x

Je souhaite être rappelé !

Merci de me contacter au numéro suivant :

    Quelles sont les caractéristiques des appartements à Milan ?

    MILAN C’est sans aucun doute l’une des villes où le design et l’architecture ont toujours été valorisés.

    Milan qui a une longue histoire culturelle et artistique, est connue pour ses musées et galeries d’art de renommée mondiale, mais pas seulement. C’est surtout la mode qui a élu domicile dans la ville. 

    Avec plus de 1,3 million d’habitants, Milan est non seulement le chef-lieu de la Lombardie mais également la deuxième plus grande ville d’Italie. Et pourtant, Milan a encore bien d’autres choses à offrir, notamment en matière d’achat immobilier, grâce à l’ouverture de Homelike Home à Milan.
    Découvrons ensemble, les spécificités architecturales de Milan et les quartiers à privilégier pour dénicher votre futur Home sweet Home milanais.

    Climatisation et Terrasse ou balcon, les incontournables milanais

    La capitale italienne de la mode bénéficie d’étés chauds et ensoleillés, même si les hivers sont aussi froids. Les mois d’été à Milan sont chauds, avec des températures atteignant les 33°C en juillet et août, voire davantage. C’est l’occasion de profiter des longues soirées et de la vie nocturne trépidante.

    Avec plus de 300 jours ensoleillés à Milan, l’espace extérieur est souvent un élément indispensable pour encore mieux profiter de son appartement.

    • Les balcons peuvent augmenter la valeur d’un appartement de 8,8 % en moyenne, selon une étude. Cependant, leur présence et leur taille varient considérablement d’un immeuble à l’autre.
    • L’efficacité énergétique devient un facteur déterminant dans le choix d’un bien immobilier. La climatisation réversible est le système le plus performant et la solution la plus fiable pour un usage régulier de la climatisation dans votre futur appartement. En résumé, bien que la climatisation ne soit pas strictement nécessaire à Milan, elle peut être très utile pour maintenir un confort thermique pendant les périodes de forte chaleur.

    A Milan, les appartements de trois chambres restent le type de bien le plus recherché, tandis que les appartements de deux chambres et les studios gagnent en popularité dans les zones à forte demande immobilière.

    Les couples avec enfants et les jeunes couples sont les plus actifs sur le marché. L’achat d’une résidence principale est la principale motivation pour 64 % de ces futurs acheteurs, tandis que 36 % recherchent une résidence secondaire ou une opportunité d’investissement.

    Spécificité du paysage architectural milanais : les case di Ringhiera

     

    Les Case di Ringhiera sont des immeubles résidentiels typiques de Milan, caractérisés par des galeries ouvertes partagées par les résidents. Ces bâtiments ont été construits principalement entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle pour loger les ouvriers et les classes moyennes.

    Les Case di ringhiera ont généralement trois étages, et jusqu’à six étages maximum, au-dessus d’un rez-de-chaussée destiné à un usage commercial. En général, elles n’ont pas de balcons sur la face extérieure du bâtiment, mais uniquement sur la cour intérieure.

    Traditionnellement peintes en jaune foncé, les Case di Ringhiera sont dotées de galeries ouvertes qui courent le long de la façade intérieure, donnant accès aux appartements.

    Ces bâtiments favorisaient la vie communautaire, les résidents pouvant facilement interagir les uns avec les autres depuis leurs appartements ou les galeries. Ces bâtiments ont souvent des cours intérieures qui servaient de point de rencontre pour les résidents. A l’origine, les toilettes étaient souvent situées à l’extrémité des galeries et étaient partagées par les habitants d’un même étage.
    De nombreuses Case di Ringhiera ont été rénovées pour améliorer les conditions de vie tout en préservant leur caractère historique.

    En résumé, les Case di ringhiera sont un élément caractéristique de l’architecture de Milan, reflétant l’histoire et la culture de la ville. Les Case di ringhiera sont encore nombreuses aujourd’hui en Italie, avec 70 000 immeubles rien qu’à Milan (environ 11 % du total).

    Leur conception unique et leur importance patrimoniale les rendent dignes d’intérêt et de préservation. On trouve souvent des Case di Ringhiera dans des quartiers comme Isola, Navigli, Porta Ticinese, Brera et Porta Venezia.

     

    Milan est connue pour ses spécificités architecturales uniques

    L’architecture de Milan est caractérisée par un mélange de styles différents, reflétant l’histoire riche et variée de la ville. En termes d’habitations, les appartements à Milan peuvent varier en taille et en style, allant des petits studios aux grands appartements de luxe. Les habitations peuvent également présenter des caractéristiques telles que des balcons, des terrasses et des vues sur la ville.

    Les immeubles anciens de Milan, notamment dans le centre historique, présentent souvent des façades en pierre ou en brique, avec des ornements et des détails architecturaux tels que des balcons en fer forgé et des fenêtres à arc.

    • Les Case di Ringhiera, comme vu, précédemment, sont des immeubles résidentiels typiques de Milan, caractérisés par des galeries ouvertes sur des cours intérieures, partagées par les résidents. Les ascenseurs sont souvent absents dans ces immeubles.
    • Les immeubles construits à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, notamment dans les quartiers de Porta Romana et de Porta Venezia, présentent des caractéristiques Art nouveau et Liberty, avec des lignes sinueuses et des décorations florales.
    • Les immeubles construits dans les années 1930 à 1960, notamment dans les quartiers de Città Studi et de Lambrate, présentent des caractéristiques architecturales avec des lignes droites et des formes géométriques, type bauhaus. On les appelle aussi les immeubles « Mussolini »
    • Les immeubles modernes de Milan, notamment dans les quartiers de Porta Nuova et de CityLife, présentent des designs innovants et des matériaux contemporains, tels que le verre et l’acier. Milan est également connue pour ses bâtiments modernes et contemporains, tels que la Galleria Vittorio Emanuele II, la Tour Pirelli et le Palazzo Lombardia.

    Il est important de noter que l’architecture des immeubles et des habitations à Milan peut varier considérablement en fonction du quartier et de l’époque de construction. Alors justement, quel quartier choisir pour votre future installation à Milan ?

    Quel quartier choisir pour acheter à Milan ?

    Certains quartiers de Milan sont connus pour leurs immeubles avec balcons, comme :
    – Porta Nuova :
    connu pour ses tours modernes et ses appartements luxueux avec balcons, comme le célèbre Bosco Verticale.
    – Centro Storico :
    le centre historique de Milan peut présenter des balcons ouvragés et des structures anciennes.
    De nombreux appartements à Milan n’ont pas de balcon ou de terrasse, notamment dans les quartiers plus anciens ou plus densément peuplés. Il existe des alternatives pour profiter de l’extérieur, telles que les parcs publics « parco Sempione » et « Indro Montanelli« , les jardins et les terrasses de café.
    Le quartier de Centro Storico est l’endroit idéal si vous voulez voir les lieux incontournables de Milan, tels que la cathédrale de Milan (le Duomo), la Galleria Vittorio Emanuele II et le Castello Sforzesco. C’est un peu comme le quartier du Châtelet à paris
    •  Brera : pour les visites incontournables et l’art, ce quartier est souvent considéré comme le quartier le plus cool avec son atmosphère artistique, ses rues pittoresques et ses galeries animées. Quartier chic avec une architecture du 18ème siècle, c’est un peu l’équivalent du 6ème arrondissement de Paris.
    • Porta Nuova & Isola : C’est le quartier moderne, quartier d’affaires près du quartier de Brera. Il s’agit de l’un des principaux quartiers d’affaires de Milan, dont une partie est conçue comme une zone piétonne.
    • San Siro : Quartier situé à l’ouest de la ville, à proximité de l’école française. Le lycée international Stendhal est implanté depuis plus de 70 ans dans ce quartier. San Siro est aussi le quartier où se trouve aussi le stade Giuseppe-Meazza dans lequel jouent les principaux clubs de foot.
    • Sempione : Cette zone de la ville parvient à rassembler à la fois culture, histoire, espace vert publique et vie nocturne milanaise. Ce quartier abrite le parc le plus important de Milan.
    • Porta Venezia : C’est un peu le quartier pour les jeunes couples avec enfants. C’est un peu l’équivalent du 9ème arrondissement vers la rue des Martyrs à Paris et le 17ème arrondissement côté Batignolles.
    • Quadrilatero della Moda : ce quartier emblématique de Milan, à la pointe du luxe et de la haute couture, est réputé dans le monde entier. Il abrite des boutiques de créateurs internationaux et des marques haut de gamme, au milieu d’élégants bâtiments historiques, et notamment du Monte napoleon.
    • Navigli est ponctué principalement de bars, de restaurants, de galeries d’art et de boutiques vintage. Haut-en-couleur, il est devenu le quartier branché-bohème prisé des Milanais. c’est un peu l’équivalent du Canal Saint-Martin à Paris et du Marais, plébisicité par les étudiants notamment avec l’Université Bocconi.

    Les expatriés à Milan vivent dans différentes zones de la ville, à commencer par le centre, dans des quartiers comme Porta Nuova, Porta Garibaldi, Duomo, Navigli, Porta Venezia, Tortona, Isola et Corso Sempione.

    Avec Homelike Home, votre chasseur immobilier à Milan, laissez vous guider à chaque étape de votre projet d’achat, à l’inverse de l’agent immobilier qui se place du côté du vendeur. Homelike home vous permet de gagner du temps, de maximiser vos chances de trouver votre bien idéal et surtout d’éviter les déplacements inutiles. Confiez-nous votre recherche à Milan et visitez de votre fauteuil.

    Location saisonnière, nouveau projet de loi en 2024

     

     

    2024, année des Jeux Olympiques mais pas seulement car il semblerait que 2024 soit également l’année du changement pour les loueurs de meublés de tourisme.

    L’essor des locations saisonnières a profondément transformé le paysage immobilier des villes à travers la France. Ce phénomène a  eu un impact important sur les marchés locatifs, notamment en ce qui concerne l’accès au logement. Vous avez entendu parler de la difficulté pour louer un logement, notamment à Paris et dans les grandes villes, car bon nombre de biens immobiliers ont été retirés du marché locatif, à cause du DPE et de l’appât du gain pour les propriétaires de pouvoir louer cher, voire trop cher, leur bien immobilier, pendant les 2 semaines de JO. De plus, il semblerait que dans les zones tendues, de nombreux travailleurs ne peuvent plus se loger près de leur lieu de travail. Cette situation a parfois des conséquences extrêmes comme par exemple le fait que des entreprises déménagent faute de logements pour leurs employés. Face à cette situation, de nombreuses villes ont pris des mesures pour réglementer les locations courte durée afin de rétablir l’équilibre sur le marché de l’immobilier locatif.

    La « loi Airbnb », loi de régulation des logements saisonniers, a été votée en première lecture à l’Assemblée nationale, le lundi 29 janvier 2024. Il semblerait que la volonté du gouvernement est d’aller vers un rééquilibrage entre meublés touristiques et logements à l’année dans les régions les plus attractives de France, appelées aussi « zones tendues ».

    On vous explique, en quelques lignes, qui est concerné par cette nouvelle loi et quels sont les objectifs. Mais informations à prendre avec des pincettes à ce jour, car work in progress, le texte va désormais être discuté au Sénat et tout projet peut encore être modifié !

    Définition des meublés de tourisme

    Il s’agit d’un appartement ou d’une maison, loué en meublé, à destination d’une clientèle touristique. Bien que l’on parle souvent de « location saisonnière« , seul le terme « meublé de tourisme » apparaît dans les textes législatifs.

    Les conditions pour louer un meublé de tourisme sont les suivantes :

    • Le logement doit être meublé,
    • Le logement doit être indépendant, et ne propose ni des services hôteliers, ni des équipements communs, contrairement aux résidences-service.
    • La durée locative ne doit pas excéder 90 jours ou 12 semaines consécutifs.
    • L’appartement loué peut constituer la résidence principale du propriétaire-bailleur, avec une occupation de 8 mois minimum par an, mais pas la résidence principale du locataire.

    mais alors, quelles sont les nouvelles obligations pour ces meublés touristiques ?

    Objectifs de la nouvelle loi airbnb 2024

    Cette loi ne concerne ni les résidences principales ni les départements d’Outre-mer.

    Cette proposition de loi ne vise pas à interdire les plateformes de type AirBnb, mais plutôt à trouver un équilibre entre activités touristiques saisonnières et vie des territoires le reste de l’année. Elle complète les mesures existantes telles que la déclaration préalable en mairie, le numéro d’enregistrement et la taxe de séjour qui sont obligatoires actuellement pour louer son logement.

    La PPL1176, aussi appelée “loi anti-airbnb”, vise principalement les meublés de tourisme, notamment dans les zones tendues.

    Dans un contexte de crise du logement, cette loi veut « remédier aux déséquilibres du marché locatif en zone tendue », avec 3 mesures principales.

    Modification de la fiscalité des locations touristiques

    La loi propose de modifier le régime fiscal des locations touristiques, en réduisant les abattements fiscaux pour les meublés de tourisme classés et non classés.

    • L’abattement fiscal pour les meublés de tourisme non classés passerait à 30%, avec un plafond de revenus locatifs annuels de 15 000 €, contre 50% actuellement et un plafond de 77 700 €.
    • L’abattement fiscal pour les meublés de tourisme classés, possédant un label de qualité allant de 1 à 5 étoiles, est abaissé à 30%, avec un plafond de revenus locatifs annuels de 30 000€, contre 71% actuellement et un plafond de 188 700 €.
    • Dans les zones rurales et les stations de sport d’hiver, un abattement supplémentaire de 41% est prévu à condition que le chiffre d’affaires ne dépasse pas 50 000€.

    A retenir : un meublé de tourisme non classé ou classé moins de trois étoiles bénéficie d’un abattement de 30 % jusqu’à 15 000 euros. De plus, la double déduction des amortissements pour les meublés de tourisme en location meublée non professionnelle (LMNP) serait supprimée. Les locations meublées occupées à titre de résidence principale ne seraient en revanche pas impactées.

    Exigence du diagnostic de performance énergétique (DPE) 

    La loi propose de soumettre la location de meublés touristiques aux mêmes obligations de performance énergétique que pour les biens loués sur de longues durées. Cette obligation s’appliquera à toutes les villes de France.

    Les propriétaires qui veulent louer en meublé de tourisme devront :

    • Pour un changement d’usage définitif : présenter un diagnostic de performance énergétique (DPE) classé entre les niveaux A et D
    • Pour un changement d’usage temporaire : respecter le calendrier de rénovation énergétique obligatoire des logements. Comme pour les logements classiques, seront interdits à la location les meublés touristiques classés G au 1er janvier 2025, classés F au 1er janvier 2028 et classés E au 1er janvier 2034. Mais, cette interdiction a été supprimée pour les logements inférieurs à 40 m2, voir notre article du 19 février « Nouveau calcul du DPE« 

    Des exigences déclaratives communes à tous les meublés de tourisme

    Obligation d’informer la copropriété avant la mise en location

    Lorsqu’un lot de copropriété a fait l’objet d’une déclaration préalable soumise à enregistrement en vue de sa location comme meublé de tourisme, le propriétaire doit en informer le syndic de copropriété et un point d’information doit alors être inscrit à l’ordre du jour de la prochaine assemblée générale.

    • prévoit que toute location d’un meublé de tourisme, classé ou non, soit soumis à la réalisation d’une déclaration préalable soumise à enregistrement, et ce même s’il s’agit de la résidence principale du loueur, qui devra alors le préciser au moment de la déclaration.
    • De plus, tous les loueurs en meublé de tourisme devront pouvoir être en mesure de fournir, sur demande de la commune et dans un délai d’un mois, le compte du nombre de jours pendant lesquels le logement meublé a été loué dans l’année civile.

    – Pouvoirs élargis pour les maires 

    La proposition de loi accorde aux maires des compétences élargies pour mieux réguler les locaux à usage touristique. Cela inclut l’extension du régime de changement d’usage à l’ensemble des territoires situés en zone tendue, ainsi que l’universalisation d’un numéro de déclaration et d’enregistrement des meublés de tourisme. Des sanctions renforcées sont prévues en cas de non-respect de ces obligations, avec des amendes pouvant aller jusqu’à 15 000 euros pour l’utilisation d’un faux numéro d’enregistrement.

     

    – Diminution de la durée de location de la résidence principale : 

    La location touristique de sa résidence principale resterait possible sans avoir à obtenir d’autorisation de changement d’usage. Mais les communes auront la possibilité d’abaisser le nombre maximal de jours de mise en location touristique pour les résidences principales, de 120 jours à 90 jours par an.

     

    Le texte va désormais être discuté au Sénat, et reste donc susceptible d’évoluer. Plus que jamais, la réalisation d’un investissement immobilier destiné à être donné en location nécessite une étude préalable du projet, en particulier lorsque le bien est destiné à de la location touristique, de courte durée. Notre équipe de chasse immobilière « Homelikehome » est à votre service pour vous accompagner dans vos futurs projets d’investissement locatifs.

    Les marques de luxe se lancent de plus en plus dans la décoration

     

    La décoration attire de plus en plus les marques en général mais aussi les marques de luxe. En effet, depuis la mise en place du télétravail pour beaucoup d’entre vous, la maison est devenu un lieu de repli, un lieu privilégié, dans lequel on investit beaucoup et peut-être même plus que dans l’habillement en général. On passe de plus en plus de temps chez soi et on est prêt à investir dans une jolie décoration, pour que son chez soi soit encore plus agréable à vivre…

     Ainsi, les marques de luxe multiplient les incursions dans la décoration, qu’il s’agissent de diversification ou de collaborations.

     

    La mode et la décoration ont souvent été liés par le passé

     

    La mode et la décoration ont souvent été liés car elles suivent toutes les deux des tendances, dictées au fil des saisons. Elles jouent avec les matières, les imprimées, les formes et se réinventent chaque jour grâce à des nouveautés bien pensées.

     

    Passer à la décoration est une étape importante pour les enseignes de textiles, qui peuvent alors exprimer tout leur savoir-faire dans l’aménagement d’intérieur, les arts de la table, les meubles…

     

    Difficile d’y voir une grande nouveauté… car les marques de mode de luxe ont investi la décoration il y a bien longtemps. Lors de la 61ème édition du Salon de Milan, les installations à couper le souffle de certaines marques de mode illustraient parfaitement l’engouement des marques pour le secteur de la décoration.

    Ces maisons de luxe sont également les premières à faire appel aux plus grands architectes du monde pour rénover leurs boutiques, car plus que des vêtements, l’acheteuse rêve d’un univers.

    En bref, le mariage de la décoration et de la mode touche tous les types d’enseignes, de la plus luxueuse à la plus accessible.

    Vers une expansion des lignes de décoration de plus en plus marquée

    A l’automne 1983, Ralph Lauren est devenu le tout premier créateur de mode à présenter une collection intégralement dédiée à la maison et au mobilier, ouvrant la voie aux marques de luxe lifestyle.

    En 2020, la griffe japonaise Kenzo a lancé une nouvelle marque de décoration intérieure, baptisée K3. Les petites marques émergentes ou plus pointues ont, dès le départ, vendu un style plus que des produits.

    Des Maisons telles que Loewe, Hermès, Louis Vuitton, Dior, Bottega Veneta, Jimmy Choo, Dolce & Gabbana, ou encore Prada ont présenté leurs nouvelles créations dans des mises en scène originales, au dernier salon de Milan. La marque éponyme de Karl Lagerfeld a dévoilé une ligne de mobilier de luxe et une gamme d’articles pour la maison.

    Si la Fast Fashion a définitivement bouleversé les codes de la mode jusqu’au nombre de collections des grandes maisons, l’impact semble plus léger dans la décoration à l’heure où Ikea a déjà largement révolutionné le milieu.

    Néanmoins, Pimkie, Monki, H&M, Zara, Urban Outfitters et bien d’autres marques souhaitent toutes développer leurs collections vers plus de meubles. Le client n’achète plus un objet ou un vêtement mais bien un concept, une idée et un style.

    Tout d’abord, il s’agit d’une stratégie de diversification au-delà des univers mode et accessoires et même au delà de l’art de la table, jusqu’à récemment seul segment déco couvert par les marques de luxe. Celles-ci y voient un bon moyen de capter de nouveaux relais de croissance, tout en diluant les risques.

    C’est également un moyen astucieux pour les marques de coller au plus près au mode de vie de leur clientèle fortunée et d’explorer de nouveaux territoires d’expression. Cette stratégie rejoint le concept d’extension de marque. Les articles pour la maison permettent en effet aux Maisons de luxe de projeter leur univers et leur esthétique jusqu’au domicile du client. Une approche qui est en mesure de créer une expérience de marque globale, de surcroit alignée avec l’identité de la marque.

     

    La quête de rentabilité reste toutefois un moteur pour les marques. Le marché du mobilier et de la décoration se révèle particulièrement lucratif, avec une demande croissante pour des produits de haute qualité et des créations originales. Le contexte de la pandémie a également contribué à une généralisation des achats en ligne, tendance qui s’est maintenue après les périodes de confinement. Le désir de cocooning et de bien-être chez soi a entraîné l’émergence de plusieurs tendances.

     

    Les marques de luxe utilisent souvent la stratégie de diversification pour étendre leur présence et leur influence dans d’autres secteurs, tels que la parfumerie et l’hôtellerie restauration. Un conseil, une envie en matière de décoration, un besoin de coaching… Chez HomelikeHome, on s’occupe de tout de la recherche de votre bien immobilier à sa décoration complète et bien au delà.

     

    Coliving, une nouvelle forme de colocation

     

    La colocation et le coliving ont le vent en poupe et on comprend pourquoi….

     

    Dans un contexte de prix immobiliers élevés et de recherche de solutions locatives favorisant le lien social, la colocation est en forte progression. L’immobilier de colocation représente 7% du marché immobilier français, avec une croissance de 40% chaque année. Doté d’une fiscalité attrayante et d’une rentabilité locative élevée, l’investissement en colocation immobilière est particulièrement adapté aux grandes villes car la vie est souvent chère, et les loyers inaccessibles pour bon nombre d’étudiants ou de jeunes travailleurs. Mais quelle est véritablement la différence entre ces 2 modes de vie ?

     

    Quelle est la différence entre colocation et coliving ?

    La colocation se définit comme la location d’un même logement par plusieurs locataires, constituant leur résidence principale. La colocation est donc le fait de louer un logement avec d’autres personnes, quelle que soit la nature des liens. La colocation est aussi utilisée pour profiter d’un logement plus grand, que l’on ne pourrait pas financer seul. Mais c’est aussi un moyen d’éviter la solitude et de pouvoir partager des activités avec ses colocataires qui partagent les mêmes centres d’intérêt.

    Le coliving est né dans les années 2000 aux Etats-Unis, et c’est un mélange entre la colocation et le coworking. Le coliving, c’est donc vivre dans un même lieu, mais avec une certaine indépendance. Les locataires possèdent des espaces privés tels que chambre, SDB, WC et parfois cuisine, mais aussi différents espaces communs à partager, tels qu’une salle de sport, une pièce TV, Home cinéma, une terrasse….et souvent une espace partagé qui s’apparente plus à ce que l’on retrouve dans l’hotellerie classique. Le coliving est particulièrement bien adapté  aux travailleurs indépendants, entrepreneurs qui se déplacent souvent….d’où le phénomène d’ampleur qu’a pris ce nouveau mode de logement, avec la mise en place du télétravail.

    Le phénomène s’est aussi beaucoup accentué avec la hausse des prix de l’immobilier qui a renchéri les loyers. La colocation s’est alors imposée comme une solution permettant d’occuper un logement plus vaste ou mieux situé, au départ pour des étudiants puis de plus en plus pour des jeunes actifs. La colocation a notamment été popularisée par la série TV américaine »Friends » dans les années 1990. Le coliving est souvent considéré comme une déclinaison du coworking.

    En général, les espaces de coliving sont, la plupart du temps, gérés par des entreprises spécialisées dans l’immobilier, alors que les colocations sont généralement gérées par un bailleur, agence ou particulier, qui loue le bien immobilier.

     

    La difficulté d’accès au logement dans les grandes agglomérations favorise les solutions d’habitat partagé. Le coût des loyers constitue en particulier un moteur à la colocation, qui permet de mutualiser les charges communes et de disposer d’un espace plus vaste.

    Quels sont les différents types d’espaces de coliving ?

    Pour l’heure, plusieurs régimes réglementaires peuvent s’appliquer en matière de logements en coliving (location meublée, régime para-hôtelier, foyer de jeunes travailleurs,…). Le positionnement de l’offre détermine les règles applicables et les contraintes associées pour les gestionnaires.

    Cible prioritaire des gestionnaires d’espaces de coliving et des plateformes de colocation telles que Cooloc, les millenials, population âgée de 20 à 35 ans, sont faiblement attachés à l’accession à la propriété et envisagent des parcours professionnels moins linéaires. Ils sont a priori plus ouverts à des solutions flexibles en matière d’habitat.

    L’offre de coliving peut être segmentée selon le type de logement, le type d’habitation dans lequel se trouve ce logement (maison, appartement, immeuble-résidence) et la durée du séjour.

    – collectifs : une chambre privée dans une maison ou un appartement qui comprend également des espaces partagés (cuisine, salle de bain, salon, jardin, etc.). À noter que l’appartement peut se situer dans un immeuble-résidence prévu pour le coliving avec des espaces équipés. Ce type de logement est celui qui se rapproche le plus de la colocation traditionnelle.

    – semi-privatifs : un espace privé, composé d’une chambre avec une kitchenette et/ou une SDB, dans un appartement ou une maison avec des espaces partagés (salon, salle à manger, espaces détente, salle de sport…)

    – privatifs : un studio tout équipé (chambre, salle de bain, cuisine) dans un immeuble-résidence qui s’organise autour de vastes espaces collectifs (coworking, détente, bar, restaurants, etc.). Ce modèle partage des similarités avec celui des résidences étudiantes.

    Les gestionnaires de coliving ont pour principal objectif d’optimiser le remplissage de leurs logements, pour lequel la problématique est différente selon le positionnement de leur offre. Pour les acteurs qui misent plutôt sur des courts séjours, le modèle est proche de celui de l’industrie hôtelière, avec des coûts de gestion plus élevés en raison du turn over, mais des prix supérieurs aux offres de longue durée.

    A l’inverse, les offres de longue durée misent sur des relations de plus long terme, qui permettent de limiter les coûts de commercialisation des offres.

    Un type d’habitat destiné principalement aux millennials

    Le coliving s’adresse principalement aux « millennials », donc les individus nés à partir de l’an 2000, et dans une acceptation plus large, des étudiants et actifs âgés de 18 à 35 ans. C’est environ 16 millions de Français qui appartiennent à la génération des millennials et une partie de cette population cible se caractérise par un rapport différent des générations précédentes au travail, à la consommation et au logement. Le coliving correspond aussi à une volonté de créer des communautés…

    La qualité de vie et la flexibilité sont ainsi particulièrement valorisées. L’offre de coliving se base sur l’économie des fonctionnalités.

    En favorisant une prestation de services liée à l’occupation d’un bien plutôt qu’une location traditionnelle, le coliving s’inscrit dans le mouvement de l’économie des fonctionnalités. Celui-ci consiste à favoriser l’usage et la jouissance d’un bien ou d’un service, plutôt que sa propriété. Dans le cas du coliving, les clients colocataires bénéficient d’une prestation tout-compris (logement et services dont les prestations de conciergerie, ménage, abonnements divers). L’offre se substitue ainsi à un bail classique et à un ensemble de prestations complémentaires, associées à la vie quotidienne et aux loisirs.

    • Le prix est la première raison qui pousse les individus à intégrer une colocation
    • Le vivre-ensemble est la deuxième raison qui pousse les individus à rester en colocation. Il faut noter que 40% des demandes de colocations sont émises par des étudiants et 46% par des actifs !

    Les millennials attachent une plus grande importance à la qualité de vie que les générations précédentes, notamment dans le monde du travail. En outre, cette génération se veut indépendante. En témoignent la proportion de célibataires et la tendance à l’augmentation du travail en freelance, et à la mise en place du télétravail.

    Quelles sont les attentes des milenials vis à vis du logement ?

    La mutation des préférences de consommation de cette génération impacte le marché de l’immobilier. À titre d’exemple, 40% des millennials vivent encore dans un logement locatif à 30 ans, alors que cette proportion était deux fois moindre pour les générations nées entre 1965 et 1980.

    Une caractéristique qui peut trouver plusieurs explications : le frein du prix à l’achat, mais aussi la volonté de ne pas limiter sa mobilité. Près d’un tiers des milenials n’envisagerait pas l’accès à la propriété. Chez Homelike Home, en 19 ans de chasse immobilière, on a vu l’âge moyen de nos primo-accédants passer de 31 ans à 37 ans !

    Deux facteurs peuvent expliquer en partie cette évolution : l’augmentation des prix de l’immobilier dans les grandes villes rendant l’achat impossible pour les jeunes actifs sans aide de la famille d’une part et d’autre part, l’investissement immobilier qui est considéré comme un frein à la mobilité.

    S’il est trop tôt pour parler d’engouement, force est de constater que cette forme d’habitat suscite l’intérêt en France et que le coliving se structurera selon les promesses de valeur affichées :

    – les résidences services 2.0 miseront notamment sur les étudiants, avec un élargissement en direction des jeunes actifs et voyageurs d’affaires, à travers une dose supplémentaire de services. Cette offre correspond davantage aux foncières, promoteurs et bailleurs sociaux.

    – les colocations augmentées, qui miseront sur les jeunes actifs et les liens affinitaires. Ces offres resteront développées majoritairement par des startups, avec pour cible, les jeunes actifs.

    – le coliving de courte durée, de quelques jours à quelques semaines, avec une dimension professionnelle ou de loisirs et basé sur une promesse de mobilité. Ce type d’offre pourrait être proposé par des acteurs du tourisme (hôtellerie urbaine) voire des promoteurs dans le cadre de résidences services spécifiques.

    L’offre de coliving est encore embryonnaire en France mais elle est amenée à se développer, et de plus en plus.

    Au-delà du coliving, la recherche de lien social, la difficulté à accéder aux logements, y compris aux colocations, dans les grandes agglomérations, et la recherche de flexibilité, ainsi que la qualité des prestations fournies, sont les explications à l’essor de l’habitat partagé.  

    Un conseil, un besoin, une envie d’acheter un appartement pour le louer ensuite en colocation, contactez notre équipe de chasseurs immobiliers Homelike Home. Nous saurons dénicher le bien idéal pour une future mise en co-location, et surtout nous saurons aussi vous conseiller pour trouver la bonne société pour gérer vos futurs co-locataires…

     

    crédit Photos : cooloc

    Les chasseurs de la Fédération des Chasseurs Immobiliers (FCI) se sont réunis à Paris

    Les membres de la Fédération des Chasseurs Immobiliers (FCI) se sont réunis à Paris, ce vendredi 10 mars 2023.

    La FCI représente les intérêts des chasseurs immobiliers auprès des pouvoirs publics, des syndicats professionnels et des Chambres des notaires.

    La FCI , défend les intérêts de l’acheteur, son client, et est le partenaire interactif des professionnels de l’immobilier, aussi bien agences immobilières, notaires, courtiers, banquiers, avocats…

    A l’origine, il existait 2 fédérations : la FFCI et la FNCI, qui ont fusionné pour devenir une seule et même fédération en 2022. Cette fusion a permis d’offrir un discours unique, au service de l’acheteur et d’avoir une seule force de frappe.

    Qu’est ce que  la chasse immobilière ?

    A la différence d’une agence immobilière, le chasseur immobilier Homelike Home va chercher un bien immobilier partout sur le marché, dans l’intérêt de son client. Il ne vend pas de biens immobiliers. Il est dédié au service de l’acheteur à 100%.

    Ce service s’inscrit toujours dans la cadre d’un mandat de recherche  et le plus souvent exclusif.
    Le chasseur peut également si son client le souhaite, l’accompagner dans la réalisation de travaux … le choix d’entrepreneurs, l’ameublement, la décoration d’intérieur, etc…

    En résumé, un chasseur d’appartement ou chasseur immobilier a pour objectif de trouver le meilleur bien, au meilleur prix et dans les meilleurs délais.

    Quels sont les atouts du Chasseur Immobilier ?

    • Le chasseur immobilier dispose d’une connaissance approfondie de son secteur et des prix du marché.
      Il est constamment au fait des normes et des réglementations en vigueur (étude des prix, lecture des diagnostics, évaluation des contraintes techniques et juridiques…)
    • Le chasseur immobilier est un expert reconnu, capable de conseiller et de guider les acquéreurs dans la réalisation de leur projet immobilier.
    • Son réseau (agences immobilières, particuliers, notaires, ventes aux enchères…) et sa réactivité permettent à ses clients de concrétiser, dans les meilleurs conditions et délais, l’acquisition de leur appartement, maison ou locaux professionnels.
    • Il détient une carte professionnelle immobilière (souvent appelée carte T pour Transaction sur immeubles et fonds de commerce) qui lui a été délivrée par la CCI.
    • Le chasseur immobilier est donc l’interlocuteur privilégié au service de l’acheteur, et va s’assurer que la recherche immobilière est bien réaliste par rapport à l’évolution du marché immobilier.

    Quels sont les avantages d’adhérer à une fédération professionnelle telle que la FCI ?

     

    La FCI réunit la très grande majorité des chasseurs immobiliers souhaitant garantir un service de qualité à leurs clients, mais aussi à leurs partenaires, agences, notaires, marchands de bien …

    Les adhérents de la FCI offrent la sérénité de travailler en confiance absolue avec des professionnels de la chasse immobilière.

    En résumé, un chasseur d’appartement (chasseur immobilier) a pour objectif de trouver le meilleur bien, au meilleur prix et dans les meilleurs délais.

    L’assemblée générale s’est terminée par une soirée au Sénat, où nos principaux partenaires, nos interlocuteurs privilégiés, étaient invités : agences immobilières, notaires, courtiers, banquiers, avocats . Dans un marché immobilier un peu compliqué actuellement, où les délais de transaction se rallongent beaucoup (80 jours en moyenne selon la FNAIM, entre la mise en vente d’un bien immobilier et la signature de la promesse !), on mutualise notre travail. Ainsi, les acteurs de la chasse immobilière se réinventent et ont construit des partenariats solides pour que chaque recherche immobilière aboutisse à une signature définitive.

    Tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin !

    Homelike Home est à l’origine de la FNCI, qui est devenue la FCI. Christine Pelosse est actuellement co-présidente de la FCI et a pour mission de valoriser le métier de chasseur immobilier et de le faire évoluer dans un contexte un peu plus difficile pour le marché immobilier. Votre chasseur immobilier Homelike Home sera votre véritable coach pour votre futur achat immobilier.

    Dans les coulisses de l’immobilier de luxe avec ces fameux acheteurs étrangers

     

    A l’inverse de l’immobilier parisien en perte de vitesse, la niche des biens de prestige dans la capitale semble afficher une santé éclatante.  D’où vient cet engouement ? Quels sont les quartiers et les biens préférés ? A quel prix se font les transactions ? Qui sont réellement ces fameux acheteurs étrangers dont les médias parlent tant ?

    On peine globalement à voir des facteurs nouveaux venant améliorer les conditions d’acquisition de l’ensemble des ménages français. Pourtant le logement continue de bénéficier d’une forte confiance, notamment de la part des acheteurs étrangers. Il reste une valeur-refuge incontestable permettant la constitution d’un capital sécurisant. Les besoins en logement restent importants en Ile-de-France.

    Qui n’a pas rêvé de s’offrir un joli pied à terre parisien, notamment depuis le taux de change favorable en faveur du dollar. Le marché immobilier parisien peut remercier la série « Emilie in Paris » qui a « redoré » l’image de la capitale française aux yeux des acheteurs étrangers.

     

    Que représente la part des acquéreurs étrangers des logements parisiens en 2022 ?

    Contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, la part des acquisitions réalisée par les étrangers en Ile de France et à Paris est faible…très faible. En effet, les étrangers acquéreurs représentent 0,8% des acquisitions en Ile de France, et 2,8% des acquisitions parisiennes.

    Ils viennent principalement :

    • des Etats-Unis = 23%
    • du Liban = 12%
    • de l’Italie = 9%
    • de l’Allemagne = 8%
    • de la Belgique = 6%

    En revanche, Les appartements qu’ils s’offrent sont un peu plus grands et surtout beaucoup plus chers que ceux des autres profils d’acquéreurs :

    Les étrangers achètent un bien « médian » de 51 m2 à 12 450 € le m2, soit un budget de 635 000 €. Ils privilégient les 6ème et 7ème arrondissements, et sont à l’origine, de respectivement, 11% et 13% des ventes dans ces quartiers.

    Les non-résidents américains, qui ont bénéficié d’un $ fort pendant l’année 2022, ont acheté les biens les plus chers, avec un budget d’achat médian de 825 000 €, soit 12 890 €/m2 pour 64 m2 de surface.

    Que représente la part des acquéreurs français non-résidents en France ?

    Il s’agit des acquéreurs dont la résidence principale est située hors de France, appelés plus généralement expatriés.

    Les expatriés français représentent 1,3% des acquisitions de logements IDF, et 3,8% des acquisitions dans Paris.

    Ils privilégient le centre de la Capitale et représentent 10% des acquéreurs dans les 6ème et 7ème  arrondissements de Paris.

    Qui sont les acquéreurs étrangers résidents en France en 2022 ?

    La part des acquéreurs étrangers résidents en France, dans l’achat de biens immobiliers, représente 9,6% en IDF

    Les maisons achetées par des étrangers résidents en France sont plus petites et moins chères, avec une moyenne de 95 m2 et 314 000 € en valeur médiane, versus 105 m2 et 370 000 € pour les français en général en 2022.

    D’où viennent ces acquéreurs étrangers résidents en France ?

    Chine = 15%

    Portugal = 11%

    Tunisie = 8%

    Italie = 7%

    Algérie = 7%

    Maroc = 6%

    Roumanie = 7%

    Chez Homelike Home, on connait bien la problématique de l’impatriation, et notamment comment bien acheter quand on est loin. Notre service permet aux acquéreurs étrangers nevivant pas en France, mais aussi aux expatriés français de dénicher le bien immobilier de leur rêve, en privilégiant toujours une seule règle ou presque : l’emplacement

    Notre équipe Homelike Home parle couramment anglais et est à votre disposition pour une chasse immobilière aussi bien à Paris, qu’en Ile de France, amis aussi dans une quinzaine de villes et régions au niveau national.

    Comment bien profiter de sa résidence secondaire, malgré l’augmentation de l’énergie cet hiver

    Le temps est à l’économie et notamment à l’économie d’énergie. Alors pas facile de profiter de sa résidence secondaire ou résidence semi-principale dans le Perche, en Normandie ou en Bretagne, sans voir sa facture de gaz et/ou d’électricité grimper en flèche.

     

    La facture d’électricité et de gaz ont tendance à enfler d’année en année, entraînant une réduction du pouvoir d’achat des ménages. Cependant, une partie de cette consommation peut être évitée. Entre le gaspillage et le manque d’entretien, il existe des gestes et réflexes efficaces et à effet immédiat sur les factures.

    Alors voici quelques astuces et conseils pour continuer à profiter de sa résidence secondaire à l’approche de cet hiver…

    1- Opter pour un contrat fixe avec votre fournisseur d’énergie :

    En signant un contrat d’énergie fixe, le prix du kWh restera le même tout au long de votre abonnement, quels que soient les aléas du tarif énergétique. Vous pourrez ainsi contourner les hausses du prix du gaz et de l’électricité attendues cet hiver.

     

    2 – Se chauffer à une température idéale :

    Le chauffage est souvent le 1er poste de consommation énergétique. C’est pourquoi, pour économiser l’énergie, il vaut mieux chauffer au plus près de ses besoins réels. Il faut aussi penser à couper ou réduire au maximum le chauffage dans les pièces où on vit moins.

    Réduire la température de 1 degré permet de réaliser en moyenne 7 % d’économie sur la facture de chauffage. Une bonne raison de mettre un pull ! Vous en avez assez de porter toujours le même pull, voilà une jolie idée de cadeau pour Noël….

     

    3- Programmer ou régler son chauffage à distance :

    Pour éviter les gaspillages d’énergie, programmer et planifier la température de son logement est un atout non négligeable. C’est possible grâce à un thermostat programmable ou connecté. Ainsi, le chauffage fonctionne uniquement pendant les périodes d’occupation de sa maison.

    Il est possible de programmer différemment chaque jour de la semaine et donc d’adapter une température spécifique pour la nuit par exemple. Les fonctions de régulation de ces thermostats permettent de diminuer jusqu’à 20 % sa consommation d’énergie

     

    4- Optimiser la diffusion de la chaleur de vos radiateurs :

    Pour pouvoir chauffer une pièce efficacement, les radiateurs doivent disposer de suffisamment de place autour d’eux afin d’assurer la circulation de l’air. Il faut donc éviter de poser des objets dessus, ou de positionner des meubles devant, car ceux-ci absorbent l’énergie thermique et empêchent la diffusion de la chaleur.

    Il faut également penser à entretenir les radiateurs, en les dépoussiérant deux fois par an, et en les purgeant une fois par an, au moment de leur entrée en service au début de l’hiver, afin d’en vider les bulles d’air.

     

    5- Entretenir sa chaudière :

    L’entretien de sa chaudière, que vous soyez locataire ou propriétaire, est obligatoire une fois par an. La révision de sa chaudière est une obligation légale qui permet, indépendamment de l’aspect sécuritaire de la démarche, de réaliser 8 à 12 % d’économies sur sa facture de gaz ! Elle doit, bien entendu, être réalisée par un professionnel pour garantir un chauffage sûr et efficace.

     

    6- Régler la bonne température pour le chauffe-eau :

    Régler la température de l’eau à 55°,  voire 60 ° est largement suffisant. Par ailleurs, plutôt que des bains, optez pour les douches. En effet, une douche consomme de 30 à 60 litres, versus 150 à 200 litres d’eau pour un bain ! C’est 3 à 5 fois plus de volume d’eau. Alors, convaincu par l’usage de la douche ?

     

    7- Débrancher les appareils en mode veille :

    C’est aujourd’hui l’un des principaux postes de gaspillage énergétique, tant les appareils équipés d’un mode veille sont devenus nombreux. On en compte entre 15 et 50 par foyer, et la consommation globale de ces appareils a augmenté de 30 % depuis ces dix dernières années. Le coin hi-fi et les appareils multimédias, en particulier, sont de plus en plus nombreux à disposer d’une connexion permanente à internet, ce qui implique un mode veille très friand en électricité.

     

    8- Prendre soin de ses appareils électro-ménagers courants tels que, réfrigérateur, lave linge, sèche linge…

    Un réfrigérateur consomme presque 400 kWh par an en moyenne, tandis que le congélateur en consomme en moyenne 550 kWh. Comme pour le lave-linge et le sèche-linge, le 1er facteur de consommation d’électricité tient bien sûr dans la fréquence d’utilisation. Le sèche-linge, en particulier, consomme en moyenne deux fois plus d’énergie que le lave-linge, et il est donc indiqué de faire sécher son linge sur un étendage quand on le peut.

     

    9- Utiliser intelligemment les heures creuses pour réduire la facture d’électricité :

    Un ménage  disposant d’un contrat d’électricité en heure creuse et heur pleine , devrait penser à faire tourner son électro-ménager si possible pendant les heures creuses, quand le prix de l’électricité est sensiblement moins cher. Les plages horaires des heures creuses dépendent de la localisation et peuvent s’étendre sur le début d’après-midi et la nuit, ou seulement la nuit, pour une durée de 8 heures au total.

     

    10- S’équiper d’appareils électroménagers et ampoules à faible consommation d’énergie :

    Outre le caractère écologique d’une telle démarche, s’équiper en appareils électriques à faible consommation permet de réduire efficacement sa facture d’électricité annuelle.  À l’achat, il est utile de bien vérifier l’efficience énergétique des appareils électriques. C’est un peu comme le DPE pour un logement.

     

    11- Adopter un comportement économe dans la salle de bain :

    Il existe des gestes simples dans la salle de bain qui permettent de réduire la facture d’électricité et de gaz.

    Ainsi, un robinet qui goutte, c’est 35 000 litres d’eau consommés pour rien chaque année.

    De même aérer après l’utilisation de la SDE ou SDB est indispensable.

     

    12- Changer de fournisseur pour réduire le prix du kWh :

    Depuis 2007 et l’ouverture des marchés de l’électricité et du gaz à la concurrence, alléger sa facture d’énergie annuelle n’a jamais été aussi simple. Les consommateurs ne sont plus obligés de souscrire aux tarifs réglementés des fournisseurs historiques et peuvent changer très facilement de fournisseur !

     

    13- Surveiller l’étanchéité de son logement :

    Les ouvertures telles que les portes et les fenêtres représentent environ 15 % des déperditions d’énergie dans une maison, et une part nettement plus significative en appartement. Pour réduire les pertes de chaleur, il faut penser à fermer systématiquement les volets de vos fenêtres la nuit, et envisager d’investir dans des rideaux isolants. Ces deux bonnes pratiques permettront de réduire les déperditions d’énergie d’au moins 15 à 30 % .

     

    14- Aérer régulièrement :

    Pour autant, veiller à l’étanchéité de l’habitation ne signifie pas qu’il faut cesser d’aérer. Pour conserver un environnement sain et renforcer la sensation de chaleur, il est recommandé d’ouvrir les fenêtres en grand au moins 10 minutes par jour, ce qui permet d’évacuer l’humidité. Le mieux est bien sûr d’aérer en journée, quand les températures sont plus clémentes. En revanche, la nuit, en hiver, fermer les rideaux ou les volets permet de conserver la chaleur accumulée dans la journée.

     

    15- Enfin, utiliser une cheminée ou un poêle à bois :

    L’installation d’un insert à bois ou à granulés offre de nombreux avantages : économies d’énergie, confort et sécurité. Il permet notamment d’augmenter le rendement de votre cheminée jusqu’à 70 %. De plus, il est éligible à plusieurs aides écologiques. Prime énergie, crédit d’impôt transition énergétique, TVA réduite

    On constate que les montants mobilisables sont conditionnés aux revenus mais se chiffrent le plus souvent en milliers d’euros. On note également que les inserts sont moins bien subventionnés que les poêles, malgré une augmentation des aides en 2022 et des performances comparables.

    Logement existant : Les aides publiques se focalisent sur les logements de plus de 15 ans qui sont aussi les plus énergivores. Les aides privées concernent les habitations de plus de 2 ans, mais il n’existe aucune aide pour le neuf.

    C’est quoi les Primes Énergie ?

    Depuis janvier 2019, tous les particuliers, propriétaires ou locataires, sont éligibles à la Prime énergie. En revanche, seul le commanditaire des travaux pourra bénéficier du montant de la Prime Energie.

    Une Prime Energie permet de payer des dépenses dans le cadre de travaux visant à améliorer les performances énergétiques d’un logement, comme le remplacement de son chauffage ou dans le cadre de travaux d’isolation par exemple. Elle est versée par les signataires de la charte « Coup de pouce », c’est-à-dire principalement par les fournisseurs d’énergie. La Prime Energie peut être demandée jusqu’au 31 décembre 2022. Pour pouvoir bénéficier de la Prime Energie, le particulier doit impérativement faire sa demande avant que le devis pour les travaux qu’il souhaite réaliser soit accepté.

    Le montant de la prime dépend de deux éléments :

    • La nature des travaux réalisés
    • Les revenus du ménage

    En attendant, si vous êtes à la recherche d’une maison de campagne dans le Perche, en Normandie ou en Bretagne mais aussi dans le sud de la France, ou d’une résidence semi-principale, notre équipe de chasseurs Homelike Home est à votre service pour dénicher la maison de vos rêves, tout en prêtant attention à la bonne isolation de votre futur maison, mais aussi au mode de chauffage existant. Contactez-notre équipe Homelike Home, et visitez de votre fauteuil en limitant vos déplacements inutiles.

     

    Un mauvais DPE peut entraîner une négociation importante d’un bien immobilier

    La performance énergétique d’un bien peut diminuer considérablement sa valeur. Avec la mise en place du nouveau DPE,  la décote frise les 15% pour les biens immobiliers notés en G (passoires thermiques) en comparaison avec les maisons classées A (logement performant), notamment à Dijon, Reims, Rennes et Angers…Ces décotes sont moins importantes dans les grandes villes telles que Bordeaux, Lyon et sont de l’ordre de -5%.

    À Paris, le DPE  n’a pas encore d’impact significatif sur le prix des appartements. Le marché parisien étant encore un marché tendu, les acquéreurs restent moins regardants. De plus, La majeure partie des appartements parisiens (52% ces 12 derniers mois) présente une faible performance énergétique, avec des DPE E, F ou G, contre 31% à l’échelle de la France.

    Rappelons que depuis le 1er janvier 2022, le diagnostic de performance énergétique (DPE) figure sur les annonces immobilières.

    Ainsi, les prix de vente restent élevés mais les acquéreurs négocient beaucoup plus.

     

    Il faut distinguer les acheteurs qui souhaitent faire de leur nouvelle acquisition leur résidence principale, auquel cas la décote est moins importante, des investisseurs, pour qui le DPE a une énorme incidence. Ils ont besoin de savoir si leur futur bien immobilier pourra être loué sans problème dans le temps.

    Rappelons que dès le 1er janvier 2023, les passoires thermiques de la classe G seront interdites à la location, pour les pires notations.

    En 2025, tous les logements notés G seront concernés par cette interdiction de location.

    Les logements classés F le seront en 2028 et les logements avec l’étiquette E en 2034.

    Un impact plus important sur les maisons :

     

    Pour ce qui est des maisons, le DPE a un impact plus important sur leur prix que sur celui des appartements, car le coût des travaux d’isolation à envisager est souvent plus important. Les décotes peuvent atteindre jusqu’à – 15% dans ce cas.

    Rappelons que les maisons sont souvent de taille plus importantes que les appartements et que le coût d’entretien au quotidien en terme de chauffage notamment, est beaucoup plus important.

    Il est important de passer par un professionnel de l’immobilier tel que Homelike Home, pour obtenir des conseils et négocier plus facilement selon la note du DPE du bien immobilier  que vous venez de visiter.

    Coliving, Colocation, une nouvelle manière de vivre, de cohabiter et d’appréhender l’immobilier

     

    Coliving ou Colocation, un nouveau mode de vie qui a le vent en poupe, et qui est particulièrement adapté aux grandes villes car la vie est souvent chère, et les loyers inaccessibles pour bon nombre d’étudiants ou de jeunes travailleurs. Mais quelle est véritablement la différence entre ces 2 modes de vie.

     

    Quelle est la différence entre colocation et coliving ?

    Selon la loi Alur de Mme Duflot, la colocation se définit comme la location d’un même logement par plusieurs locataires, constituant leur résidence principale. La colocation est donc le fait de louer un logement avec d’autres personnes, quelle que soit la nature des liens. La colocation est aussi utilisée pour profiter d’un logement plus grand, que l’on ne pourrait pas financer seul. Mais c’est aussi un moyen d’éviter la solitude et de pouvoir partager des activités avec ses colocataires qui partagent les mêmes centres d’intérêt.

    Le coliving est né dans les années 2000 aux Etats-Unis, et c’est un mélange entre la colocation et le coworking. Il s’agit d’un nouveau mode d’habitat qui prendra à l’avenir, une grande part du paysage immobilier français, mais aussi au niveau national. Le coliving, c’est donc vivre dans un même lieu, mais avec une certaine indépendance. Les locataires possèdent des espaces privés tels que chambre, SDB, WC et parfois cuisine, mais aussi différents espaces communs à partager, tels qu’une salle de sport, une pièce TV, Home cinéma, une terrasse….et souvent une espace partagé qui s’apparente plus à ce que l’on retrouve dans l’hotellerie classique. Le coliving est particulièrement bien adapté  aux travailleurs indépendants, entrepreneurs qui se déplacent souvent….d’où le phénomène d’ampleur qu’a pris ce nouveau mode de logement, avec la mise en place du télétravail.

    Le phénomène s’est aussi beaucoup accentué avec la hausse des prix de l’immobilier qui a renchéri les loyers. La colocation s’est alors imposée comme une solution permettant d’occuper un logement plus vaste ou mieux situé, au départ pour des étudiants puis de plus en plus pour des jeunes actifs. La colocation a notamment été popularisée par la série TV américaine »Friends » dans les années 1990. Le coliving est souvent considéré comme une déclinaison du coworking.

    En général, les espaces de coliving sont, la plupart du temps, gérés par des entreprises spécialisées dans l’immobilier, alors que les colocations sont généralement gérées par un bailleur, agence ou particulier, qui loue le bien immobilier.

    En France ou dans les autres pays où une offre se développe, le coliving est loin d’être structuré. Ainsi, des colocations traditionnelles comme des résidences étudiantes proposant des services peuvent revendiquer l’étiquette de coliving.

    La difficulté d’accès au logement dans les grandes agglomérations favorise les solutions d’habitat partagé. Le coût des loyers constitue en particulier un moteur à la colocation, qui permet de mutualiser les charges communes et de disposer d’un espace plus vaste.

    Quels sont les différents types d’espaces de coliving ?

    Plusieurs fondamentaux permettent de distinguer les offres de coliving : une offre tout compris permettant aux occupants de se dégager des contraintes administratives, une volonté de créer du lien entre les occupants et une cible commerciale composée essentiellement de « millenials » (20 à 35 ans).

    Pour l’heure, plusieurs régimes réglementaires peuvent s’appliquer en matière de logements en coliving (location meublée, régime para-hôtelier, foyer de jeunes travailleurs,…). Le positionnement de l’offre détermine les règles applicables et les contraintes associées pour les gestionnaires.

    Cible prioritaire des gestionnaires d’espaces de coliving et des plateformes de colocation telles que Cooloc, les millenials sont faiblement attachés à l’accession à la propriété et envisagent des parcours professionnels moins linéaires. Ils sont a priori plus ouverts à des solutions flexibles en matière d’habitat.

    L’offre de coliving peut être segmentée selon le type de logement, le type d’habitation dans lequel se trouve ce logement (maison, appartement, immeuble-résidence) et la durée du séjour.

    – collectifs : une chambre privée dans une maison ou un appartement qui comprend également des espaces partagés (cuisine, salle de bain, salon, jardin, etc.). À noter que l’appartement peut se situer dans un immeuble-résidence prévu pour le coliving avec des espaces équipés. Ce type de logement est celui qui se rapproche le plus de la colocation traditionnelle.

    – semi-privatifs : un espace privé, composé d’une chambre avec une kitchenette et/ou une SDB, dans un appartement ou une maison avec des espaces partagés (salon, salle à manger, espaces détente, salle de sport…)

    – privatifs : un studio tout équipé (chambre, salle de bain, cuisine) dans un immeuble-résidence qui s’organise autour de vastes espaces collectifs (coworking, détente, bar, restaurants, etc.). Ce modèle partage des similarités avec celui des résidences étudiantes.

    Les gestionnaires de coliving ont pour principal objectif d’optimiser le remplissage de leurs logements, pour lequel la problématique est différente selon le positionnement de leur offre. Pour les acteurs qui misent plutôt sur des courts séjours, le modèle est proche de celui de l’industrie hôtelière, avec des coûts de gestion plus élevés en raison du turn over, mais des prix supérieurs aux offres de longue durée.

    A l’inverse, les offres de longue durée misent sur des relations de plus long terme, qui permettent de limiter les coûts de commercialisation des offres.

    Un type d’habitat destiné principalement aux millennials :

    Le coliving s’adresse principalement aux « millennials », donc les individus nés à partir de l’an 2000, et dans une acceptation plus large, des étudiants et actifs âgés de 18 à 35 ans. C’est environ 16 millions de Français qui appartiennent à la génération des millennials et une partie de cette population cible se caractérise par un rapport différent des générations précédentes au travail, à la consommation et au logement. Le coliving correspond aussi à une volonté de créer des communautés…

    La qualité de vie et la flexibilité sont ainsi particulièrement valorisées. L’offre de coliving se base sur l’économie des fonctionnalités.

    En favorisant une prestation de services liée à l’occupation d’un bien plutôt qu’une location traditionnelle, le coliving s’inscrit dans le mouvement de l’économie des fonctionnalités. Celui-ci consiste à favoriser l’usage et la jouissance d’un bien ou d’un service, plutôt que sa propriété. En l’espèce, dans le cas du coliving, les clients colocataires bénéficient d’une prestation tout-compris (logement et services dont les prestations de conciergerie, ménage, abonnements divers). L’offre se substitue ainsi à un bail classique et à un ensemble de prestations complémentaires, associées à la vie quotidienne et aux loisirs.

    • Le prix est la première raison qui pousse les individus à intégrer une colocation
    • Le vivre-ensemble est la deuxième raison qui pousse les individus à rester en colocation. Il faut noter que 40% des demandes de colocations sont émises par des étudiants, alors que 46% des demandes de colocations sont émises par des actifs !

    Les millennials attachent une plus grande importance à la qualité de vie que les générations précédentes, notamment dans le monde du travail. En outre, cette génération se veut indépendante. En témoignent la proportion de célibataires et la tendance à l’augmentation du travail en freelance, et à la mise en place du télétravail.

    Quelles sont les attentes des milenials vis à vis du logement ?

    La mutation des préférences de consommation de cette génération impacte le marché de l’immobilier. À titre d’exemple, 40% des millennials vivent encore dans un logement locatif à 30 ans, alors que cette proportion était deux fois moindre pour les générations nées entre 1965 et 1980.

    Une caractéristique qui peut trouver plusieurs explications : le frein du prix à l’achat, mais aussi la volonté de ne pas limiter sa mobilité. Près d’un tiers des milenials n’envisagerait pas l’accès à la propriété. Chez Homelike Home, en 19 ans de chasse immobilière, on a vu l’âge moyen de nos primo-accédants passer de 31 ans à 37 ans !

    Deux facteurs peuvent expliquer en partie cette évolution : l’augmentation des prix de l’immobilier dans les grandes villes rendant l’achat impossible pour les jeunes actifs sans aide de la famille d’une part et d’autre part, l’investissement immobilier qui est considéré comme un frein à la mobilité.

    L’habitat participatif est, selon la loi ALUR, « une démarche citoyenne qui permet à des personnes physiques de s’associer, le cas échéant avec des personnes morales, afin de participer à la définition et à la conception de leur logement et des espaces destinés à un usage commun, de construire ou d’acquérir un ou plusieurs immeubles destinés à leur habitation et, le cas échéant, d’assurer la gestion ultérieure des immeubles construits ou acquis ».

    Des particuliers peuvent ainsi s’associer dans le cadre d’un projet immobilier et définir eux-mêmes les espaces privés et partagés (buanderie, espaces de travail ou destinés à des invités, salle de sport…Ils participent à l’élaboration du bien à travers le choix des matériaux et la conception, puis lors de la phase de gestion. Ils peuvent éventuellement s’impliquer dans la phase de construction pour voire naître des projets qui peuvent comprendre de 5 à 20 logements.

    S’il est trop tôt pour parler d’engouement, force est de constater que cette forme d’habitat suscite l’intérêt en France et que le coliving se structurera selon les promesses de valeur affichées :

    – les résidences services 2.0 miseront notamment sur les étudiants, avec un élargissement en direction des jeunes actifs et voyageurs d’affaires, à travers une dose supplémentaire de services. Cette offre correspond davantage aux foncières, promoteurs et bailleurs sociaux.

    – les colocations augmentées, qui miseront sur les jeunes actifs et les liens affinitaires. Ces offres resteront développées majoritairement par des startups, avec pour cible, les jeunes actifs.

    – le coliving de courte durée, de quelques jours à quelques semaines, avec une dimension professionnelle ou de loisirs et basé sur une promesse de mobilité. Ce type d’offre pourrait être proposé par des acteurs du tourisme (hôtellerie urbaine) voire des promoteurs dans le cadre de résidences services spécifiques.

    L’offre de coliving est encore embryonnaire en France mais elle est amenée à se développer, et de plus en plus.

    Au-delà du coliving, la recherche de lien social, la difficulté à accéder aux logements, y compris aux colocations, dans les grandes agglomérations, et la recherche de flexibilité, ainsi que la qualité des prestations fournies, sont les explications à l’essor de l’habitat partagé.  

    Un conseil, un besoin, une envie d’acheter un appartement pour le louer ensuite en colocation, contactez notre équipe de chasseurs immobiliers Homelike Home. Nous saurons dénicher l’appartement idéal pour une future mise en co-location, et surtout nous saurons aussi vous conseiller pour trouver la bonne société pour gérer vos futurs co-locataires…

    Rentrée immobilière et petit déjeuner de rentrée de l’équipe Homelike Home

    Rentrée littéraire, rentrée immobilière et premier petit déjeuner de rentrée d’une partie de la team          d’Homelike Home sous un soleil éclatant.

    Nous avons eu la chance de pouvoir nous réunir dans l’enceinte du Musée Carnavalet, dans le restaurant Fabula, et de pouvoir profiter des derniers rayons de soleil de ce mois de septembre, avec une toute petite partie de l’équipe Homelike Home.

     

    Le musée Carnavalet nous tient particulièrement à coeur, car il rassemble plus de 625 000 œuvres, des origines à nos jours, pour raconter l’histoire de Paris. Peintures, sculptures, maquettes, enseignes, dessins, gravures, affiches, médailles et monnaies, objets d’histoire et de mémoire, photographies, boiseries, décors et pièces de mobilier…le musée Carnavalet a été ouvert en 1880 et occupe deux magnifiques hôtels particuliers des XVIème  et XVIIème siècles. Dans ce cadre architectural remarquable, on découvre les riches collections du musée, sans oublier la visite de l’orangerie, entièrement restaurée en 2000. De grandes expositions sont régulièrement organisées, et nous attendons avec impatience l’exposition intitulée « Parisiennes citoyennes », qui aura lieu du 28 septembre 2022 au 29 janvier 2023.

     

    L’occasion d’échanger sur les perspectives d’un marché immobilier un peu chamboulé en ce moment, avec une interrogation sur la stabilisation, la montée ou la baisse des prix du marché immobilier aussi bien à Paris qu’en province, et de comprendre quand l’octroi de prêt allait enfin être facilité pour nos clients acquéreurs. Nous avons eu de nombreux refus de prêt cet été, à cause de ce fameux taux d’usure, actuellement trop bas, qui doit enfin être remonté au mois d’octobre et permettre à nouveaux aux futurs acquéreurs de pouvoir emprunter plus facilement.

    Cette rentrée 2022 est aussi marquée par la fusion entre les 2 fédérations de chasseurs immobiliers qui existaient jusqu’à présent, avec la FNCI et la FFCI. Voici la naissance de la FCI, Fédération des Chasseurs Immobiliers, dont j’ai la chance d’être présidente avec Stéphane MEIGNANT de la société de chasse immobilière Côté Acheteur.  La FCI regroupe actuellement près de 100 chasseurs, parmi les cabinets de chasse les plus importants au niveau national.

     

    A très vite pour votre prochaine recherche d’appartement à Paris ou de maison en province, avec l’équipe Homelike Home qui se tient à votre disposition partout en France ou presque…!

     

     

     

    Suivez-nous sur Instagram