier 2023 et est passé de 3,05 % à 3,57 % pour les prêts sur 20 ans et plus ! Une hausse qui va permettre aux dossiers bloqués jusqu’ici par le taux d’usure d’être à nouveau finançables.

    Petit rappel sur la définition du taux d’usure. Le taux d’usure est le taux maximum auquel les banques peuvent prêter. Composé du taux d’intérêt de la banque, du coût de l’assurance, des frais de dossiers ainsi que de tous les frais liés au crédit immobilier, le TAEG (Taux Annuel Effectif Global) ne doit pas dépasser ce taux plafond d’usure. Fixé par la Banque de France tous les trimestres, le taux d’usure est calculé sur la base des taux moyens pratiqués par les banques durant les 3 derniers mois et augmentés d’un tiers. L’utilité du taux d’usure n’est pas toujours bien comprise. Il a pour objectif de protéger les emprunteurs contre des taux d’intérêts qui pourraient être abusifs et permet également d’éviter une situation de surendettement.

    Ce taux d’usure censé protéger les emprunteurs est devenu problématique depuis quelques temps. En effet, la hausse soutenue des taux d’intérêts amorcée depuis le début de l’année 2022 et un taux d’usure qui augmente, certes, mais à un rythme plus lent, ont fait que plusieurs dossiers d’emprunteurs se sont retrouvés bloqués, notamment au dernier trimestre 2022.

    Le relèvement du taux d’usure au 1er janvier 2023 va ainsi permettre à plusieurs dossiers bloqués jusqu’ici de redevenir solvables. Une fenêtre de tir à saisir donc pour les emprunteurs qui sont sur le point de concrétiser leur projet. Les chasseurs immobiliers tels que Homelike Home vérifie toujours la faisabilité d’un projet d’achat immobilier en amont, lors de la définition du cahier des charges par exemple.

    L’actualité de l’immobilier en 2023 :

    Passoires thermiques, Carnet d’information du logement, évolution de MaPrimeRénov’, prolongation du RGE qualification-chantier, DPE, Pinel… Le début d’année est riche en nouveautés pour les acteurs de l’immobilier.

     

    • Quid des passoires thermiques et conséquences du DPE ?

    En 2023, la réglementation concernant la location des passoires thermiques va se durcir. Ainsi, dès janvier 2023, les habitations consommant plus de 450 kWh / m2 par an en énergie finale ne pourront plus être mises à la location.

    À compter du 1er avril 2023, les vendeurs de logements individuels classés F et G devront obligatoirement fournir un audit énergétique, en plus des autres diagnostics.

    Par ailleurs, à compter du 1er janvier 2023, la vente ou la cession d’un logement devra être accompagnée d’un Carnet d’Information du Logement. Ce document est établi à la construction ou après la réalisation de travaux ayant un impact significatif sur la performance énergétique du bien immobilier.

    En 2025, ce sont les logements notés G qui seront eux aussi interdits à la location.

    En 2028, ce sont les logements classés F qui seront frappés de cette interdiction.

    Au total, 5 millions de logements classés F et G devront subir une rénovation énergétique sous peine d’être exclus du marché de la location immobilière. 

    De plus, les copropriétés de plus de 15 ans et comprenant plus de 200 lots devront instaurer un plan pluriannuel de travaux.

    La performance énergétique d’un bien peut diminuer considérablement sa valeur. Avec la mise en place du nouveau DPE,  la décote frise les 15% pour les biens immobiliers notés en G (passoires thermiques) en comparaison avec les maisons classées A (logement performant), notamment à Dijon, Reims, Rennes et Angers…Ces décotes sont moins importantes dans les grandes villes telles que Bordeaux, Lyon et sont de l’ordre de -5%.

    D’après le ministère du logement, près de 90 000 logements sont concernés. L’objectif de la loi est de pousser les propriétaires à faire des travaux pour mieux isoler les logements mais tous n’en ont pas les moyens et les entreprises de bâtiment sont souvent débordées.

    • La revalorisation des aides au logement :

    Un changement notable en matière de logement pour la prochaine année a trait à la revalorisation des aides au logement. Les ALS et APL sont revalorisées de + 3,5 %, l’effet étant rétroactif au 1er juillet 2022. Pour limiter l’augmentation des loyers, un « bouclier loyer » mis en place jusqu’au 30 juin 2023, plafonnant la hausse à 3,5 %.

    • Maintien du bouclier tarifaire :

    Le gouvernement souhaite maintenir les boucliers tarifaires sur l’énergie. La hausse des prix du gaz sera limitée à 15 % en janvier 2023 et celle de l’électricité sera limitée à 15 % en février 2023.

    Les ménages aux revenus modestes recevront également un chèque énergie, courant avril 2023, sans avoir de démarches à effectuer.

    • L’évolution du dispositif Pinel :

    L’avantage fiscal Pinel sera réduit pour les acquisitions signées après le 1er janvier 2023. Seuls les logements répondant aux critères du Pinel+ (haute performance énergétique, surface, présence d’un espace extérieur et double exposition) pourront continuer à bénéficier des taux pleins.

     

    • Disparition de la taxe d’habitation :

    Propriétaires occupants et locataires n’auront plus à s’acquitter de la taxe d’habitation sur leurs résidences principales, quel que soient le montant de leurs revenus.

    Les résidences secondaires restent soumises à la taxe d’habitation. Certaines communes pourront appliquer également une surtaxe !

    En revanche, la taxe foncière est bien maintenue, et pourrait même fortement augmenter dans des villes comme Paris, ou l’augmentation sera de + 52%.

     

     

    Voici donc un panorama des principales modifications à envisager en matière immobilier, pour l’année 2023. Quid de la diminution des prix ?

    Pour l’instant, il est trop tôt pour se prononcer, mais il est certain que les logements avec un mauvais DPE, vont voir leur prix de vente diminuer.

    On s’attend cette année 2023, à vivre une baisse des prix de l’immobilier. La faute à l’inflation qui réduit le pouvoir d’achat des acquéreurs, mais aussi la hausse des taux d’intérêts. En effet, emprunter pour acheter un bien coûtera plus cher en 2023, qu’en 2021.  Les grands réseaux comme la FNAIM anticipent une chute des prix entre – 5 et – 10 % en moyenne pour 2023. Logiquement, l’apport personnel nécessaire pour acquérir un bien augmente et toute hausse des taux d’emprunt va diminuer la part des ménages dits « solvables » !

    Acheter un bien immobilier nécessite d’être bien accompagné, notamment par un chasseur immobilier qui défend les intérêts de l’acheteur, afin d’acheter au bon prix, et de savoir aussi anticiper les travaux à envisager, aussi bien sur le bien immobilier que dans la copropriété.

     

     

    Homelike Home et Homelike Office vous souhaitent une très belle année 2023, placée sous le signe de l’immobilier.

    Un début d’année 2023 placée sous le signe d’un achat immobilier avec notamment le taux d’usure revu à la hausse à partir du 1er janvier 2023. Le taux d’usure est passé de 3,05 % à 3,57 % pour les crédits immobiliers sur 20 ans et plus.

    Dans un climat d’inflation et donc de hausse des taux d’intérêt, la croissance du marché immobilier devrait se maintenir, mais à un rythme plus lent. Ainsi, les prix devraient continuer à augmenter en France en 2023. Ainsi, on estime à + 3 % la croissance des prix en 2023 sur l’ensemble du territoire français. Toutefois, cette augmentation générale des prix cachent de grandes disparités.

    Un conseil, une résolution pour cette nouvelle année 2023, faites appel à la meilleure équipe de chasse immobilière en France, Homelike Home, pour dénicher le bien immobilier de vos rêves. Un conseil : profitez de ce début d’année pour emprunter le plus rapidement possible….

    Toute l’équipe Homelike Home vous souhaite de très belles fêtes de fin d’année et a hâte de vous retrouver en pleine forme pour des missions de chasse immobilière en 2023.

     

    En attendant, profitez de vos familles, profitez des vacances si vous êtes en congé et surtout revenez en pleine forme…

     

     

     

     

     

    Nous aussi chez Homelike Home, on a notre Emilie in Paris…mais c’est plutôt Emilie in Paris EST, de Montreuil à Nogent sur Marne, en passant par Vincennes, Saint-Maurice, Champigny, sans oublier le Pré Saint-Gervais. Cette fois-ci c’est au Tour d’Emilie de vous présenter ses centres d’intérêts et surtout comment elle a décidé de devenir chasseur immobilier chez Homelike Home

     

    1- En quelques mots, ton parcours ?

    J’ai un parcours dit « atypique » puisque j’ai suivi plusieurs formations dans des univers différents tels que la communication et le marketing, le tourisme, la bijouterie/joaillerie mais aussi la musique.

    J’ai également vécu et travaillé en Australie, en Nouvelle-Zélande et au Canada, ce qui m’a permis de développer une certaine polyvalence.

     

    2- Comment es-tu devenue « dénicheuse d’apparts » ?

    Depuis plus de 4 ans, je réalise des visites virtuelles dans le secteur de l’immobilier et pendant le confinement, j’ai suivi une formation en décoration d’intérieur afin de compléter mes compétences dans ce domaine. J’ai rencontré une dénicheuse d’appartements de l’équipe Home Like Home qui m’a présentée auprès de Christine et ensuite tout s’est enchaîné naturellement.

     

    3- D’où viens-tu ?

    Je suis née dans le Val de Marne et j’habite à Montreuil. Un retour aux racines puisque ma grand-mère y a vécu de nombreuses années.

    Je suis très attachée à cette ville singulière. Cependant, j’ai été très jeune attirée par les voyages. Mon premier métier fut celui d’agent de voyages ; ce qui m’a permis de découvrir de nombreux pays. J’ai longtemps été nomade mais j’apprécie depuis quelques années le fait de créer un « chez soi » douillet et rassurant.

     

    4- Pourquoi avoir choisi Paris Sud-Est ?

    Tout simplement parce que c’est la région que je connais le mieux. Ma famille y vit et je suis continuellement en shooting photos et visites virtuelles dans ce secteur.

     

    5- Grâce à ton métier, tu explores Paris Est en long, en large, et en travers…Mais si tu étais un quartier, un seul, tu serais ? 

    J’aime particulièrement ma ville et mon quartier (Solidarité/Carnot). Je suis à proximité d’une vie culturelle trépidante mais également à quelques pas du bois de Vincennes pour y trouver calme et sérénité.

     

    6- Et une rue en particulier ? 

     

    La rue Carnot pour le très petit mais néanmoins convivial marché de la place Carnot, le bar la Grosse mignonne pour prendre un verre en terrasse et apprécier de la musique Live, et le calme de ce quartier résidentiel.

     

    7- Si tu étais un parc ou un jardin ?

    Je suis citadine mais j’aime également les grands espaces. Je serai donc le plus grand bois à proximité : le bois de Vincennes où l’on peut pratiquer la marche à pieds mais aussi des balades en barque l’été !

     

     

    8- Une boutique ?

    La mienne ! 😊 Je suis en effet – à mes quelques heures perdues –  créatrice d’objets insolites… Je transforme de vieux objets oubliés pour leur donner une seconde vie, comme par exemple des téléphones ou des appareils photos détournés en lampes.

    9- Un objet déco ?

    Et bien pourquoi pas une de mes créations ! Une suspension réalisée avec un pavillon de gramophone, comme un clin d’œil avec mon autre passion pour la musique !

     

    10- Un restaurant ?

    Un restaurant de cuisine Africaine pour m’évader quelques instants …

     

     

     

     

    11- Et si tu étais un style de maison ?

     

    J’hésite… Je serai probablement une maison d’architecte de plain-pied avec de grandes baies vitrées et un toit terrasse. Cependant, j’affectionne particulièrement les maisons anciennes style belle époque.

     

    12- De toutes tes recherches, quelle est celle dont tu es la plus fière ?

    La prochaine !

     

    13- Et celle qui te semblerait la plus difficile ?

    Je pense qu’aucune recherche n’est simple, d’où l’importance de notre rôle en tant que chasseur immobilier.

     

    14- Qu’aimes-tu particulièrement dans ton métier ?

    Le contact avec la clientèle et le challenge. Tout mettre en œuvre pour dénicher la perle rare qui permettra au client de trouver son chez soi et de s’y sentir bien.

     

    15- Et si tu devais en changer tu serais ? 

    Ce serait un métier qui n’aurait rien à voir, costumière ou créatrice d’objets de décoration.

     

    16- Allez, dernière question ! Si tu devais changer quelque chose dans l’Est Parisien, ce serait… ?

     

    C’est compliqué et d’ordre politique donc un sujet sensible … mais il s’agirait en particulier de trouver un juste équilibre entre la mobilité douce et les automobilistes.

     

    Une envie de maison dans l’est Parisien, avant que les prix ne s’envolent avec l’arrivée de la ligne de Métro 15 Est, qui fera la liaison entre Saint-Denis et Champigny, à l’horizon 2030. Faites appel à Emilie from Homelike Home Paris Est. Emilie se fera un plaisir de dénicher votre futur home sweet home, ou  tout simplement, un investtissement locatif dans l’est parisien

    La Fête des Lumières tire son origine de l’inauguration de la statue de la Vierge dorée à Fourvière. En temps, qu’ancienne lyonnaise, il était indispensable que nous partagions quelques photos de cet événement exceptionnel, qui rassemble de nombreux lyonnais et touristes. Alors, découvrez la ville lumière en images …

    Pourquoi fête-t-on le 8 décembre à Lyon ?

    Le 8 décembre, jour de la fête de l’Immaculée Conception, fut choisi, en 1852, pour inaugurer la statue de la Sainte Vierge posée sur le clocher de l’ancienne chapelle de Fourvière, inauguration qui aurait dû avoir lieu le 8 septembre précédent, mais qui fut reportée au 8 décembre en raison d’une crue de la Saône qui a inondé l’atelier du sculpteur Fabisch. Ce 8 décembre a été un jour pluvieux avec une mauvaise météo, mais la fête a pu commencer comme par miracle. En remerciement, les lyonnais posèrent une petite bougie sur le rebord des fenêtres. La tradition était née…tous les 8 décembre depuis, le geste se perpétue et ainsi la ville brille de mille feux. De quoi rendre fiers ses habitants ébahis par le spectacle lumineux dans le froid de l’hiver.

    Depuis quelques décennies, la tradition a peu à peu laissé place à une immense fête populaire avec des centaines de milliers de personnes qui déambulent dans les rues, pour admirer les tableaux lumineux projetés sur les façades et monuments.

     

    Comment Lyon est-elle devenue au XXIème siècle une ville baignée de lumière ? 

    C’est en 1989 que la ville s’est dotée de son tout premier Plan lumière. Le but était de créer un paysage nocturne, en illuminant certains bâtiments de Lyon. Le maire de l’époque, Michel Noir a mis en place « le plan Lumière de Lyon » , qui transforme la ville brumeuse en belle-de-nuit. Conçu par le service d’éclairage public de Lyon, ce premier Plan a permis de mettre en lumière 300 bâtiments architecturaux du centre-ville. Il a ainsi permis de redorer l’image du centre-ville.

    En éclairant progressivement les premiers sites de Lyon, le Plan Lumière a changé le paysage nocturne et met ainsi en valeur la cité, son patrimoine, sa topographie et ses grandes artères du centre-ville.

    D’une fête populaire tous les 8 décembre en l’honneur de la Vierge Marie depuis l’épidémie de peste de 1643, la Fête des Lumières à Lyon est devenue une fête internationalement connue, et qui a considérablement transformé l’image de la ville, à la fois au niveau national, mais aussi à l’international. Actuellement, on estime que l’événement rassemble en moyenne 500 000 personnes par jour.

    Le 8 décembre est devenu, à partir de 1999, la Fête des Lumières que nous connaissons, qui dure aujourd’hui 4 jours et attire des visiteurs venus du monde entier.

    Le second Plan Lumière mis en place en 2004 constitue un changement : il s’est étendu à d’autres quartiers. Ce n’est plus le simple embellissement des centres villes, mais la création d’« ambiances lumineuses », propres à chaque quartier.

     

    L’édition 2022 de la traditionnelle Fête des Lumières s’est déroulée du 8 au 11 décembre, dans les différents arrondissements de Lyon. Vous avez aimé ces photos qui vous ont peut-être donné envie de découvrir encore davantage cette jolie ville de Lyon et d’acheter un appartement lyonnais, un pied à terre, une maison en plein coeur de Lyon. Sophie Henon de Homelike Home Lyon est à votre service pour dénicher votre futur Home Sweet Home lyonnais. Contactez-nous.

     

    Le temps est à l’économie et notamment à l’économie d’énergie. Alors pas facile de profiter de sa résidence secondaire ou résidence semi-principale dans le Perche, en Normandie ou en Bretagne, sans voir sa facture de gaz et/ou d’électricité grimper en flèche.

     

    La facture d’électricité et de gaz ont tendance à enfler d’année en année, entraînant une réduction du pouvoir d’achat des ménages. Cependant, une partie de cette consommation peut être évitée. Entre le gaspillage et le manque d’entretien, il existe des gestes et réflexes efficaces et à effet immédiat sur les factures.

    Alors voici quelques astuces et conseils pour continuer à profiter de sa résidence secondaire à l’approche de cet hiver…

    1- Opter pour un contrat fixe avec votre fournisseur d’énergie :

    En signant un contrat d’énergie fixe, le prix du kWh restera le même tout au long de votre abonnement, quels que soient les aléas du tarif énergétique. Vous pourrez ainsi contourner les hausses du prix du gaz et de l’électricité attendues cet hiver.

     

    2 – Se chauffer à une température idéale :

    Le chauffage est souvent le 1er poste de consommation énergétique. C’est pourquoi, pour économiser l’énergie, il vaut mieux chauffer au plus près de ses besoins réels. Il faut aussi penser à couper ou réduire au maximum le chauffage dans les pièces où on vit moins.

    Réduire la température de 1 degré permet de réaliser en moyenne 7 % d’économie sur la facture de chauffage. Une bonne raison de mettre un pull ! Vous en avez assez de porter toujours le même pull, voilà une jolie idée de cadeau pour Noël….

     

    3- Programmer ou régler son chauffage à distance :

    Pour éviter les gaspillages d’énergie, programmer et planifier la température de son logement est un atout non négligeable. C’est possible grâce à un thermostat programmable ou connecté. Ainsi, le chauffage fonctionne uniquement pendant les périodes d’occupation de sa maison.

    Il est possible de programmer différemment chaque jour de la semaine et donc d’adapter une température spécifique pour la nuit par exemple. Les fonctions de régulation de ces thermostats permettent de diminuer jusqu’à 20 % sa consommation d’énergie

     

    4- Optimiser la diffusion de la chaleur de vos radiateurs :

    Pour pouvoir chauffer une pièce efficacement, les radiateurs doivent disposer de suffisamment de place autour d’eux afin d’assurer la circulation de l’air. Il faut donc éviter de poser des objets dessus, ou de positionner des meubles devant, car ceux-ci absorbent l’énergie thermique et empêchent la diffusion de la chaleur.

    Il faut également penser à entretenir les radiateurs, en les dépoussiérant deux fois par an, et en les purgeant une fois par an, au moment de leur entrée en service au début de l’hiver, afin d’en vider les bulles d’air.

     

    5- Entretenir sa chaudière :

    L’entretien de sa chaudière, que vous soyez locataire ou propriétaire, est obligatoire une fois par an. La révision de sa chaudière est une obligation légale qui permet, indépendamment de l’aspect sécuritaire de la démarche, de réaliser 8 à 12 % d’économies sur sa facture de gaz ! Elle doit, bien entendu, être réalisée par un professionnel pour garantir un chauffage sûr et efficace.

     

    6- Régler la bonne température pour le chauffe-eau :

    Régler la température de l’eau à 55°,  voire 60 ° est largement suffisant. Par ailleurs, plutôt que des bains, optez pour les douches. En effet, une douche consomme de 30 à 60 litres, versus 150 à 200 litres d’eau pour un bain ! C’est 3 à 5 fois plus de volume d’eau. Alors, convaincu par l’usage de la douche ?

     

    7- Débrancher les appareils en mode veille :

    C’est aujourd’hui l’un des principaux postes de gaspillage énergétique, tant les appareils équipés d’un mode veille sont devenus nombreux. On en compte entre 15 et 50 par foyer, et la consommation globale de ces appareils a augmenté de 30 % depuis ces dix dernières années. Le coin hi-fi et les appareils multimédias, en particulier, sont de plus en plus nombreux à disposer d’une connexion permanente à internet, ce qui implique un mode veille très friand en électricité.

     

    8- Prendre soin de ses appareils électro-ménagers courants tels que, réfrigérateur, lave linge, sèche linge…

    Un réfrigérateur consomme presque 400 kWh par an en moyenne, tandis que le congélateur en consomme en moyenne 550 kWh. Comme pour le lave-linge et le sèche-linge, le 1er facteur de consommation d’électricité tient bien sûr dans la fréquence d’utilisation. Le sèche-linge, en particulier, consomme en moyenne deux fois plus d’énergie que le lave-linge, et il est donc indiqué de faire sécher son linge sur un étendage quand on le peut.

     

    9- Utiliser intelligemment les heures creuses pour réduire la facture d’électricité :

    Un ménage  disposant d’un contrat d’électricité en heure creuse et heur pleine , devrait penser à faire tourner son électro-ménager si possible pendant les heures creuses, quand le prix de l’électricité est sensiblement moins cher. Les plages horaires des heures creuses dépendent de la localisation et peuvent s’étendre sur le début d’après-midi et la nuit, ou seulement la nuit, pour une durée de 8 heures au total.

     

    10- S’équiper d’appareils électroménagers et ampoules à faible consommation d’énergie :

    Outre le caractère écologique d’une telle démarche, s’équiper en appareils électriques à faible consommation permet de réduire efficacement sa facture d’électricité annuelle.  À l’achat, il est utile de bien vérifier l’efficience énergétique des appareils électriques. C’est un peu comme le DPE pour un logement.

     

    11- Adopter un comportement économe dans la salle de bain :

    Il existe des gestes simples dans la salle de bain qui permettent de réduire la facture d’électricité et de gaz.

    Ainsi, un robinet qui goutte, c’est 35 000 litres d’eau consommés pour rien chaque année.

    De même aérer après l’utilisation de la SDE ou SDB est indispensable.

     

    12- Changer de fournisseur pour réduire le prix du kWh :

    Depuis 2007 et l’ouverture des marchés de l’électricité et du gaz à la concurrence, alléger sa facture d’énergie annuelle n’a jamais été aussi simple. Les consommateurs ne sont plus obligés de souscrire aux tarifs réglementés des fournisseurs historiques et peuvent changer très facilement de fournisseur !

     

    13- Surveiller l’étanchéité de son logement :

    Les ouvertures telles que les portes et les fenêtres représentent environ 15 % des déperditions d’énergie dans une maison, et une part nettement plus significative en appartement. Pour réduire les pertes de chaleur, il faut penser à fermer systématiquement les volets de vos fenêtres la nuit, et envisager d’investir dans des rideaux isolants. Ces deux bonnes pratiques permettront de réduire les déperditions d’énergie d’au moins 15 à 30 % .

     

    14- Aérer régulièrement :

    Pour autant, veiller à l’étanchéité de l’habitation ne signifie pas qu’il faut cesser d’aérer. Pour conserver un environnement sain et renforcer la sensation de chaleur, il est recommandé d’ouvrir les fenêtres en grand au moins 10 minutes par jour, ce qui permet d’évacuer l’humidité. Le mieux est bien sûr d’aérer en journée, quand les températures sont plus clémentes. En revanche, la nuit, en hiver, fermer les rideaux ou les volets permet de conserver la chaleur accumulée dans la journée.

     

    15- Enfin, utiliser une cheminée ou un poêle à bois :

    L’installation d’un insert à bois ou à granulés offre de nombreux avantages : économies d’énergie, confort et sécurité. Il permet notamment d’augmenter le rendement de votre cheminée jusqu’à 70 %. De plus, il est éligible à plusieurs aides écologiques. Prime énergie, crédit d’impôt transition énergétique, TVA réduite

    On constate que les montants mobilisables sont conditionnés aux revenus mais se chiffrent le plus souvent en milliers d’euros. On note également que les inserts sont moins bien subventionnés que les poêles, malgré une augmentation des aides en 2022 et des performances comparables.

    Logement existant : Les aides publiques se focalisent sur les logements de plus de 15 ans qui sont aussi les plus énergivores. Les aides privées concernent les habitations de plus de 2 ans, mais il n’existe aucune aide pour le neuf.

    C’est quoi les Primes Énergie ?

    Depuis janvier 2019, tous les particuliers, propriétaires ou locataires, sont éligibles à la Prime énergie. En revanche, seul le commanditaire des travaux pourra bénéficier du montant de la Prime Energie.

    Une Prime Energie permet de payer des dépenses dans le cadre de travaux visant à améliorer les performances énergétiques d’un logement, comme le remplacement de son chauffage ou dans le cadre de travaux d’isolation par exemple. Elle est versée par les signataires de la charte « Coup de pouce », c’est-à-dire principalement par les fournisseurs d’énergie. La Prime Energie peut être demandée jusqu’au 31 décembre 2022. Pour pouvoir bénéficier de la Prime Energie, le particulier doit impérativement faire sa demande avant que le devis pour les travaux qu’il souhaite réaliser soit accepté.

    Le montant de la prime dépend de deux éléments :

    • La nature des travaux réalisés
    • Les revenus du ménage

    En attendant, si vous êtes à la recherche d’une maison de campagne dans le Perche, en Normandie ou en Bretagne mais aussi dans le sud de la France, ou d’une résidence semi-principale, notre équipe de chasseurs Homelike Home est à votre service pour dénicher la maison de vos rêves, tout en prêtant attention à la bonne isolation de votre futur maison, mais aussi au mode de chauffage existant. Contactez-notre équipe Homelike Home, et visitez de votre fauteuil en limitant vos déplacements inutiles.

     

     

    Chez Homelike Home, on adore présenter une nouvelle personne de l’équipe de chasse immobilière Homelike Home, à travers son portrait chinois. Cet exercice, pas toujours facile, vous permet de mieux comprendre la personnalité de nos chasseurs immobiliers. Aujourd’hui c’est au tour de Marguerite de nous faire découvrir sa belle région de la Bretagne, et notamment Rennes et ses environs. Parisienne d’origine, Marguerite a posé ses valises en Bretagne Nord depuis 10 ans déjà, et a toujours travaillé dans les métiers de service. Alors si « la Bretagne, ça vous gagne », Marguerite se fera un plaisir de dénicher votre futur Home Sweet Home grâce à Homelike Home.

     

    1- En quelques mots, ton parcours ?

     Après 10 ans à Paris, nous nous sommes installés à Rennes avec mon mari pour élever nos enfants. Nous aimons dénicher des biens avec du potentiel et les retaper.
    Mais entre les enfants, les travaux et le travail, il fallait choisir! C’est ainsi que par l’intermédiaire d’une amie j’ai fait la connaissance de Dominique Guenin, associée chez Homelike Home, et cela m’a paru une évidence : rejoindre Homelikehome !

    2- Comment es-tu devenue « dénicheuse d’apparts » ?

    Après avoir obtenu mon diplôme d’infirmière j’ai travaillé 10 ans dans différents services de soins.

    Mais conjuguer le métier d’infirmière avec vie de famille et horaires décalés n’ était plus possible.

    Je me suis tournée alors vers mon autre passion : l’IMMOBILIER et j’ai surtout découvert les spécificités du métier de chasseur immobilier.

    Visiter, imaginer, prospecter, je le fais déjà pour moi alors pourquoi pas pour vous ?

    3- D’où viens-tu ?

    J’ai grandi à Poitiers jusqu’à l’âge de 16 ans! Mes parents souhaitaient finir leurs carrières en Bretagne ( et ils ont alors décidé de déménager à Vannes!
    J’ai trouvé un accueil très chaleureux dans cette ville de Vannes et des amis incroyables qui le resteront à vie ! Mais la Bretagne a ses limites, alors pour les études et le premier travail, direction la capitale! Je suis restée 10 ans à Paris où j’ai d’ailleurs rencontré mon mari, breton d’origine, avant de revenir m’installer, cette fois en famille, à Rennes.

     

    4- Pourquoi avoir choisi la Bretagne Nord ?

     Ah, épouser un breton, vous ramène toujours au pays…Mon mari a obtenu un poste, après ses études à Paris,  dans sa ville natale : Rennes. Il m’a fait découvrir sa région de coeur, la Bretagne Nord . Paimpol, en particulier mais aussi les week-ends sur la côte d’Émeraude, Saint Malo, Dinard, Cancale… je me suis attachée à cette magnifique région.

    Ai-je le droit de dire … que je suis devenue ( presque) bretonne?

    5- Grâce à ton métier, tu explores La Bretagne Nord et la région de Rennes en long, en large, et en travers…Mais si tu étais un quartier, un seul, tu serais ? 

    La Place des Lices à Rennes! Avec ces colombages aux multiples couleurs, son marché qui s’anime le samedi matin ,les bars le soir.. Ce marché est véritablement le coeur battant de la ville de Rennes.

     

    6- Et une rue en particulier ? 

     Les rues de Saint Malo intra-muros ! Elles sont incroyables et bouleversantes, on s’imagine facilement la vie que les habitants d’autrefois avaient. J’ai lu un livre : « Ces messieurs de Saint Malo  » de Bernard Simio , qui relate de l’époque des corsaires et l’heure de gloire de cette ville…Se promener dans les rues de l’intra-muros c’est comme  remonter un peu le temps!

     

    7- Si tu étais un parc ou un jardin ?

     Le parc du château de la Roche Jagu! Dans l’estuaire du Trieux près de Paimpol. Imaginez un château féodal sur un promontoire rocheux qui domine le fleuve… son jardin arboré avec des espèces d’arbres et de plantes variés, sa palmeraie qui descend en terrasse sur le fleuve. L’entrée du château est payante mais le jardin est en accès libre, alors allons flâner ensemble!

    8- Une boutique ?

    une agence immobilière ?
    Les boutiques de décoration en général sans pour autant en avoir une favorite.

     

    9- Un objet déco ?

     ​​​​​​Des tableaux de peinture! je suis fascinée par le talent et le savoir-faire des peintres!  Les rue de Paimpol, lieu de vacances pour moi,  sont truffées de petite boutique d’artistes près du port, je suis comblée par ces artistes!

    10- Un restaurant ?

     un restaurant de fruits de mer bien évidemment.

    11- Et si tu étais un style de maison ?

     Une maison ancienne, avec des colombages, des petits carreaux et des murs qui ne sont jamais droits. Vous l’aurez compris, j’aime la vieille pierre, les maisons chargées d’histoire, avec des anecdotes à raconter. Et on peut dire qu’ en Bretagne, je suis comblée.

    12- De toutes tes recherches, quelle est celle dont tu es la plus fière ?

    La prochaine !

     

    13- Et celle qui te semblerait la plus difficile ?

    Aucune, nous avons chez Homelike Home un cahier des charges et une charte déontologique qui garantit à nos clients une écoute et des réponses sur-mesure. Nous avons aussi à cœur de travailler en transparence avec tous les interlocuteurs du marché.

    Cependant il est vrai qu’une demande qui irait à l’encontre de l’environnement patrimonial et naturel serait pour moi, éthiquement parlant compliquée.

     

    14- Qu’aimes-tu particulièrement dans ton métier ?

    Rencontrer les clients et écouter leur projet de vie. Ainsi, je peux cerner leurs choix, me l’approprier et me lancer dans la recherche de leurs rêves. J’ai toujours aimé les métiers de service et aider les gens en général. Je suis d’ailleurs passer d’infirmière à chasseur immobilier sans me poser de questions, car être au service d’une personne donne du sens à ma vie.

     

     

    15- Et si tu devais en changer tu serais ? 

     Aucune idée puisque je ne compte certainement pas en changer !

     

     16- Allez, dernière question ! Si tu devais changer quelque chose en Bretagne Nord, ce serait… ?

    La météo? Quoique….. la réputation (loin d’être fondée d’ailleurs) d’être un endroit humide et venteux, nous protège d’un flux touristique trop important, enfin pour l’instant, car avec le réchauffement climatique, on ne sait pas tout. Une seule chose est importante à mes yeux : Préserver le côté sauvage de la Bretagne Nord.

    En tous les cas, la Bretagne Nord a le vent en poupe. Notamment depuis les confinements et la mise en place du télétravail  où nous avons vu le prix des maison s’envoler. Si vous êtes à la recherche d’une maison en Bretagne, et notamment aux alentours de Rennes, Marguerite se fera un plaisir de dénicher votre future résidence principale,  secondaire, semi-principale ou même votre investissement locatif. Contactez-nous :  info@homelikehome.com

    La performance énergétique d’un bien peut diminuer considérablement sa valeur. Avec la mise en place du nouveau DPE,  la décote frise les 15% pour les biens immobiliers notés en G (passoires thermiques) en comparaison avec les maisons classées A (logement performant), notamment à Dijon, Reims, Rennes et Angers…Ces décotes sont moins importantes dans les grandes villes telles que Bordeaux, Lyon et sont de l’ordre de -5%.

    À Paris, le DPE  n’a pas encore d’impact significatif sur le prix des appartements. Le marché parisien étant encore un marché tendu, les acquéreurs restent moins regardants. De plus, La majeure partie des appartements parisiens (52% ces 12 derniers mois) présente une faible performance énergétique, avec des DPE E, F ou G, contre 31% à l’échelle de la France.

    Rappelons que depuis le 1er janvier 2022, le diagnostic de performance énergétique (DPE) figure sur les annonces immobilières.

    Ainsi, les prix de vente restent élevés mais les acquéreurs négocient beaucoup plus.

     

    Il faut distinguer les acheteurs qui souhaitent faire de leur nouvelle acquisition leur résidence principale, auquel cas la décote est moins importante, des investisseurs, pour qui le DPE a une énorme incidence. Ils ont besoin de savoir si leur futur bien immobilier pourra être loué sans problème dans le temps.

    Rappelons que dès le 1er janvier 2023, les passoires thermiques de la classe G seront interdites à la location, pour les pires notations.

    En 2025, tous les logements notés G seront concernés par cette interdiction de location.

    Les logements classés F le seront en 2028 et les logements avec l’étiquette E en 2034.

    Un impact plus important sur les maisons :

     

    Pour ce qui est des maisons, le DPE a un impact plus important sur leur prix que sur celui des appartements, car le coût des travaux d’isolation à envisager est souvent plus important. Les décotes peuvent atteindre jusqu’à – 15% dans ce cas.

    Rappelons que les maisons sont souvent de taille plus importantes que les appartements et que le coût d’entretien au quotidien en terme de chauffage notamment, est beaucoup plus important.

    Il est important de passer par un professionnel de l’immobilier tel que Homelike Home, pour obtenir des conseils et négocier plus facilement selon la note du DPE du bien immobilier  que vous venez de visiter.

     

    Vous avez peut-être eu la chance de partir au bord de la mer pour ce week-end du 11 novembre, en Bretagne ou en Normandie, avec des températures dignes d’un mois d’avril. Vous en avez peut-être profité pour goûter au plaisir du surf ou du kitesurf. On vous dit tout sur les meilleurs spots pour surfer en Bretagne, pour vos prochains week-ends ou vacances d’été.

     

    Le surf est plus que jamais à la mode, car on lui prête même des vertus thérapeutiques !

    En effet, le surf serait un moyen de se reconstruire. Ce sport aquatique permettrait d’atténuer les effets du trouble de stress post-traumatique, symptômes que l’on éprouve suite à une expérience douloureuse, qu’il s’agisse de difficultés physiques ou psychologiques.

    Rien que sur le plan physique, apprendre à tenir debout sur une planche est un véritable défi, surtout lorsque vous n’avez jamais surfé. Se relever, toujours en trouvant son rythme, tout comme l’on modulerait sa respiration, voilà l’une des épreuves, aussi bien physique que philosophique, que nous offre le surf.

    La zone d’action est limitée, la concentration doit être maximale, l’activité reste une activité solitaire et des compétences techniques sont nécessaires pour pratiquer ce sport. Cette équation entre les efforts physiques concrets qu’il nous faut fournir et une force abstraite, celle de l’environnement et des sensations qui nous submergent, mène à une sensation de bienêtre.

     

    De plus, le surf, comme toutes activités physiques, épuise le corps. Il permet ainsi de mieux dormir la nuit et s’avère d’une aide non négligeable pour les insomniaques, même les plus coriaces.

    Alors, pratiquez ce sport, contrairement à ce que l’on pense, ne se fait pas uniquement au Pays Basque ou dans les Landes. La Bretagne est devenue un « spot » de surf.

    La Bretagne est considérée comme l’un des 4 Paradis des surfeurs de la planète. Ses côtes sauvages sont moins fréquentées que la moyenne des plages où l’on surfe habituellement et les rendent uniques au monde.

    Homelike Home a identifié les principaux spots de Surf, aussi bien en Bretagne, Pays de la Loire, qu’en Bretagne sud et nord. 

    Le surf en Finistère : La Bretagne à la pointe !

    Du nord au sud, les spots de surf s’égrènent le long de la côte du Finistère. Par tous les temps, pour tous les niveaux, en toute saison, il est possible de pratiquer le surf.

    La Torche est sans équivoque LE meilleur spot de surf en Bretagne, mais de nombreux autres spots existent, et c’est cette diversité qui permet de surfer toute l’année en Bretagne, à condition de résister au froid ! Le spot de surf de la Torche a une position très avancée dans l’Atlantique, sans récif au large pour bloquer les déferlantes des belles vagues. Ces dernières sont connues pour leur longueur extraordinaire qui permet aux surfeurs les plus expérimentés de surfer pendant plusieurs minutes sur la même vague ! Les vagues peuvent atteindre jusqu’à 3,5 mètres les jours de grands vents.

    Guidel est un des spots de surf en Bretagne les plus courus par les surfeurs Bretons. Le site est situé à quelques kilomètres de Lorient et possède 3 spots dispersés sur 3 plages différentes : Les Kaolins, la Maeva et Le Loc’h. Le site est très réputé et ne peut être surfé qu’à marée basse. En effet, les courants de l’embouchure de la Laita rendent la pratique du surf difficile à marée haute.

     

    La presqu’île de Quiberon est un des sites de surf les plus réputés de Bretagne. Le site possède à ce titre l’une des zones les plus denses en spots de surf de toute la Bretagne. La ville de Plouharnel a d’ailleurs aussi été baptisée Ville du Surf. Les 4 plages les plus connues de la presqu’île de Quiberon sont,  Port Blanc, Port-Marie, Port-Rohu et Port-Bara. Cette dernière plage est la plus accessible pour tous les niveaux de surfeurs, à commencer par les débutants.

    Le spot de surf de l’Ile aux Vaches a longtemps été un spot secret connu uniquement par les locaux et quelques audacieux initiés. Le spot de surf est désormais l’un des plus réputés en Bretagne et réservé aux très bons surfeurs.

    Enfin, le spot de La Palue complète le top 5 des spots de surf de Bretagne.  Ce magnifique lieu sauvage posé entre deux falaises, est situé dans le Finistère, sur la presqu’île de Crozon. La plage de sable fin se déroule sur 2 km et reste moyennement fréquentée, en comparaison d’autres spots que nous avons évoqués.

     

    En Bretagne, Pays de la Loire, voici les principales plages pour surfer :

    La plage de la Govelle à Batz sur Mer, la plage des Libraires à Pornichet, la plage de Monsieur Hulot et de la Courance à Saint-Marc sur mer, sans oublier la plage de l’Hermitage à Saint-Brévin les pins…Sans oublier Belle-Île en Mer avec la plage du Donnant.

    De la côte de Jade à la Côte d’Amour, les vagues sont idéales à la pratique du surf, quel que soit votre âge, votre condition physique, ou votre connaissance de la discipline. La Loire-Atlantique toute entière peut être considérée comme une immense zone de repli lorsque ailleurs les conditions sont trop rudes. Cela sous-entend, que la meilleure période pour surfer en Loire-Atlantique sera l’hiver (de novembre à mars), là où les houles sont les plus fortes en Europe.

    Outre les houles importantes, la deuxième spécificité de la Loire-Atlantique est l’importance des marées. Étant donné qu’il y a un marnage important et des hauts-fonds au large de la côte, il est nécessaire de tenir compte des marées pour pouvoir surfer.
    La Baie de Pornichet à la Baule est particulièrement adaptée aux débutants. En effet, toutes les vagues déferlent sur des bancs de sable, ce qui limite grandement les risques liés à une chute sur un rocher.

    De Saint-Brévin à Préfailles, on retrouve dans cette zone une grande quantité de spots sur une trentaine de kilomètres. En règle générale, les récifs de cette zone sont compliqués à gérer pour des grands débutants et sont plus adaptés à des surfeurs aguerris. Les plages de Saint-Brévin sont bien adaptées aux débutants   et aux surfeurs voulant se perfectionner.

    Pour la partie Morbihan, on surfe à Quiberon ou à Erdeven, principalement.

     

    Après avoir listé les principaux spots de surf bretons, voici quelques exemples de prix au m2 pour acheter la maison qui vous permettra de surfer toute l’année ou presque !

    Sans aller jusqu’à donner tous les prix du littoral breton, surtout que les surfeurs se déplacent selon la météo, voici quelques exemples de prix à suivre…

    Dans le Morbihan  :

    À Plouharnel, il faut compter pour l’achat d’une maison, un prix moyen au m2 de 3883€.

    À Saint-Pierre Quiberon, les prix s’envolent avec un prix moyen au m2 de 4779 € pour l’achat d’une maison.

    À Erdeven, le prix moyen du m2 pour une maison est à 3579€.

    A Belle-île : 

    Sur la plage de Bangor, à proximité de la plage du Donnant, le prix moyen du m2 pour une maison atteind 4478€.

    Dans le Finistère :

    Pour la ville de Nevez avec le spot de surf de Dourveil, il faudra débourser 3195€/m2 pour l’achat de votre future maison. En moyenne, dans le Finistère, le prix moyen/m2 est de 3000 €, mais à ce prix là,  c’est sans avoir une vue sur la mer, bien entendu !

    En Bretagne – Pays de la Loire  :

    À Pornichet, il faut compter pour l’achat d’une maison, un prix moyen au m2 de 4540 €.

    À la Baule-Escoublac, on compte en moyenne 6060 € du m2 pour l’achat d’une maison.

    À Batz sur mer, les prix s’envolent avec un prix moyen au m2 de  4760 € pour l’achat d’une maison.

    À Saint-Brevin les Pins, le prix moyen du m2 pour une maison est à 3610 €.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Notre équipe Homelike Home Bretagne est à votre service pour dénicher la maison de vos rêves, aussi bien en Bretagne Sud, avec Nathalie Lalande, qu’en Bretagne Pays de la Loire avec Constance Arnaud, mais aussi Bretagne Nord avec Marguerite Gailly de Taurines…En attendant, profitez de ce week-end ensoleillé et contactez notre équipe Homelike Home pour votre futur achat en province.

     

     

     

     

     

    La période estivale a confirmé la solidité du marché des bureaux d’Île-de-France, malgré la mise en place du télétravail et un léger tassement de l’activité.

    Cependant, l’économie mondiale doit faire face à 3 chocs importants en 2022 : la crise sanitaire, qui n’est toujours pas jugulée et continue notamment de peser sur l’activité en Chine, la guerre en Ukraine et la crise énergétique, ainsi que l’envolée de l’inflation.

    En Europe, l’augmentation des prix à la consommation s’établirait à + 8,1 % en 2022 et à + 5,5 % en 2023. Avec l’énergie pour principale composante, l’inflation varie fortement selon les pays du vieux continent. Atteignant en moyenne 10 %, elle dépasse légèrement ce seuil en Allemagne (10,9 %) et en Belgique (12 %) tandis qu’elle explose aux Pays-Bas ( 17,1 %).

     

    Sur le marché de l’investissement de bureaux c’est l’attentisme qui domine :

    Trois milliards ont été investis depuis le mois de janvier 2022, portant à 8 milliards le total des sommes engagées, soit une baisse de -13 % par rapport à la moyenne des autres années.

     

    Avec 4,05 millions de m2 disponibles à la fin du 3ème trimestre 2022, soit un taux de vacance de 7,2 %, l’offre immédiate n’augmente que de +1 % sur le dernier trimestre.

    En 1ère Couronne, le niveau relativement faible de la demande et des rythmes de développement toujours importants se traduisent par une nette augmentation de près de + 20 % de l’offre disponible par rapport à la même période l’an passé. La tendance est également à la hausse en 2ème couronne.

    Dans ce contexte, et avec un taux de vacance inférieur à 4 %, Paris est décidément un marché à part, avec un peu moins de 200 000 m2 disponibles. À l’exception des arrondissements du Nord Est parisien, 75018, 75019 et 75020, l’offre demeure très réduite et a continué de décroître au 3ème trimestre 2022 dans la quasi-totalité des secteurs. ce qui explique que les prix dans l’immobilier de bureaux se maintiennent à la hausse dans Paris intramuros.

    Le prix du loyer moyen dans Paris atteint ainsi un nouveau record, s’établissant à 955 €/m2/an !

     

    Le Croissant Ouest et La Défense sont dans une situation un peu plus mitigée avec une offre conséquente de bureaux, avec au total, plus de 830 000 m2 de bureaux à livrer d’ici la fin de 2024, dont environ 70% sont encore disponibles. A l’inverse de Paris, il y a beaucoup plus d’offre que de demande, ce qui est tout à fait logique avec la mise en place du télétravail post confinements.

    Ralentissement de la croissance française et dynamisme du marché de l’emploi :

    En 2023, la croissance ne serait plus que de 0,5 % selon le scénario médian de la Banque de France.

    Après plusieurs mois de hausse, les prix à la consommation atteignent + 5,6 % à fin septembre 2022. En France, l’inflation atteindrait + 5,8 % sur l’ensemble de l’année selon la Banque de France, avant de diminuer à + 4,7 % en 2023.

    Le moral des ménages se ressent de cette dégradation du climat économique : l’indicateur de confiance a continué de se replier ces derniers mois (- 19 points entre janvier et septembre 2022) et atteint son point le plus bas depuis 2013 !

    Le marché de l’emploi a jusqu’à présent bien résisté à la dégradation du contexte économique. Cependant, les faillites d’entreprises sont quant à elles reparties plus fortement à la hausse au dernier trimestre 2022, avec près de 9 000 faillites enregistrées au 3ème trimestre 2022 , soit + 69 % sur un an.

    Le ralentissement de l’activité économique, le resserrement des conditions de financement et les difficultés de trésorerie des entreprises engendrées depuis la crise sanitaire, devraient amplifier ce phénomène en 2023.

    Les difficultés d’approvisionnement et la flambée des prix des matériaux devraient continuer de perturber les chantiers et engendrer des retards de livraison, tandis que les difficultés à commercialiser les nouveaux immeubles pourraient, dans certains secteurs, inciter leurs propriétaires à en décaler l’achèvement.

    Déséquilibre entre l’offre et la demande, due au fait que les vendeurs temporisent davantage avant de mettre leurs biens immobiliers sur le marché et il est peu probable que l’attentisme s’estompe.

    L’activité du marché de l’investissement pâtira pendant encore quelques mois de la nouvelle donne financière et de l’écart entre les attentes des vendeurs et ce que les acquéreurs sont prêts à débourser.

    Une correction des prix est néanmoins en train de s’opérer, ce qui devrait à terme donner plus de fluidité au marché et permettre de relancer certaines cessions.

    Le bureau reste malgré tout l’actif dominant, jouissant encore d’une réelle popularité quand l’immeuble est bien situé, bien loué, adapté aux nouveaux modes de travail et vertueux sur le plan environnemental. Si la demande reste assez vigoureuse, c’est en 2023 que la résistance du marché francilien sera réellement mise à l’épreuve compte tenu du ralentissement attendu de l’économie. Vous donnez des prévisions serait bien hasardeux et au-delà de nos compétences, mais en tous les cas l’immobilier de bureaux se maintient en termes de prix à Paris, contrairement à l’immobilier d’habitation qui laisse la place à de plus en plus de négociation.

     

    Une envie d’acheter un local commercial, de changer pour un bureau plus petit avec la mise en place du télétravail, ou bien tout simplement de délocaliser votre bureau en province, Homelike Office, présent sur le marché de la chasse de bureaux et locaux professionnels depuis 2014, vous évite les visites inutiles et surtout une perte de temps et d’énergie significative. Contactez-nous, Homelike Office saura dénicher votre futur bureau…

     

     

     

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