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Portrait Chinois de Emilie Vergne, pour Homelike Home Grand paris Est

Nous aussi chez Homelike Home, on a notre Emilie in Paris…mais c’est plutôt Emilie in Paris EST, de Montreuil à Nogent sur Marne, en passant par Vincennes, Saint-Maurice, Champigny, sans oublier le Pré Saint-Gervais. Cette fois-ci c’est au tour d’Emilie Vergne de vous présenter ses centres d’intérêts et surtout comment elle a décidé de devenir chasseur immobilier chez Homelike Home sur le Grand Paris.
1- En quelques mots, ton parcours ?
J’ai un parcours dit « atypique » puisque j’ai suivi plusieurs formations dans des univers différents tels que la communication et le marketing, le tourisme, la bijouterie/joaillerie mais aussi la musique.
J’ai également vécu et travaillé en Australie, en Nouvelle-Zélande et au Canada, ce qui m’a permis de développer une certaine polyvalence.

2- Comment es-tu devenue « dénicheuse d’apparts » ?
Depuis plus de 4 ans, je réalise des visites virtuelles dans le secteur de l’immobilier et pendant le confinement, j’ai suivi une formation en décoration d’intérieur afin de compléter mes compétences dans ce domaine. J’ai rencontré une dénicheuse d’appartements de l’équipe Home Like Home qui m’a présentée auprès de Christine et ensuite tout s’est enchaîné naturellement.
3- D’où viens-tu ?
Je suis née dans le Val de Marne et j’habite à Montreuil. Un retour aux racines puisque ma grand-mère y a vécu de nombreuses années.
Je suis très attachée à cette ville singulière. Cependant, j’ai été très jeune attirée par les voyages. Mon premier métier fut celui d’agent de voyages ; ce qui m’a permis de découvrir de nombreux pays. J’ai longtemps été nomade mais j’apprécie depuis quelques années le fait de créer un « chez soi » douillet et rassurant.

4- Pourquoi avoir choisi Paris Sud-Est ?
Tout simplement parce que c’est la région que je connais le mieux. Ma famille y vit et je suis continuellement en shooting photos et visites virtuelles dans ce secteur.

5- Grâce à ton métier, tu explores Paris Est en long, en large, et en travers…Mais si tu étais un quartier, un seul, tu serais ?
J’aime particulièrement ma ville et mon quartier (Solidarité/Carnot). Je suis à proximité d’une vie culturelle trépidante mais également à quelques pas du bois de Vincennes pour y trouver calme et sérénité.

6- Et une rue en particulier ?
La rue Carnot pour le très petit mais néanmoins convivial marché de la place Carnot, le bar la Grosse mignonne pour prendre un verre en terrasse et apprécier de la musique Live, et le calme de ce quartier résidentiel.

7- Si tu étais un parc ou un jardin ?
Je suis citadine mais j’aime également les grands espaces. Je serai donc le plus grand bois à proximité : le bois de Vincennes où l’on peut pratiquer la marche à pieds mais aussi des balades en barque l’été !

8- Une boutique ?
La mienne ! 😊 Je suis en effet – à mes quelques heures perdues – créatrice d’objets insolites… Je transforme de vieux objets oubliés pour leur donner une seconde vie, comme par exemple des téléphones ou des appareils photos détournés en lampes.

9- Un objet déco ?
Et bien pourquoi pas une de mes créations ! Une suspension réalisée avec un pavillon de gramophone, comme un clin d’œil avec mon autre passion pour la musique !

10- Un restaurant ?
Un restaurant de cuisine Africaine pour m’évader quelques instants …

11- Et si tu étais un style de maison ?
J’hésite… Je serai probablement une maison d’architecte de plain-pied avec de grandes baies vitrées et un toit terrasse. Cependant, j’affectionne particulièrement les maisons anciennes style belle époque.

12- De toutes tes recherches, quelle est celle dont tu es la plus fière ?
La prochaine !
13- Et celle qui te semblerait la plus difficile ?
Je pense qu’aucune recherche n’est simple, d’où l’importance de notre rôle en tant que chasseur immobilier.
14- Qu’aimes-tu particulièrement dans ton métier ?
Le contact avec la clientèle et le challenge. Tout mettre en œuvre pour dénicher la perle rare qui permettra au client de trouver son chez soi et de s’y sentir bien.
15- Et si tu devais en changer tu serais ?
Ce serait un métier qui n’aurait rien à voir, costumière ou créatrice d’objets de décoration.
16- Allez, dernière question ! Si tu devais changer quelque chose dans l’Est Parisien, ce serait… ?
C’est compliqué et d’ordre politique donc un sujet sensible … mais il s’agirait en particulier de trouver un juste équilibre entre la mobilité douce et les automobilistes.
Une envie de maison dans l’est Parisien, avant que les prix ne s’envolent avec l’arrivée de la ligne de Métro 15 Est, qui fera la liaison entre Saint-Denis et Champigny, à l’horizon 2030. Faites appel à Emilie from Homelike Home Paris Est. Emilie se fera un plaisir de dénicher votre futur home sweet home, ou tout simplement, un investtissement locatif dans l’est parisien

Le palmarès des villes où il fait bon vivre en province en 2021 selon le Figaro
Comme beaucoup de nos clients parisiens, vous êtes nombreux à rêver d’avoir un meilleur équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle. Depuis la fin du confinement, avoir une meilleure qualité de vie est une des principales précoccupations des français. Cette période inédite a profondément modifié nos rapports avec le travail, notamment avec la mise en place du télétravail pour certains, et nous avons pris conscience de l’importance de notre maison et d’un logement confortable. Ces périodes de confinements successifs, puis de couvre feu à 18 h ont révélé certains critères primordiaux pour se « sentir bien chez soi », avec notamment la présence d’un extérieur, et ont aussi renforcé l’envie de vivre au vert, loin des grandes villes.
Si certains parisiens envisagent de déménager vers le Grand Paris, d’autres rêvent carrément de vivre au vert. Encore faut-il pouvoir passer à l’acte, que l’entreprise mette en place le télétravail, que les frais de déplacements ne soient pas trop élevés et que les conditions financières soient réunies, notamment en terme de taux immobiliers, lorsqu’il s’agit d’un achat immobilier.
Comme chaque année, le journal « Le Figaro » nous livre son étude, avec 10 critères qui ont été retenus pour établir le palmarès des villes où il fait bon vivre : évolution du nombre d’emplois, de la population, de l’insécurité, indice de jeunesse, niveaux de salaires, prix de l’immobilier, accès à la santé ou au cinéma…
À l’arrivée, c’est la ville de Nantes qui domine le classement des « grandes villes » avec une note totale de 15,99 ex-aequo avec Bordeaux, et Lyon qui arrive en 3ème position avec une note de 15,84 sur 20.
Un souhait de vivre dans des villes comme Nantes ou Bordeaux…
Les villes de plus de 100.000 habitants occupent toujours largement la tête de notre 2ème palmarès des villes où s’installer en famille. Surtout celles de l’ouest, qui comme l’an passé, règnent en maître dans le haut du classement, ce qui n’empêche pas quelques changements. Au sommet, Nantes, capitale des ducs de Bretagne, séduit un public toujours grandissant. «Mais contrairement à ce que l’on croit, les Parisiens ne sont pas majoritaires, ce sont surtout des habitants du département qui viennent s’y installer», souligne Bassem Asseh, premier adjoint à la maire PS Johanna Rolland. Une politique qui passe par une bonne répartition des services et des commerces, mais aussi par une optimisation des transports en commun, avec le développement en cours de 2 nouvelles lignes de tram.
Si vous cherchez un bien immobilier à Nantes et dans sa métropole, Charlotte Belleville de Homelike Home Nantes, est la bonne interlocutrice pour vous aider dans votre recherche d’investissement locatif, de résidence principale ou de résidence secondaire.
Mais à côté de sa réputation flatteuse, la ville de Nantes doit faire face à de nouvelles préoccupations montantes dont une insécurité grandissante en centre-ville, et un manque de logement, avec notamment une offre faible d’appartements familiaux.
Les problèmes de logements et la surchauffe des prix, Bordeaux les a déjà expérimentés. Après plusieurs années de très forte hausse, la correction des prix a débuté mais la ville reste inaccessible pour beaucoup de ménages. Bordeaux et Nantes vont appliquer des mesures déjà en place à Paris : encadrement des loyers, lutte contre l’habitat insalubre avec la création d’un permis de louer, surveillance étroite des locations touristiques de type Airbnb. Lara Bel et son équipe sont à votre service pour dénicher le bien de vos rêves à Bordeaux et dans sa métropole. Faites appel à notre équipe Homelike Home Bordeaux.
Lyon est aussi une ville où il fait bon vivre…
Lyon, de part sa situation géographique est une ville qui attire de plus en plus de jeunes familles. Lyon permet de rejoindre les premières stations de skis en moins de 2 heures, et la mer en moins de 3 heures…Lyon arrive en 3ème position du classement du Figaro et est portée par son dynamisme économique. Les prix du logement continuent de grimper, avec une hausse de +3,9 % sur un an dans la métropole et, + 23 % en 4 ans pour la ville de Lyon intra-muros.
Le nouveau maire Grégory Doucet, prévoit d’appliquer les mêmes mesures qu’à Bordeaux et se donne pour objectif de produire 6000 logements sociaux et abordables par an d’ici à 2026. Sophie Henon, de Homelike Home Lyon se fera un plaisir de dénicher votre nouvel home sweet home dans la capitale des Gaules.
Avoir un meilleur équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle et, faire un choix entre métropoles, périphéries ou petites villes …
La crise sanitaire a accentué la réflexion pour trouver une alternative aux métropoles. Elles restent des pôles d’attraction forts, mais la crise sanitaire est venue renforcer les critiques sur la qualité de vie dans ces grands centres urbains. Quel est l’intérêt d’habiter une grande ville comme Paris, Bordeaux ou Lyon et de payer un logement à son prix fort, quand on ne peut plus profiter des avantages qu’offraient ces grandes villes. Les prix des logements sont élevés, on habite souvent un logement plus petit qu’ailleurs et on ne profite plus depuis quelque temps de l’animation que ces villes peuvent offrir. Ces éléments poussent les habitants à s’éloigner des centres villes, que ce soit pour s’installer en périphérie, dans la proche banlieue ou pour troquer une très grande ville contre une ville secondaire.
Quel que soit votre choix de vie et votre décision pour 2021, Homelike Home vous aide à dénicher le logement de vos rêves, dans de nombreuses villes en France, mais aussi à la campagne, notamment en Normandie et dans le Perche. Faites appel à notre équipe et visitez de votre fauteuil !
Les derniers chiffres des notaires à fin janvier 2021 et l’immobilier de bureau face à la pandémie
Immobilier résidentiel : Les derniers chiffres des notaires
Contrairement au premier confinement, le second n’a pas stoppé la signature des actes de ventes. En revanche, l’impossibilité d’organiser des visites de biens a entraîné un recul notable des avant-contrats, ce qui freinera les volumes des ventes des 1er mois de 2021.
Le regain d’intérêt pour la maison se traduit par une progression des volumes de ventes de +4% lorsque l’on compare la période septembre-octobre-novembre 2020 avec la même période en 2019. A l’inverse, le nombre de ventes d’appartements diminue de -5%, et encore plus dans la capitale.
On assiste à davantage d’hétérogénéité des prix entre les marchés, et à un attrait de plus en plus marqué pour les maisons.
En Ile-de-France, le prix des logements a augmenté de + 6,6% en un an, de novembre 2019 à novembre 2020.
Une baisse en volume mais quid d’une baisse des prix en 2021 ?
On assiste à une baisse des ventes de logements anciens en IDF avec – 2% de ventes en 1 an, donc en volume, et un prix moyen en IDF qui a continué à augmenter à 6720 €/M2 soit +6,5% en 1 an.
A Paris, le prix moyen au m2 est de 10850 €/M2, soit une augmentation de + 6,3% en 1 an.
On note un attrait fort pour les maisons, notamment les maisons anciennes qui ont augmenté de 6,9% en 1 an avec un prix moyen de 334 400 €.
Les tendances déjà observées les mois précédents se confirment, avec une baisse des prix dans les mois à venir.
A Paris, le prix moyen /m2 passerait de 10 850 € le m2 en novembre 2020 à 10 700 € le m2 en mars 2021, soit une baisse anticipée de -1,4%.
A l’inverse, d’après les avant-contrats, les prix devraient augmenter encore de + 1,3% pour les maisons de décembre 2020 à mars 2021.
Comment se porte le marché en bordure de périphérie ?
Au 3e trimestre 2020, le prix des appartements atteint plus de 10 000 € le m2 au global dans les quartiers internes à Paris en bordure du périphérique, alors qu’il est de 7 000 € le m2 dans l’ensemble des communes situées de l’autre côté du périphérique, avec une décote de 30%, dès qu’on franchit le périphérique !
Franchir le périphérique permet d’acquérir à des prix sensiblement moins élevés que dans la Capitale.
Ainsi, à Neuilly-sur-Seine (10 870 €/m2 au 3e trimestre 2020) les prix sont pratiquement aussi élevés qu’à Ternes, avec un prix moyen/m2 de 10 920 €/m2).
A l’opposé, à Aubervilliers et Saint-Denis, les prix des appartements (environ 3 900 €/m2) sont 57% moins élevés que dans le quartier parisien voisin de La Chapelle (9 070 €/m2).
Entre ces deux extrêmes, on peut distinguer plusieurs situations, héritage des politiques urbaines ou d’aménagements du passé, de la spécialisation économique de certains territoires ou de la géographie urbaine.
Au sud, au nord et nord-est, les prix des communes limitrophes de Paris sont encore nettement inférieurs aux prix des quartiers périphériques de la Capitale.
Ce constat vaut pour toute la Seine-Saint-Denis, où les politiques du logement ont longtemps privilégié le logement social. Aux Lilas, la commune limitrophe de Paris la plus chère du département, le prix au m2 (6 530 €) reste inférieur de 28% à celui du quartier Saint-Fargeau dans le 20e arrondissement.
Si Montrouge sort peu à peu du lot avec une hausse annuelle des prix de 12%, qui permet d’atteindre 7 900 € le m2 au 3e trimestre 2020, les prix y sont encore 26% en-deçà de ceux du Petit Montrouge (10 680 €/m2), quartier attenant du 14e arrondissement.
Au sud-est et à l’ouest de Paris, autour des bois de Boulogne et de Vincennes, se trouvent deux zones regroupant des communes aux prix plus proches des quartiers parisiens avoisinants.
Au sud-est, les décotes de prix lorsque l’on passe le périphérique avoisinent 7% à Vincennes et Saint-Mandé, 15% à Charenton-le-Pont.
A l’Ouest, les prix sont très élevés dans les communes les plus proches du bois de Boulogne et les décotes modérées, quand on franchit le périphérique pour aller à Neuilly-sur-Seine (-0,5%), Levallois-Perret (-10%) ou Boulogne-Billancourt (-16%).
Il est intéressant de noter qu’il y a 20 ans, Vincennes, Saint-Mandé, Neuilly-sur-Seine et Charenton-le-Pont étaient plus chères que les quartiers limitrophes parisiens, tel que Charonne par exemple. Désormais la ville de Vincennes est 7% moins chère que le quartier Charonne dans le 11ème arrondissement.
Le nombre de transactions dans Paris a proportionnellement baissé, au profit de la Grande Couronne. Au 2ème semestre 2020, Paris représente 17% des transactions de logements anciens en IDF, contre 20% en moyenne ces 20 dernières années.
Et quelle est la situation en ce début d’année 2021 pour l’immobilier de bureau ?
Les recherches de bureaux ont accusé le coup en 2020, avec – 10% de recherches de bureaux en 2020 en Ile de France, versus 2019 se décomposant de la façon suivante :
- Paris avec – 16%
- 1ère couronne avec – 7%
- 2ème couronne avec à l’inverse une augmentation de + 10%
On constate plus particulièrement une augmentation pour des villes comme Vélizy, Massy, Palaiseau avec une augmentation de demandes de +25 à +30 % en 1 an.
A l’inverse, les quartiers tertiaires de Paris sont en baisse.
Quand on zoome plus précisément sur Paris intra muros, pas de changement radical, avec les 5 arrondissements les plus recherchés qui concentrent plus de 40% des recherches parisiennes. En revanche, la côte de certains quartiers a évolué : le 9ème a quitté le podium du top 10 des recherches et le 10ème arrondissement attire moins d’investisseur de bureaux.
Les arrondissements très centraux Rive Droite comme Rive Gauche se sont montrés plus résilients en 2020. Le 2ème et le 7ème arrondissementS affichent même une croissance des recherches sur 1 an, ce qui leur permet de rejoindre le podium du top 10 des demandes.
Au niveau national, on constate un phénomène de décentralisation car le nombre de recherches de bureaux a progressé de + 5% en 2020, versus 2019, dont + 4% pour la location et + 8% pour l’achat.
Ce beau résultat en région s’explique principalement par la performance de villes « secondaires » donc celles qui offrent :
- une belle qualité de vie
- une bonne connectivité
- un bon bassin d’emploi dynamique
Ainsi, les 5 villes qui ont le plus progressé en 2020 vs 2019 sont :
- Reims +100%
- Angers +15%
- Strasbourg +15%
- Montpellier +5%
- Marseille +2%
Reims a même doublé ses recherches de bureaux en raison de ses nombreux avantages. Située à 45 mns de Paris, elle représente un bassin d’emplois dynamique, avec une vie étudiante très présente, notamment grâce à la présence de Sciences Po.
Il est probablement encore trop tôt pour voir une éventuelle baisse s’afficher. En effet, les efforts consentis se font davantage sur les mesures d’accompagnement pour l’instant. Il n’y a donc pas d’anticipation de baisse significative pour ce 1er trimestre 2021,malgré les nouvelles habitudes de méthode de travail, tel que télétravail et flex office…
En conclusion, la pierre reste une valeur refuge pour de nombreux français.
La crise sanitaire a eu 2 conséquences :
- transformations profondes des modes de vie ;
- besoin de vivre et d’habiter autrement, voire ailleurs.
Le confinement et notamment le développement du télétravail ont révélé un besoin nouveau d’extérieur, de verdure et d’espace.
La crise sanitaire semble accentuer la mobilité des Franciliens et pousser à des choix nouveaux. Parallèlement, les Franciliens sont proportionnellement un peu plus nombreux à acheter un logement en province (7% en 2020 versus 6% en 2019).
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Nouveau portait chinois : Cécile Loin, chasseuse chez Homelike Home Grand Ouest
Aujourd’hui, c’est au tour de Cécile LOIN de se prêter au jeu du portrait chinois. Cécile est une des spécialistes du Grand Paris, notamment du Grand Ouest. Les villes comme Chatou, Rueil Malmaison, Croissy sur Seine, Le Vésinet, Versailles n’ont plus aucun secret pour elle. Cécile connaît aussi très bien Paris puisqu’elle y a travaillé de nombreuses années, mais ne reviendrait habiter pour rien au monde dans Paris intra muros, après avoir goûté aux joies d’une maison avec jardin…
1°- En quelques mots, ton parcours?
Après des études de commerce, j’ai fait mes premières expériences professionnelles dans le monde de la banque en tant que Cambiste. Mais attirée depuis toujours par la décoration, notamment par l’organisation et l’optimisation des espaces intérieurs, j’ai décidé par la suite de me consacrer pleinement à une activité d’agencement et de décoration en co-gérance avec mon mari, tout en développant une partie Home Staging.
2°- Comment es-tu devenue « dénicheuse d’apparts »?
Je suis devenue dénicheuse d’appartement un peu par hasard, il faut bien l’avouer, car c’est un métier que je ne connaissais pas il y a encore quelques années. C’est grâce à ma belle-fille, qui après avoir fait appel à un chasseur d’appartement, m’a dit « me voir » dans ce métier, que je m’y suis intéressé. J’ai également visité des biens pour mon frère qui cherchait à s’installer sur Chaville ou Viroflay, après un séjour de plusieurs années en Inde. J’ai donc cherché et visité « avec ses yeux ». J’ai adoré cette mission de dénicheuse de biens, qui m’a permis de conjuguer l’ensemble de mes compétences et expériences.
3°- D’où viens-tu?
Née à Albi, d’une mère d’origine grecque, et d’un père militaire français muté tous les 6 mois, j’ai donc passé mon enfance à déménager, avec pour seule stabilité les grandes vacances qui nous rassemblaient en famille sur l’ile de Rhodes (Grèce). Installée à Versailles puis Chaville pour mes années de lycée, Paris pour mon activité professinnelle, je suis aujourd’hui bien ancrée dans l’ouest parisien, même si c’est toujours avec un plaisir immense que je retourne régulièrement retrouver mes racines « grecques ».
4°- Pourquoi avoir choisi l’Ouest Parisien?
Je suis arrivée en région parisienne, il y a, 30 ans. D’abord Versailles, puis Chaville, Puteaux au début de mon mariage, et aujourd’hui le triangle d’or de la boucle de Seine formé de trois villes : Le Vésinet, Chatou, Croissy-sur-Seine. C’est une région que j’adore, avec une énergie qui ne peut que ressourcer, à moins de 20 kms de Paris, desservie par le RER A et qui ne cesse d’évoluer avec ses écoles internationales. Il y fait bon vivre car c’est un véritable poumon de verdure lorsque l’on passe la Seine par le pont de Rueil 2000.
Profiter des bords de Seine avec ses rendez-vous au sommet…
5°- Grâce à ton métier, tu parcoures Paris et ses alentours en long, en large, et en travers…. mais si tu étais un quartier, un seul, tu serais?
A Paris, je serais sans aucun doute le 15ème arrondissement avec son pont de Grenelle, qui tous les instants nous offre la plus sublime des vues.
Dans les Yvelines, je serais le pont qui traverse la Seine de Rueil 2000 à Chatou et qui a inspiré les peintres impressionnistes.
6°-Et une rue en particulier?
C’est une question difficile car à Paris il y a tellement de rues incroyables. Je vais tout de même rester dans le 15ème arrondissement et je dirais la rue du Commerce, car elle reflète le dynamisme de ce quartier en ébullition, avec ses petits commerces qui offrent toutes les commodités a portée de main, tant appréciées par les familles.
7°-Si tu étais un parc ou un jardin?
Je ne peux plus parler du bois de Vincennes avec cette question ! Je dirais donc le parc des Buttes Chaumont. Il est magnifique et atypique. On peut y admirer des arbres extraordinaires. J’aime aussi aller boire un verre au Rosa Bonheur !
8°- Une boutique?
Si j’étais une boutique, je serais un magasin de décoration proposant de belles œuvres originales inscrites dans le développement durable et de proximité, encourageant également les jeunes designers par du mécénat pour les aider entre autre à se faire connaître.
9°- Un objet déco?
Je serais la lampe de chez DOD, jeune créateur français recyclant les vieux meubles ou plancher bois pour en faire ses lampes modulables à l’envie et dont les couleurs (peinture faite de pigments naturels) sont choisies pour s’inscrire dans la décoration du lieu qu’elle occupe.
10°- Et si tu étais un restaurant?
Je serais un bistrot, le « Café des artistes », aux Etangs des Corots à Ville d’Avray, dans un cadre végétal extraordinaire et inspirant des étangs. Un endroit à découvrir quelle que soit la saison…!
11°- Et si tu étais un style de maison ou d’appartement?
Je serais une maison atypique issue de l’ancien, transformée, agrandie, embellie et baignant dans la lumière des verrières…
12°- De toutes tes recherches, quelle est celle dont tu es la plus fière?
Un achat pour un client a l’étranger qui n’a vu qu’en vidéo le potentiel de transformation d’un bien proposé lors d’une succession, et donc « dans son jus ». C’est en lui proposant un business plan et des avants projets que ce client a réussi à se projeter à distance et a acheté en tant qu’investisseur.
A ce jour, il est toujours aussi ravi et nous a missionnées pour d’autres recherches.
13°- Et celle qui t’a fait le plus transpirer?
Toutes les recherches sont tellement prenantes, qu’il faut monter sur le RING, avec ténacité et abnégation. Mais la mission de trouver le lieu, the ONE, vaut toute cette implication. Quel bonheur de voir nos clients satisfaits et heureux quand ils ont enfin les clés de leur future maison !
14°-Qu’aimes-tu particulièrement dans ton métier?
Voir les larmes de bonheur dans les yeux de mes clients quand j’ai trouvé le bien qui « coche » toutes les cases de leur cahier des charges.
15°- Et si tu devais en changer, tu serais?
J’ai opéré beaucoup de changements professionnels jusqu’à présent : j’ai été cambiste, agenceuse, décoratrice, commerçante en objets de décoration. Le métier de chasseur apporte de multiples cordes à mon arc et je ne changerais pour rien au monde actuellement.
16°- Allez, dernière question ! Si tu devais changer quelque chose dans l’Ouest Parisien, ce serait?
Préserver les parcs et jardins, encourager la biodiversité dans les nouvelles constructions, des toits végétaux au-dessus des immeubles, la conservation d’un nombre maximal de M2 à l’habitant….bref repenser l’urbanisation actuelle et redessiner les villes pour les rendre moins stressantes…
Si vous avez un projet immobilier dans l’ouest-parisien, Cecile sera la bonne personne pour vous dénicher votre maison, votre appartement, mais aussi votre futur investissement locatif.
Férue de décoration puis reconvertie, mes expériences riches et variées m’ont permis de développer de larges compétences dans les domaines de l’immobilier. C’est donc tout naturellement que je me suis tournée vers le métier de chasseur immobilier. « Spécialiste de l’Ouest parisien, Hauts de Seine et Yvelines, je saurai vous dénicher le bien qui vous correspond ».
Les impacts du Coronavirus sur l’immobilier en France en septembre 2020
L’Assemblée Générale de la FNCI a enfin eu lieu en zoom…Après l’avoir repoussée à plusieurs reprises, eu égard aux grèves puis au confinement. Nous avons eu l’occasion de partager nos ressentis quant au marché immobilier dans les principales régions et villes de France, à savoir : Bordeaux, Lyon, Nantes, Paris et le Grand Paris.
Voici dans les grandes lignes, le constat que nous pouvons faire avec les différents membres de la FNCI.
1°- Un marché très dynamique post confinement à Paris et en Province :
A PARIS, la crise sanitaire et la baisse ponctuelle des volumes de ventes n’ont pas modifié la dynamique haussière des prix.
On note une augmentation des prix de + 8% en 1 an (+ 7,4% en Petite Couronne et de + 5,3% en Grande Couronne) et un prix/M2 de 10 690 € à Paris.
Le confinement correspond à 6 semaines d’effondrement des ventes.
Au total en Ile-de-France, les volumes de ventes de logements anciens du 2e trimestre 2020 ont baissé de – 28% par rapport au 2e trimestre 2019 (-32% à Paris).
La demande reste largement supérieure à l’offre et l’immobilier reste l’investissement préféré des français. Ni les gilets jaunes, ni les grèves ne découragent les primo accédants et les investisseurs français.
Le logement en tant que valeur-refuge a été largement confirmé et le confinement a montré l’importance d’être bien logé :
- Désir de verdure et d’espace.
- Une revalorisation de l’habitat individuel, à savoir les maisons.
- Attrait pour la Petite et la Grande Couronne et la Province surtout.
- Regain d’intérêt pour la pierre refuge car crainte d’une crise financière et volatilité des autres placements. La pierre est une protection pour l’avenir et la retraite.
- Les grands projets franciliens (Grand Paris et Jeux Olympiques) dynamisent le marché.
- Le marché locatif reste très tendu notamment avec une pénurie d’offre.
- Taux des crédits à l’habitat toujours très attractifs.
A BORDEAUX, on note une attractivité qui ne se dément pas !
La forte libération du télé-travail amène une « nouvelle vague » de parisiens qui conservent leur poste sur Paris. et qui désirent s’installer à Bordeaux. On note une stabilisation des prix en 2019-2020, après +38% de hausse entre 2014 et 2019, liée notamment à l’arrivée de la LGV en 2017 – Ligne Grande Vitesse – qui relie Paris à Bordeaux en 2h….
Pour la sixième année consécutive, Bordeaux est la ville où les Français aimeraient le plus travailler et Bordeaux attire toujours les investisseurs : Début 2020, Meilleurs Agents a établi pour les Echos un classement des villes dans lesquelles on optimise le mieux, le couple rendement – risque locatif. Bordeaux est dans le top 3 (avec Aubervilliers et Pantin).
A LYON, malgré la situation économique et les incertitudes sur les prochains mois, les acheteurs ont mené leurs projets à terme.
Selon le président de la chambre des notaires du Rhône, on observe même un volume de ventes quasiment rattrapé par rapport au retard accumulé pendant les deux mois de confinement.
Dans l’ancien, les maisons avec un espace de verdure ou les appartements avec terrasse ou grand balcon ont toujours fortement la côte et se vendent très rapidement, si le prix n’est pas surcôté !
A NANTES, Les biens se font de plus en plus rares et les prix continuent d’augmenter!
Avec plus de 300 000 habitants, Nantes se place au 6 ème rang des communes les plus peuplées de France. Nantes attire chaque année près de 8 000 nouveaux habitants et entraîne une forte demande de nouveaux logements. Sur les quatre dernières années, on a constaté une augmentation record des prix : près de 10 % / an pour les maisons individuelles et de 5 à 7 % / an pour les appartements. Bien que le marché immobilier nantais soit désormais considéré comme tendu, les prix au m² restent encore abordables pour une ville de cette ampleur avec une moyenne de 3.289 € le m² pour un appartement et de 3.642 € pour une maison.
2°- Un marché qui se ralentit depuis la rentrée du mois de septembre, notamment en terme de volume de ventes :
PARIS et région parisienne :
La hausse annuelle des prix ralentit un peu dans Paris. On attend une hausse annuelle de +6,6%, pour le mois d’octobre 2020, ce qui fixerait le prix au m2 parisien à 10 860 €.
On voit des modifications de la demande, liées à la crise sanitaire, au développement du télétravail et à de nouvelles attentes vis-à-vis du logement :
- Mauvaise situation économique mondiale (chômage et revenus).
- Crainte de l’avenir.
- Les taux des crédits immobiliers, toujours très attractifs facilitent les acquisitions MAIS les banques limitent l’obtention de prêt, notamment pour les professions liées au tourisme, aéronautique, hôtellerie, événementiel…) .
- Attentisme sur le marché immobilier.
D’après les avants-contrats, la hausse du prix des appartements parisiens devrait ralentir d’ici octobre. Après la petite accélération observée au premier semestre 2020, la hausse annuelle des prix devrait se modérer dans la Capitale car il y a moins d’acheteurs actuellement…D’après toujours les avants-contrats, à fin octobre 2020, les prix des appartements augmenteraient davantage en Petite Couronne (+8,9%) qu’à Paris (+ 6,6%).
BORDEAUX :
Depuis la rentrée de septembre, on note une stabilisation des prix sur Bordeaux (+0,9% en 1 an), mais une augmentation notable dans les villes de la périphérie ((+9,6% à Mérignac, +9,2% à Pessac…) qui confirme la tendance générale de recherche d’extérieurs et de maisons suite au confinement.
LYON :
Depuis la rentrée, dans la métropole lyonnaise, une baisse du volume d’acquéreurs pour certains types de biens et budgets a été constatée. Les grandes surfaces, même dans des quartiers comme le 6ème arrondissement où les biens s’arrachaient au prix fort post-confinement, ont plus de mal à trouver preneur. Un certain nombre de propriétaires qui souhaiteraient vendre ne le font pas, faute de trouver un nouveau bien ou craignant pour leur avenir professionnel,
Les prix sont au plus haut, les taux d’intérêt restent attractifs mais l’incertitude semble vouloir peser dans les semaines/mois à venir et pourrait avoir un impact négatif sur le volume de transactions. Il est encore un peu tôt pour affirmer une réelle tendance sur les prix pour le semestre à venir, l’évolution de la crise sanitaire risque d’en être l’arbitre.
NANTES :
Les demandes des primo-accédants sont en baisse suite aux restrictions de financement des banques. La demande des investisseurs reste soutenue avec un marché locatif très dynamique.
3°- Et qu’en est-il avec l’immobilier de bureau :
Entre télé travail, Home Office, une partie des bureaux semblent être désertése…. Les changements d’aujourd’hui ont ainsi des conséquences sur la demande en immobilier d’entreprise et auront un impact sur le mode de consommation des mètres carrés de bureaux !
En effet, la crise sanitaire bouleverse non seulement les modes de travail des Français mais également leur rapport au bureau physique. Si bien que les entrepreneurs commencent à changer de vision et de rapport avec l’espace de travail classique, et la charge importante que représente l’immobilier dans les bilans des entreprises, ne fait que renforcer ce questionnement
Le salarié est de plus en plus nomade, puisque désormais, 35 % des salariés travaillent à deux endroits ou plus.
Aujourd’hui on assiste à une vaste réflexion autour de l’immobilier de bureaux, du mobilier et des espaces de travail.
Le taux d’occupation actuel des bureaux par les employés en île de France est de 50 À 60 %.
En Ile de France, on recense plus de 100 000 m2 d’espaces de co-working, pour un prix mensuel moyen de 320 € pour un poste de travail, soit 3840 €/an.
Rappelons que le cout d’un poste de travail dans une entreprise est estimé entre 12 000 et 14 000 €/an, et représente le 2ème poste de dépenses derrière les salaires !
Gardez votre temps pour développer votre activité et confiez votre recherche de bureaux à l’achat ou à la location à Homelike Office.
Avec l’évolution du virus de la covid 19 au quotidien, il est encore trop tôt pour voir les réelles conséquences sur l’immobilier d’habitation et l’immobilier de bureaux. Mais il est certain que cette fin d’année 2020 sera très chahutée et que l’immobilier en tirera les conséquences, avec une demande inférieure à l’offre, et donc une baisse des prix à terme. Il est d’autant plus important de se faire conseiller par un professionnel de l’immobilier et notamment un chasseur immobilier, qui défend les intérêts de son client acheteur, afin d’acheter le bon produit au bon prix et de pouvoir revendre facilement quelle que soit la conjoncture. Vous pouvez retrouver la liste des meilleurs chasseurs immobiliers au sein de la FNCI, Fédération Nationale des Chasseurs Immobiliers.

Portrait chinois de Audrey Pieters
1°- En quelques mots, ton parcours ?
Après des études de droit, j’ai fait mes premières expériences professionnelles dans le monde juridique. Mais attirée depuis toujours par les activités artistiques, notamment par les arts décoratifs, j’ai décidé par la suite de me reconvertir professionnellement vers le métier de peintre décorateur.
Egalement épicurienne de l’immobilier, avec le temps et l’opportunité des rencontres que j’ai pu faire dans ce domaine, le métier de chasseur immobilier s’est finalement présenté à moi comme une évidence.
2°- Comment es-tu devenue « dénicheuse d’apparts »?
Je suis devenue dénicheuse d’appartement un peu par hasard, il faut bien l’avouer, car c’est un métier que je ne connaissais pas il y a encore quelques années. C’est par une amie vivant à New-York, qui m’avait confié la recherche d’un appartement à acheter à Paris, que j’ai été inspirée pour prendre cette nouvelle voie. J’avais adoré la richesse de cette mission de par la diversité des interlocuteurs que j’ai pu rencontrer, mais également par son aspect tellement vivant. Ce métier s’est révélé à moi comme une vraie vocation puisqu’il m’a permis de regrouper l’ensemble de mes compétences et expériences. Pour finir, c’est une activité avec laquelle je me sens en parfaite adéquation.
3°- D’où viens-tu?
Native de Lyon, j’ai néanmoins passé mon enfance ainsi que ma jeunesse dans le sud de la France, entre Aix en Provence et Toulon. Venue à paris pour des raisons professionnelles, j’y suis aujourd’hui bien ancrée, même si c’est toujours avec un plaisir immense que je retourne régulièrement retrouver mes racines « sudistes ».
4°- Pourquoi avoir choisi Paris et plus récemment le Val de Marne?
Je suis arrivée à Paris, il y a, aujourd’hui, 14 ans. C’est une ville que j’adore, d’une énergie incroyable et qui n’est comparable à nulle autre si on aime les arts, la culture mais aussi le lien social, sans oublier la gastronomie. Néanmoins avec l’arrivée de mon fils, il y a cinq ans, j’ai décidé de m’installer à Nogent-Sur-Marne, afin de bénéficier d’une autre qualité de vie, que je jugeais alors meilleure pour élever un enfant. C’est un choix que je ne regrette pas car Nogent est une ville où règne l’esprit de village, très agréable, à seulement quelques kilomètres de Paris, desservie par le RER A et E et qui va bénéficier de la ligne 15 du métro en 2030, grâce au projet du Grand Paris.
Profiter du bois de Vincennes, du charme des bords de Marne et de ses guinguettes, et faire un métier que j’adore tout en restant près de Paris sont pour moi de vrais privilèges
5°- Grâce à ton métier, tu parcours Paris et ses alentours en long, en large, et en travers…. mais si tu étais un quartier, un seul, tu serais…. ?
A Paris, je serais sans aucun doute le Marais. Même s’il a beaucoup changé ces dernières années, j’aime sa diversité, son côté cosmopolite.
Dans le Val-De-Marne, je sillonne surtout Nogent et les villes aux alentours, alors si je devais y être un quartier, je serais…le bois de Vincennes. Ce n’est pas vraiment un quartier, évidemment, mais j’aime m’y promener, admirer sa végétation et ses lacs, en étant aux portes de Paris.
6°-Et une rue en particulier ?
C’est une question difficile car à Paris il y a tellement de rues incroyables. Je vais tout de même rester dans le Marais et je dirais la rue Vieille du Temple, car elle est au carrefour d’autres rues que j’aime beaucoup, pleine de surprises avec ses jardins et ses cours « cachés », ses trésors d’architectures, et ses bâtiments classés au patrimoine historique. Les yeux sont en alerte en permanence…!
7°-Si tu étais un parc ou un jardin?…
Je ne peux plus parler du bois de Vincennes avec cette question ! Je dirai le parc des Buttes Chaumont alors, à Paris. Il est magnifique et atypique. On peut y admirer des arbres extraordinaires. J’aime aussi aller boire un verre au Rosa Bonheur !
8°- Une boutique ?
Ce n’est pas tout à fait une boutique mais le rayon bricolage du BHV, c’est le paradis du bricoleur, ce qui est mon cas. Je suis très manuelle.
9°- Un objet déco?
Un tableau peint par ma cousine et qui orne mes murs. C’est une peinture par projection, selon la méthode initiée par Jackson Pollock. C’est assez sombre mais j’y ai une grande attache sentimentale.
10°- Et si tu étais un restaurant ?
J’aime aller chez Toyo, dans le 6ème arrondissement, y déguster sur son comptoir ses plats d’une grande finesse, faits de la fusion entre la cuisine japonaise et française.
Je vous dis ça mais je suis très gastronome et aime les cuisines les plus variées. Je peux donc apprécier un bon gastro mais aussi aller dans un vieux troquet, y boire de bons vins et manger des planches de charcuterie et de fromage.
11°- Et si tu étais un style de maison ou d’appartement ?
Plutôt qu’un style, je serais un lieu détourné ou réhabilité. Un atelier d’artiste transformé en un beau duplex, une ancienne boulangerie classée transformée en maison de ville.
12°- De toutes tes recherches, quelle est celle dont tu es la plus fière?….
Un achat pour une personne vivant à l’étranger qui souhaitait acquérir un pied à terre à Paris, car folle amoureuse de la ville. Nous avons établi une telle relation de confiance, que nous sommes allées jusqu’à la signature de la promesse sans qu’elle ait vu l’appartement que je lui avais déniché. Elle l’a adoré, il correspondait parfaitement à ses goûts, ce qui fut une vraie reconnaissance. Nous avons depuis, tissé un vrai lien d’amitié. C’était une belle rencontre.
13°- Et celle qui t’a fait le plus transpirer ?
Toutes les recherches me font transpirer d’une manière ou d’une autre mais ce n’est pas négatif, bien au contraire.
14°-Qu’aimes-tu particulièrement dans ton métier ?
Rendre heureux les clients quand j’ai trouvé le bien dont ils rêvaient. Parvenir à saisir leurs envies exactes et leur donner de la joie et du bonheur lorsque la mission est réussie.
15°- Et si tu devais en changer, tu serais… ?
J’ai déjà beaucoup changé. J’étais juriste puis peintre décorateur. Aujourd’hui je fais un métier que j’aime et n’imagine pas en changer.
16°- Allez, dernière question! Si tu devais changer quelque chose à NOGENT SUR MARNE, ce serait… ?
Il y a un grand complexe immobilier près du port de plaisance, comprenant un bowling, un hôtel, une salle de sport, la piscine municipale…complètement bétonnée, encore une victime de l’architecture des années 70. Je le raserais pour refaire un ensemble plus en harmonie avec la beauté des bords de Marne.
Si vous avez un projet immobilier dans l’est parisien, Audrey sera la bonne personne pour vous dénicher votre maison, votre appartement, mais aussi votre futur investissement locatif.
Besoin d’espace, d’un coin de verdure…Homelike Home déniche votre bien immobilier dans le GRAND PARIS
Chez Homelike Home, on a ouvert l’antenne du Grand Paris et on s’occupe de votre recherche avec une dream team qui connait chaque rue ou presque de : Nogent sur Marne, Champigny, Fontenay sous Bois, Colombes, Suresnes, Montrouge, Chatillon…et qui saura vous conseiller sur les villes où acheter, celles à éviter, sur l’arrivée des futures gares du Grand Paris Express.
Une team complète avec :
Bref, une équipe à votre service, pour vous permettre de démarrer la rentrée sereinement, dans la maison ou l’appartement de vos rêves !
Quelles sont les Tendances du marché immobilier au 1er trimestre 2020
Nous avons eu la chance d’être invitées à la réunion du club notarial immobilier et d’avoir les dernières tendances du marché immobilier en Ile de France et en France…Le marché est tendu aussi bien à Paris qu’en province en raison de ce même déficit de logements…Phénomène qui risque de s’accentuer dans les années à venir, car la pierre est devenue un placement idéal pour la retraite. En effet, avec entre autre le phénomène « grèves » des mois de Décembre et Janvier, les français ont pris conscience de l’importance de se constituer leur propre retraite, et notamment grâce à l’immobilier.
Pour autant, les ménages restent désireux d’accéder à la propriété, particulièrement en Ile-de-France où le taux de propriétaires reste inférieur de près de 10 points à la moyenne nationale. La pierre est LA valeur-refuge. En effet, le manque de logements locatifs, les évolutions socio-démographiques, les risques relatifs aux placements alternatifs, incitent toujours plus les ménages à l’acquisition immobilière. De plus, l’impôt sur la plus value à 30 ans « poussent » les propriétaires actuels à attendre avant de mettre en vente leur résidence secondaire, pied à terre ou investissement locatif.
Le marché en volume
Le marché en valeur
Tous logements confondus, la hausse annuelle des prix a été de 3,9% en Ile-de-France au 4e trimestre 2019. Elle a été beaucoup plus forte pour les appartements (+5,6% en un an) que pour les maisons dont les prix sont stables (+0.4%).
L’ évolutions des prix des appartements reste tirée par la Capitale (+6,6%) et la Petite Couronne (+5,3%) et +3,2% en Grande Couronne !
Quel est l’impact du Grand Paris ?
La Métropole du Grand Paris est composée de Paris et de 131 communes qui accueilleront au total les 69 gares du Grand Paris Express….
Les indicateurs avancés sur les avant-contrats des notaires du Grand Paris montrent que le prix de vente d’une maison en Ile-de-France s’établirait à 320 600 € en Avril 2020, soit une hausse annuelle de 4,3%. Cette poussée s’explique par une augmentation des prix en début d’année 2020 alors que, traditionnellement, les prix évoluent peu à cette période…ce qui signifie que les gens achètent effectivement moins dans Paris intra muros et d’avantage en Petite et Grande Couronne.
Il faut attendre que les projets de construction de Métro et RER soient un peu plus avancés, pour voir l’impact sur les prix à proximité des futures gares.
Si l’on s’intéresse aux prix autour des gares, on observe des prix très variés allant de 1 640 € le m2 pour la gare de Sevran– Beaudottes (ligne 16) à 10 530 € le m2 pour la gare de Pont Cardinet (ligne 14) dans le 17e arrondissement de Paris.
Actuellement, en Grande Couronne, les prix augmentent plus dans les quartiers éloignés des gares, qui sont souvent des quartiers plus résidentiels avec des grandes maisons et jardin. Les prix forment naturellement un éventail très large allant de 2 560 € le m2 au nord-est de la Seine-Saint-Denis (Paris Terres d’Envol) à 7 380 € le m2 dans les Hauts-de-Seine ( Grand Paris Seine Ouest).
Pour une même ligne de métro et compte-tenu de leurs étendues (la ligne 15 notamment sera longue de 75 km et couvrira trois départements), les écarts entre les prix peuvent être considérables d’une station à l’autre.
Par exemple, la station de Bagneux (à côté d’Arcueil-Cachan) se situe à 4 320 € le m2 quand la station suivante celle de Châtillon-Montrouge atteint 6 100 € le m2. Deux stations plus loin à « Issy RER » c’est un prix de 7 410 € que l’on observe (soit 72% plus cher que Bagneux).
De la même façon, le prix atteint 10 530 € le m2 à Pont Cardinet puis ensuite 6 520 € à la station suivante de Porte de Clichy.
Au 4e trimestre 2019, les prix oscillent entre 7 370 €/m2 dans le quartier « Pont de Flandres » dans le 19ème arrondissement et 15 870 €/m2 dans le quartier « La Monnaie » du 6ème arrondissement de Paris.
Le rapport entre le quartier le plus cher et le moins cher est à 2,15 et reste historiquement bas, traduisant la valorisation progressive des quartiers les moins onéreux.
Grand Paris Express- Visite d’un Tunnelier pour la construction de la future ligne 15 du Grand Paris
Comprendre l’évolution de l’immobilier aussi bien à Paris, en Ile de France qu’en province…tel est notre quotidien mais c’est surtout identifier le développement des futures villes, en fonction de l’implantation de nouveaux METROS, RER, TRAM. 1 seule règle en immobilier : localisation, qui dépend en grande partie des transports en commun et de leur évolution.
Pour info, le Grand Paris, ce sera 200 km de métro automatique et la construction de 68 gares d’ici 2030 !
Selon Geoffroy Vauthier du Grand Paris, ce projet est le plus grand projet d’aménagement urbain en EUROPE !!! Sa réalisation contribuera à créer pour 2 millions de voyageurs chaque jour, une nouvelle manière de vivre leur temps de transport, et plus largement leur territoire.
C’est pourquoi nous avons organisé avec l’aide de Geoffroy VAUTHIER, une visite de la future gare de métro à Bry-Villiers-Champigny sur Marne, qui verra le jour en 2025. Cette ligne de métro, baptisée ligne 15 sud du Grand Paris permettra de relier l’est de Paris.
Alors on chausse les bottes, le gilet, le casque, les gants et nous voilà partis pour cette super visite.
Il y a encore quelques mois, le baptême d’un tunnelier était l’événement de l’année. Il y aura bientôt 15 tunneliers qui creuseront simultanément les tunnels du futur métro! Il leur faudra beaucoup de temps (au moins jusqu’à 2030 pour boucler tout le réseau), mais c’est désormais une réalité : le Grand Paris Express avance.
Pour réaliser ce nouveau métro qui va bouleverser le visage de l’agglomération parisienne, la Société du Grand Paris (SGP) a été chargée par l’Etat de construire les 200 km de lignes et les 68 nouvelles gares du futur réseau, qui coûtera 35 Mds €.
Un grand merci à Eiffage, et notamment à Olivier Berte, et à Geoffroy Vauthier du Grand Paris Express d’avoir pu organiser cette visite avec notre dream team Homelike Home. Il faut quand même que vous le sachiez, dans l’équipe, il y a de nombreuses anciennes ingénieurs, architectes, chef de projet, enfin bref plein de personnes passionnées par la construction en tous genres.
Cette ligne sera bien entendu automatique, pour éviter ces fameuses grèves que nous connaissons tous actuellement !! Avec 33 km de lignes, 16 gares connectées, et un objectif de 300 000 voyageurs / jour en 2025…
Alors le Grand Paris, ça vous parle davantage…en tous les cas on a compris chez Homelike Home, l’importance de pouvoir effectuer des recherches sur le Grand Paris. Grâce à notre dream team et à nos nouvelles recrues, nous pouvons vous aider dans la recherche d’investissement locatif, mais aussi de résidence principale.

































































