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Je souhaite être rappelé !

Merci de me contacter au numéro suivant :

    Une rentrée à toute vitesse

     

     

    Voici quelques tendances décryptées avant les vacances de février pour vous donner quelques clés pour mieux comprendre ce qui se passe actuellement sur le marché de l’immobilier et de l’économie en général. Peur de l’inflation ? n’ayez crainte, tout se passera bien…

     

    L’ACTUALITÉ IMMOBILIERE :

    Immobilier : tout ce qui change à partir de janvier 2022

    Audit énergétique obligatoire :

    La loi « Climat et Résilience » devait rendre obligatoire, dès le 1er janvier 2022, la réalisation d’un audit énergétique lors de la vente d’une maison ou d’un immeuble. Si le diagnostic de performance énergétique (DPE) est de classe F ou G, votre bien immobilier est alors considéré comme une passoire énergétique ! Cependant, le ministère du Logement a décidé de décaler cette échéance au 1er septembre 2022. Ainsi, les vendeurs de biens diagnostiqués F et G n’auront pas à produire d’audit pour les actes signés avant cette date.

    L’audit énergétique est un document permettant de définir précisément un plan de travaux d’amélioration de la performance énergétique, il est jugé comme un passage obligé pour faciliter des rénovations globales. Son coût est estimé à environ 900 € pour une maison.

    L’ACTUALITE de L’ECONOMIE :

    Faut-il espérer une baisse des prix en 2022 ?

    Vous entendez parler d’inflation, d’augmentation des prix de la vie quotidienne, et vous vous demandez quelles seront les répercussions sur l’immobilier ? En 2021, l’inflation a fait son grand retour, après un taux moyen annuel de l’évolution des prix contenu à 0,9% depuis 2015. L’inflation a atteint un niveau élevé de 2,8% voire 2,9% en janvier 2022. Le taux français s’est établi à 3,2% entre décembre 2020 et décembre 2021, contre 5% de moyenne européenne.

    la hausse des prix à la consommation en France devrait se poursuivre au cours de ce premier semestre 2022, pour se hisser, en juin prochain, à 3% voire 3,5% en glissement annuel.

    La faute aux prix de l’énergie, en totale surchauffe : +45% pour l’électricité, +42% pour le gaz et un baril de pétrole qui a atteint son plus haut niveau depuis 2014 ! Alors panique ou pas ?

    Pas de panique…Malgré une remontée en ce début d’année 2022, les taux d’intérêt, notamment pour les crédit immobiliers, sont toujours à des niveaux historiquement bas. Cependant les banques ont remonté leurs barèmes entre 0,05% et 0,15% sur toutes les durées d’emprunt. Pour l’heure, les taux d’emprunt restent bien inférieurs à l’inflation. Il est donc possible de s’endetter à moindre coût si le dossier est solide , c’est à dire avec des revenus confortables et un apport personnel d’au moins 10% !

    En résumé, ceux qui détiennent déjà un crédit à l’habitat n’ont rien à craindre de l’inflation. Au contraire, si leurs revenus progressent au rythme de la hausse des prix, leurs mensualités d’emprunt ne bougent pas. Par conséquent, le poids du crédit dans les revenus s’affaiblit, et ils ne perdent pas de pouvoir d’achat.

     

    2021 était une année raccord sur le marché immobilier. Le prix au m2 a atteint des sommets avec une augmentation en France en moyenne de +7,4% pour les maisons avec un prix moyen/M2 à 2113 € et +5,3% pour les appartements, avec un prix moyen/M2 de 3171 €. Dans l’hexagone, il faut compter 267 524 € pour l’achat d’une maison et 227 897 € pour l’achat d’un appartement.

    La maison est de plus en plus privilégiée avec la mise en place du télétravail. La présence d’un jardin, d’une terrasse et surtout d’un peu de verdure et de calme, depuis les nombreux confinements que nous avons connus depuis mars 2020, semble être une tendance qui perdure.

    La bourse a connu aussi des chiffres records en 2021, mais avec une forte volatilité, alors que la pierre apparaît pour les Français comme un investissement fiable et pérenne.

    Ainsi, en 2021, le volume de transactions estimé atteint la barre des 1 200 000 ventes contre 1 024 000 en 2020 et 1 067 000 ventes en 2019.

    De plus, les ménages français n’ont jamais autant épargné depuis le 1er confinement, en mars 2020. Ils disposent donc un « stock d’épargne » à investir, complété par les faibles taux d’intérêt, qui restent bas en ce début d’année 2022.

    Certaines villes, telles que Lille, Toulouse, Angers, continuent de voir leurs prix grimper malgré un début d’année plutôt calme pour d’autres grandes villes comme Paris, Lyon et Bordeaux.

     

    L’ACTUALITE de Homelike Home :

    Homelike Home poursuit son expansion…cap sur la Bretagne Nord et sur le Pays Basque :

     Homelike Home continue son expansion avec l’ouverture d’un bureau de chasse immobilière dans le nord de la Bretagne, à Rennes et ses environs avec Aurélie Roul.

    Originaire de Paris, après des études de comptabilité, Aurélie s’est orientée vers le financement immobilier. Depuis des années, elle accompagne des clients dans le financement immobilier. La recherche d’un bien immobilier est un long travail fastidieux pour le futur acquéreur qui souvent par manque de temps n’est pas prioritaire sur le bien de ses rêves. Elle a découvert Homelike Home grâce à des clients, qui, après des mois de recherches infructueuses, ont confié leur recherche immobilière à Homelike Home qui leur a déniché le bien correspondant à leurs attentes. Détail important pour Aurélie : « Pendant 17 ans, j’ai travaillé dans un univers professionnel représenté essentiellement par le gente masculine et j’ai actuellement besoin de me retrouver dans un élément plus doux, plus harmonieux avec une punchline différente. »

    Une envie de maison à Cancale, Saint-Malo ou autre, confiez-lui votre recherche immobilière, et visitez de votre fauteuil !

     

    Homelike Home continue son expansion en 2022, avec l’ouverture de Homelike Home au Pays Basque. Rappelons que Lara Bel, associée chez Homelike Home et dirigeante de Homelike Home et HOMELIKE Office Bordeaux, est originaire de Bayonne. Vous en saurez plus la semaine prochaine, d’ici là bonne semaine à tous et surtout bonnes vacances à ceux qui ont déjà la chance d’être en vacances !

     

    Télétravail, envie de davantage d’espace et surtout de verdure, nouvelles obligations pour rénover les logements considérés comme énergivores, sans oublier l’encadrement des loyers qui va être appliqué dans des nouvelles villes…quelques nouveautés qui risquent de chambouler un peu le marché immobilier en 2022. Sans oublier que cette année est une année d’élection présidentielle, qui est souvent synonyme d’attentisme, notamment en matière d’achat immobilier.

    N’oubliez pas : notre équipe de chasseurs immobiliers spécialistes de la région est là pour vous aider à réaliser votre projet immobilier quel qu’il soit : investissement locatif, achat d’une résidence principale ou achat d’une résidence secondaire.

     

     

    Assemblée Générale de la FNCI (Fédération Nationale des Chasseurs Immobiliers)

     

    Nous avons organisé la nouvelle assemblée générale de la FNCI (Fédération Nationale des Chasseurs Immobiliers) au centre d’affaire Edouard VII, en plein coeur de Paris, entre la Madeleine et l’Opéra.

     

    C’était aussi l’occasion pour tous les membres de la FNCI de se retrouver en présentiel après 2 assemblées générales virtuelles.

    On note un attrait marqué pour la province depuis le 1er confinement et qui ne faiblit pas. Au sein de la FNCI, on remarque que les nouveaux adhérents, en 2021, sont tous en province ou presque !

     

     

    L’immobilier, un bon cru en 2021 avec un attrait de plus en plus marqué pour la province

    Selon la chambre des Notaires du Grand Paris, 42 060 logements anciens ont été vendus en Ile-de-France au 2ème trimestre 2021. Les prix de l’immobilier ont bien résisté à la crise sanitaire et continuent d’augmenter dans ce contexte de sortie de crise.

    En 1 an la hausse du prix des maisons atteint +6,9 % au 2e trimestre 2021 sur toute la France. De leur côté, les prix des appartements ont augmenté de +4,6 %.

    Le nombre de transactions a baissé de – 5 % au 3ème trimestre 2021 par rapport à celui de 2019. Si les prix stagnent dans les grandes agglomérations telles que Lyon, Bordeaux ou Nantes, ils continuent leur ascension dans plusieurs régions.

     

     

    La province a donc le vent en poupe avec des prix très élevés, et qui ont augmenté de plus de +15% en Bretagne par exemple.

    La crise du Covid-19, les confinements successifs et le télétravail ont poussé des citadins à quitter les centres-villes quand ils le pouvaient. À Paris, la désertion a pris une ampleur inédite, et on peut remarquer une baisse de -5% d’écoliers pour cette rentrée 2021.

    Quitter Paris pour la campagne, la mer, la montagne ou encore une ville plus petite, et fuir  le rythme effréné des grandes villes… Beaucoup rêvent de franchir le pas. Chaque année, Paris perd près de 11 000 habitants, et c’est pas fini…!

     

    Un marché immobilier dynamique mais encore pour combien de temps ?

    Le dynamisme du marché se poursuit mais les notaires pensent que cela ne va pas durer. D’ailleurs les études notariales voient les prix du m² se stabiliser et ils ne sont plus que 12 % à voir les ventes immobilières augmenter sur leur secteur, tandis que 27 % s’attendent à une baisse de leur activité.

    Avec ce constat, 54 % des notaires conseillent de vendre avant d’acheter.

     

    Les emprunteurs continuent de profiter de taux d’intérêts très abordables cette année. Même si les banques ne distribuent plus de crédits immobiliers sur 30 ans, les taux restent historiquement au plus bas sur les durées de 20 à 25 ans, avec en moyenne des taux à 1.05%

     

    La stabilisation, voire la baisse des prix de l’immobilier pourraient donc maintenir ces conditions idéales pour les candidats acheteurs.

    Mais attention à l’inflation qui n’a jamais été aussi forte depuis plus de 10 ans, +4,1% pour la zone euro et +4,4% au niveau mondial …

    Dans la capitale, le marché est en hausse continue depuis 10 ans.  Alors, même si on note un coup d’arrêt, avec une légère baisse des prix, les prix de l’immobilier restent très élevés.

    2022 = année électorale…et qui dit année d’élection dit attentisme généralisé. Alors, retenez votre souffle et gardez le sourire car la situation va forcément se « décoincer » !

     

    Deux fédérations pour le prix d’une…!

     

     

     

     

     

     

     

     

    En 2020, la FNCI comptait 53 membres, répartis de la façon suivante :

    Paris-IDF : 67%

    Sud-est : 13%

    Nord-Ouest : 8%

     

    En 2021,  la FNCI compte 63 membres répartis ainsi :

    Paris-IDF : 59%

    Sud-est : 16%

    Nord-Ouest : 11%

    Sud-Ouest : 6%

    Nord-est : 5%

    Malgré une année 2021, marquée par différents confinements et une incertitude forte, la FNCI a vu son nombre d’adhérents augmenté pour arriver à 63 adhérents avec un fort recrutement en province. L’existence de 2 fédérations (FNCI et FFCI), avec des ambitions et de stratégies communes pose la question de la nécessité de garder 2 fédérations, sur le marché de la chasse immobilière qui reste encore un petit marché, économiquement parlant. Pour une efficacité renforcée des actions menées par ces fédérations, il est important de les mutualiser, afin d’apporter des réponses concrètes aux besoins des membres, pour mieux se faire entendre auprès de pouvoirs publics et faire évoluer la profession.

    Place donc à une nouvelle fédération qui regroupera les principaux acteurs du marché.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On vous donne rendez-vous en janvier pour la prochaine Assemblée Générale, et d’ici là on vous souhaite de nombreux achats immobiliers à Paris et en province !

     

     

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