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    Tendance des prix de l’immobilier : Vers un ralentissement de la hausse des prix

     

    Les baisses de prix des logements dans l’ancien est très faible en ce début d’année en France, malgré ce qu’on peut entendre et lire. Et pourtant les signes de ralentissement du marché immobilier se multiplient, ce qui laisse présager un printemps un peu plus compliqué.

     

    D’après les projections à fin février 2023 issues des avant-contrats, on observerait un ralentissement significatif de la hausse des prix des logements anciens.

    Cependant, au 3ème trimestre 2022, la hausse des prix des logements anciens en France métropolitaine se poursuit avec une augmentation de + 1,5 %, par rapport au 2ème trimestre 2022, aussi bien pour les maisons que pour les appartements. Les prix des maisons anciennes augmentent toujours un peu plus que ceux des appartements anciens, mais les écarts sont moins importants. C’est l’effet des différents confinements qui continue à se faire sentir et l’appétence des français pour un espace plus important et surtout la présence d’un extérieur.

    Les preuves d’une baisse tendancielle

    Selon les notaires de France, à fin novembre 2022, le volume des transactions de logements anciens en France atteint 1 116 000 transactions.

    Cependant, le ralentissement observé depuis le 4ème trimestre 2021 s’accélère particulièrement ces derniers mois pour atteindre -6 % en volume, sur un an, notamment depuis août 2022.

    Les villes de Marseille, Mulhouse et Besançon observent les plus fortes augmentations des prix au m², pour le 3ème trimestre 2022, versus le 3ème trimestre 2021. En revanche, cette augmentation ne concerne plus les villes comme Paris, avec -1,2 %, Lille  avec +0,1 % ou Bordeaux avec + 1,3 % d’augmentation.

    Au 1er février 2023, les prix ont très légèrement progressé de + 0,1 % en janvier, pour s’établir à 3.205 euros le prix moyen au mètre carré, France entière.

    En réalité, le ralentissement général du marché se poursuit. Depuis trois mois, les prix n’augmentent qu’entre + 0 % et + 0,1 %, en moyenne, alors que sur la même période, en 2020, 2021 et 2022, la progression s’affichait bien au delà des +1%.

     

    Même s’il s’agit d’un ralentissement de l’augmentation des prix de l’immobilier, et une baisse du volume des transactions, l’immobilier reste une valeur refuge, qui a fait ces preuves malgré les épreuves que nous avons traversées ces dernières années : gilets jaunes, Covid, confinement, guerre en Ukraine, inflation, taux d’usure trop bas… Malgré la tendance haussière des taux d’intérêt, et la difficulté liée à l’obtention d’un prêt, l’immobilier résiste plus ou moins bien selon les régions. Alors qu’en est-il pour la Bretagne, qui a su séduire de nombreux français depuis ces dernières années ?

     

    Focus région : la Bretagne résiste t’elle à la tendance baissière ?

     

    Alors que les observateurs du marché immobilier anticipent une année 2023 dans la continuité des derniers mois de 2022 , c’est-à-dire avec une baisse du nombre d’acquéreurs, le marché immobilier breton va-t-il continuer d’augmenter ?

     

    Près d’un an après le déclenchement de la guerre en Ukraine, l’augmentation des taux d’intérêt liée à une inflation record, et le retour des acheteurs étrangers et notamment américain (eu égard au taux de change favorable euro-dollar), où en est la tendance immobilière en France ? Certains martèlent que l’immobilier, actif palpable, demeure la valeur refuge par excellence. D’autres s’attendent pour 2023 à une baisse plus généralisée des prix, en dehors des grandes villes, qui connaissent déjà un ralentissement de leur prix.

    Il est certain que la hausse des taux immobiliers diminue la capacité d’emprunt des ménages, et va obligatoirement peser sur la demande. Cependant, pour absorber totalement la remontée des taux depuis janvier 2022, il faudrait alors que les prix reculent de – 20 % en 2023, et ça on en est loin !

    Les prix du marché immobilier vont se stabiliser en 2023, car la demande est moins importante que l’offre. Mais cette baisse va « toucher », des biens immobiliers « lambda », bruyant, sans ensoleillement, sans vue sur la merLe bon produit, bien placé, sans défaut majeur continuera de voir son prix augmenter.

    La baisse est désormais tendancielle. L’important est d’être bien accompagné pour savoir où acheter, à quel prix, sans se tromper. Le travail d’accompagnement du chasseur immobilier va bien au delà des pré-visites et des visites, car c’est un vrai travail de coaching, avec comme règle numéro 1 : l’emplacement.

    Bonnes vacances  aux parisiens qui profitent des congés scolaires de février, pour se ressourcer sur les pistes de ski ou peut-être en Bretagne…

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