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    Déjeuner de Noël Homelike Home en attendant le vote de la loi de finance 2026

    Chaque année, Homelike Home organise son traditionnel déjeuner de Noël, avec seulement une petite partie de l’équipe Homelike Home. Cette année, nous avions organisé notre déjeuner de Noël dans le restaurant “café Singuliers” qui appartient à l’agence immobilière Patrice Besse. N’oublions pas que l’immobilier est dans notre ADN et que l’agence immobilière Patrice Besse a eu la riche idée de créer ce restaurant, qui est un véritable succès quand on voit le carnet de réservations ! Une cuisine simple, mais très inventive, une carte qui propose un snacking chic et cool dans un lieu plein de charme aux faux airs de maison de campagne truffée de livres et d’objets…Bref, un vrai régal et surtout dans un cadre très chaleureux car nous avions une pièce privative rien que pour nous, pour faire tout le bruit que nous voulions…

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    En tous les cas, une chose est sûre c’est que la fin de l’année approche, et que malheureusement le projet de loi de finances (PLF) 2026 n’a toujours pas été adopté.

    On attend tous que le budget soit voté avant la trève des confiseurs  mais c’est une fin d’année en roue libre qui se profile, puisque la France s’oriente vers sa 2ème Loi spéciale consécutive, donc sans loi de Finances

     

     

    Budget 2026 : les parlementaires se préparent à l’échec des négociations

    L’Assemblée nationale a définitivement adopté mardi 16 décembre 2025 la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2026. Les regards se tournent à présent vers le budget de l’Etat, alors que la date butoir du 31 décembre se rapproche.

    Le gouvernement met la pression mais se prépare, comme les parlementaires, à un recours à la loi spéciale. La Banque de France met en garde sur les risques de dérapage budgétaire.

    Ce vendredi 19 décembre, les parlementaires ont échoué à trouver un accord sur le projet de loi de finances pour 2026 avant la fin de l’année. Les députés et les sénateurs ont rejeté la proposition de budget pour l’année 2026 ce matin en Commission mixte paritaire, ce qui renvoie la discussion budgétaire au début d’année prochaine.

    Plusieurs mesures concernaient le secteur immobilier, notamment avec la création d’un nouveau statut fiscal du bailleur privé. Statut qui donne la possibilité d’amortir ses biens mis en location nue dans la durée. Cette mesure emblématique réclamée par le secteur du logement permettrait surtout de redynamiser le secteur de l’immobilier qui en a bien besoin ! Ce qui fait, à ce stade, passer à la trappe la création d’un nouveau statut fiscal du bailleur privé.

    Ce n’est pas qu’une mauvaise nouvelle pour le gouvernement. Elle l’est aussi pour le secteur du logement, confronté à une crise sévère notamment dans le neuf.

     

    Le secteur immobilier, lui, voit certains travaux inscrits dans le budget être reportés, tels que l’instauration du statut du “bailleur privé”, visant à relancer la promotion immobilière, mais aussi l’adoption du budget 2026 alloué à MaPrimeRénov, ou encore la révision de la fiscalité sur les logements vacants. C’est très ennuyeux pour le secteur de l’immobilier qui est déjà bien chahuté depuis quelques années.

    Après l’échec des députés et des sénateurs à trouver un accord sur le projet de loi de finances en commission mixte paritaire, vendredi 19 décembre, un projet de loi spéciale doit être présentée lundi en conseil des ministres, avant d’être adoptée par le Parlement les jours suivant. Ce texte autorisera l’Etat à percevoir les impôts existants, sans nouvelles mesures fiscales, et s’accompagne d’un décret limitant les dépenses aux services votés l’année précédente et jugés indispensables pour poursuivre l’exercice des services publics.

    Un “statut du bailleur privé” très limité pour relancer l’investissement locatif

    Les deux chambres avaient notamment travaillé sur l’instauration d’un nouveau statut pour les particuliers souhaitant se lancer dans l’investissement locatif: le statut du bailleur privé. Ce statut propose de conférer un amortissement fiscal aux propriétaires-bailleurs qui investissent dans un logement neuf mis à la location. Et ce, à hauteur de 3,5% par an pour un logement neuf à loyer intermédiaire, de 4,5% pour un logement social, et de 5,5% pour un logement très social. Cela, dans la limite de 80% de la valeur du bien et d’un plafond de 8.000 euros par an pour deux logements.

    Le ministre de la ville et du logement, Vincent Jeanbrun, plaidait encore quant à lui, en début de semaine, en faveur d’un texte “d’équilibre”, entre les attentes de la profession et le respect du cadre budgétaire. L’instauration de ce statut, estimé par Bercy à 1,2 milliard d’euros pour l’année 2026, est très attendu par le secteur immobilier et notamment les promoteurs, afin de relancer la construction. Ces derniers sont en effet, depuis une trentaine d’années, très dépendants de l’investissement locatif pour lancer leurs opérations immobilières. Une multitude de dispositifs a ainsi précédé ce projet de bailleur privé: le dispositif Pinel (2018-24), mais aussi Duflot (2013-14) ou encore Scellier (2009-12).

    MaPrimeRénov’ à nouveau ballotté

    Le budget de MaPrimeRénov’ pour 2026 est lui aussi suspendu au vote du budget, alors même que le secteur de la rénovation énergétique a souffert de la suspension du guichet à l’été 2025.

    Le guichet du dispositif d’aide à la rénovation énergétique MaPrimeRénov’sera bien suspendu au 1ᵉʳ janvier, le Parlement ayant échoué à trouver un compromis sur le budget, a confirmé dimanche 21 décembre le ministre du logement, Vincent Jeanbrun.

    Rester attentif à l’évolution des taux début janvier

    Quelques chiffres à regarder de près :

    • Un déficit public qui passerait à 4,7 % du produit intérieur brut (PIB) en 2026, contre 5,4 % en 2025
    • Une inflation qui s’établirait en 2025 à 1,1 % et augmenterait à 1,3 % en 2026
    • Un ratio d’endettement de 115,9 % du PIB en 2025 qui passerait à 117,9 % du PIB en 2026.
    • Sur le plan des taux, il est encore trop tôt pour sentir une évolution des taux mais il faudra regarder dans les prochaines semaines, début janvier, l’évolution des obligations assimilables du Trésor (OAT) à 10 ans, à savoir le taux d’emprunt de la France à 10 ans – pour voir se dessiner de premiers signaux. Cet indicateur (l’OAT) détermine en partie l’évolution des taux d’emprunt de crédits immobilier.
    • Dès janvier, l’évolution des barèmes des banques, à savoir les taux avant négociations, sera également un bon indicateur de la conjoncture à venir.

    Bref, restons attentifs mais toujours dans l’attente pour cette fin d’année 2025 car rien ne bouge. Cela ne nous empêchera pas de passer de très belles fêtes de fin d’année en famille et de se retrouver en pleine forme au mois de janvier 2026.

    En attendant, très belles fêtes de fin d’année à tous

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