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    Coliving, Colocation, une nouvelle manière de vivre, de cohabiter et d’appréhender l’immobilier

     

    Coliving ou Colocation, un nouveau mode de vie qui a le vent en poupe, et qui est particulièrement adapté aux grandes villes car la vie est souvent chère, et les loyers inaccessibles pour bon nombre d’étudiants ou de jeunes travailleurs. Mais quelle est véritablement la différence entre ces 2 modes de vie.

     

    Quelle est la différence entre colocation et coliving ?

    Selon la loi Alur de Mme Duflot, la colocation se définit comme la location d’un même logement par plusieurs locataires, constituant leur résidence principale. La colocation est donc le fait de louer un logement avec d’autres personnes, quelle que soit la nature des liens. La colocation est aussi utilisée pour profiter d’un logement plus grand, que l’on ne pourrait pas financer seul. Mais c’est aussi un moyen d’éviter la solitude et de pouvoir partager des activités avec ses colocataires qui partagent les mêmes centres d’intérêt.

    Le coliving est né dans les années 2000 aux Etats-Unis, et c’est un mélange entre la colocation et le coworking. Il s’agit d’un nouveau mode d’habitat qui prendra à l’avenir, une grande part du paysage immobilier français, mais aussi au niveau national. Le coliving, c’est donc vivre dans un même lieu, mais avec une certaine indépendance. Les locataires possèdent des espaces privés tels que chambre, SDB, WC et parfois cuisine, mais aussi différents espaces communs à partager, tels qu’une salle de sport, une pièce TV, Home cinéma, une terrasse….et souvent une espace partagé qui s’apparente plus à ce que l’on retrouve dans l’hotellerie classique. Le coliving est particulièrement bien adapté  aux travailleurs indépendants, entrepreneurs qui se déplacent souvent….d’où le phénomène d’ampleur qu’a pris ce nouveau mode de logement, avec la mise en place du télétravail.

    Le phénomène s’est aussi beaucoup accentué avec la hausse des prix de l’immobilier qui a renchéri les loyers. La colocation s’est alors imposée comme une solution permettant d’occuper un logement plus vaste ou mieux situé, au départ pour des étudiants puis de plus en plus pour des jeunes actifs. La colocation a notamment été popularisée par la série TV américaine »Friends » dans les années 1990. Le coliving est souvent considéré comme une déclinaison du coworking.

    En général, les espaces de coliving sont, la plupart du temps, gérés par des entreprises spécialisées dans l’immobilier, alors que les colocations sont généralement gérées par un bailleur, agence ou particulier, qui loue le bien immobilier.

    En France ou dans les autres pays où une offre se développe, le coliving est loin d’être structuré. Ainsi, des colocations traditionnelles comme des résidences étudiantes proposant des services peuvent revendiquer l’étiquette de coliving.

    La difficulté d’accès au logement dans les grandes agglomérations favorise les solutions d’habitat partagé. Le coût des loyers constitue en particulier un moteur à la colocation, qui permet de mutualiser les charges communes et de disposer d’un espace plus vaste.

    Quels sont les différents types d’espaces de coliving ?

    Plusieurs fondamentaux permettent de distinguer les offres de coliving : une offre tout compris permettant aux occupants de se dégager des contraintes administratives, une volonté de créer du lien entre les occupants et une cible commerciale composée essentiellement de « millenials » (20 à 35 ans).

    Pour l’heure, plusieurs régimes réglementaires peuvent s’appliquer en matière de logements en coliving (location meublée, régime para-hôtelier, foyer de jeunes travailleurs,…). Le positionnement de l’offre détermine les règles applicables et les contraintes associées pour les gestionnaires.

    Cible prioritaire des gestionnaires d’espaces de coliving et des plateformes de colocation telles que Cooloc, les millenials sont faiblement attachés à l’accession à la propriété et envisagent des parcours professionnels moins linéaires. Ils sont a priori plus ouverts à des solutions flexibles en matière d’habitat.

    L’offre de coliving peut être segmentée selon le type de logement, le type d’habitation dans lequel se trouve ce logement (maison, appartement, immeuble-résidence) et la durée du séjour.

    – collectifs : une chambre privée dans une maison ou un appartement qui comprend également des espaces partagés (cuisine, salle de bain, salon, jardin, etc.). À noter que l’appartement peut se situer dans un immeuble-résidence prévu pour le coliving avec des espaces équipés. Ce type de logement est celui qui se rapproche le plus de la colocation traditionnelle.

    – semi-privatifs : un espace privé, composé d’une chambre avec une kitchenette et/ou une SDB, dans un appartement ou une maison avec des espaces partagés (salon, salle à manger, espaces détente, salle de sport…)

    – privatifs : un studio tout équipé (chambre, salle de bain, cuisine) dans un immeuble-résidence qui s’organise autour de vastes espaces collectifs (coworking, détente, bar, restaurants, etc.). Ce modèle partage des similarités avec celui des résidences étudiantes.

    Les gestionnaires de coliving ont pour principal objectif d’optimiser le remplissage de leurs logements, pour lequel la problématique est différente selon le positionnement de leur offre. Pour les acteurs qui misent plutôt sur des courts séjours, le modèle est proche de celui de l’industrie hôtelière, avec des coûts de gestion plus élevés en raison du turn over, mais des prix supérieurs aux offres de longue durée.

    A l’inverse, les offres de longue durée misent sur des relations de plus long terme, qui permettent de limiter les coûts de commercialisation des offres.

    Un type d’habitat destiné principalement aux millennials :

    Le coliving s’adresse principalement aux « millennials », donc les individus nés à partir de l’an 2000, et dans une acceptation plus large, des étudiants et actifs âgés de 18 à 35 ans. C’est environ 16 millions de Français qui appartiennent à la génération des millennials et une partie de cette population cible se caractérise par un rapport différent des générations précédentes au travail, à la consommation et au logement. Le coliving correspond aussi à une volonté de créer des communautés…

    La qualité de vie et la flexibilité sont ainsi particulièrement valorisées. L’offre de coliving se base sur l’économie des fonctionnalités.

    En favorisant une prestation de services liée à l’occupation d’un bien plutôt qu’une location traditionnelle, le coliving s’inscrit dans le mouvement de l’économie des fonctionnalités. Celui-ci consiste à favoriser l’usage et la jouissance d’un bien ou d’un service, plutôt que sa propriété. En l’espèce, dans le cas du coliving, les clients colocataires bénéficient d’une prestation tout-compris (logement et services dont les prestations de conciergerie, ménage, abonnements divers). L’offre se substitue ainsi à un bail classique et à un ensemble de prestations complémentaires, associées à la vie quotidienne et aux loisirs.

    • Le prix est la première raison qui pousse les individus à intégrer une colocation
    • Le vivre-ensemble est la deuxième raison qui pousse les individus à rester en colocation. Il faut noter que 40% des demandes de colocations sont émises par des étudiants, alors que 46% des demandes de colocations sont émises par des actifs !

    Les millennials attachent une plus grande importance à la qualité de vie que les générations précédentes, notamment dans le monde du travail. En outre, cette génération se veut indépendante. En témoignent la proportion de célibataires et la tendance à l’augmentation du travail en freelance, et à la mise en place du télétravail.

    Quelles sont les attentes des milenials vis à vis du logement ?

    La mutation des préférences de consommation de cette génération impacte le marché de l’immobilier. À titre d’exemple, 40% des millennials vivent encore dans un logement locatif à 30 ans, alors que cette proportion était deux fois moindre pour les générations nées entre 1965 et 1980.

    Une caractéristique qui peut trouver plusieurs explications : le frein du prix à l’achat, mais aussi la volonté de ne pas limiter sa mobilité. Près d’un tiers des milenials n’envisagerait pas l’accès à la propriété. Chez Homelike Home, en 19 ans de chasse immobilière, on a vu l’âge moyen de nos primo-accédants passer de 31 ans à 37 ans !

    Deux facteurs peuvent expliquer en partie cette évolution : l’augmentation des prix de l’immobilier dans les grandes villes rendant l’achat impossible pour les jeunes actifs sans aide de la famille d’une part et d’autre part, l’investissement immobilier qui est considéré comme un frein à la mobilité.

    L’habitat participatif est, selon la loi ALUR, « une démarche citoyenne qui permet à des personnes physiques de s’associer, le cas échéant avec des personnes morales, afin de participer à la définition et à la conception de leur logement et des espaces destinés à un usage commun, de construire ou d’acquérir un ou plusieurs immeubles destinés à leur habitation et, le cas échéant, d’assurer la gestion ultérieure des immeubles construits ou acquis ».

    Des particuliers peuvent ainsi s’associer dans le cadre d’un projet immobilier et définir eux-mêmes les espaces privés et partagés (buanderie, espaces de travail ou destinés à des invités, salle de sport…Ils participent à l’élaboration du bien à travers le choix des matériaux et la conception, puis lors de la phase de gestion. Ils peuvent éventuellement s’impliquer dans la phase de construction pour voire naître des projets qui peuvent comprendre de 5 à 20 logements.

    S’il est trop tôt pour parler d’engouement, force est de constater que cette forme d’habitat suscite l’intérêt en France et que le coliving se structurera selon les promesses de valeur affichées :

    – les résidences services 2.0 miseront notamment sur les étudiants, avec un élargissement en direction des jeunes actifs et voyageurs d’affaires, à travers une dose supplémentaire de services. Cette offre correspond davantage aux foncières, promoteurs et bailleurs sociaux.

    – les colocations augmentées, qui miseront sur les jeunes actifs et les liens affinitaires. Ces offres resteront développées majoritairement par des startups, avec pour cible, les jeunes actifs.

    – le coliving de courte durée, de quelques jours à quelques semaines, avec une dimension professionnelle ou de loisirs et basé sur une promesse de mobilité. Ce type d’offre pourrait être proposé par des acteurs du tourisme (hôtellerie urbaine) voire des promoteurs dans le cadre de résidences services spécifiques.

    L’offre de coliving est encore embryonnaire en France mais elle est amenée à se développer, et de plus en plus.

    Au-delà du coliving, la recherche de lien social, la difficulté à accéder aux logements, y compris aux colocations, dans les grandes agglomérations, et la recherche de flexibilité, ainsi que la qualité des prestations fournies, sont les explications à l’essor de l’habitat partagé.  

    Un conseil, un besoin, une envie d’acheter un appartement pour le louer ensuite en colocation, contactez notre équipe de chasseurs immobiliers Homelike Home. Nous saurons dénicher l’appartement idéal pour une future mise en co-location, et surtout nous saurons aussi vous conseiller pour trouver la bonne société pour gérer vos futurs co-locataires…

    Les expositions à faire à Paris pendant les vacances de la Toussaint

     

    Chez Homelike Home, on a déjà commencé notre semaine avec une exposition intitulée « Parisiennes Citoyennes » dans l’enceinte du Musée Carnavalet, dont on a profité tout l’été ou presque, grâce au merveilleux restaurant Fabula, installé dans la cour d’honneur du Musée. C’était l’occasion de se retrouver aussi avec une partie de l’équipe Homelike Home autour d’un petit déjeuner, et de discuter sur les questions d’actualité en ce moment, qui sont bien mouvementées.

     

     

     

     

     

    L’exposition est chronologique, commence avec la Révolution et se termine dans les années 2000. On a juste un regret, car on aurait bien aimé que l’exposition se termine plus tard, dans les années 2020 parce qu’il s’est passé de nombreuses choses ces dernières années, notamment avec le « Me Too ». On assiste, à travers cette exposition, à l’émancipation des femmes, notamment avec le droit de travailler, puis le droit de voter et enfin le droit d’avorter.  Émancipation actuellement reprise au cinéma en ce moment avec le film « Simone, le voyage du siècle« , retraçant la vie de Simone Veil, et merveilleusement bien interprétée par Elsa Zylbertsein.

     

     

     

    Pendant les vacances de Toussaint, les provinciaux profitent des avantages de Paris avec les nombreuses expositions qui ont lieu actuellement.

     

    Au Carreau du Temple, dans le Haut Marais, vous pouvez découvrir l’art africain à travers l’exposition AKKA. C’est la 7ème édition de cette principale foire, dédiée aux scènes artistiques d’Afrique et de ses diasporas en France.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Au Musée des Arts Décoratifs de Paris, vous pouvez découvrir l’exposition « Années 80 »qui retrace les années 1980 en France à travers une grande exposition thématique autour de 700 œuvres. Les années 80 marquent un tournant à la fois politique et artistique dans les domaines de la mode, du design et du graphisme, depuis l’élection de François Mitterrand en 1981, jusqu’à la chute du mur de Berlin en 1989.

    Sans oublier, toujours au MAD, l’exposition « SHOCKING ! les mondes surréalistes d’Elsa Schiaparelli »:

    Le musée des Arts décoratifs met à l’honneur l’œuvre audacieuse et inspirante d’Elsa Schiaparelli, créatrice italienne, dont l’inspiration s’est nourrie d’une relation privilégiée avec les artistes du milieu de l’avant-garde parisienne des années 1920 et 1930. Cette grande rétrospective met également en lumière l’héritage du style Schiaparelli avec des silhouettes interprétées par de célèbres couturiers lui rendant hommage : Yves Saint Laurent, Azzedine Alaïa, John Galliano, Christian Lacroix.

    Un petit tour par le Bois de Boulogne, pour découvrir l’exposition à la Fondation Louis Vuitton, l’exposition MONET – MITCHELL. Les expositions « Monet – Mitchell » mettent en scène un dialogue inédit entre les œuvres de deux artistes exceptionnels, Claude Monet (1840-1926) et Joan Mitchell (1925-1992).

    Pour le dernier Monet, celui des Nymphéas, il s’agit de la restitution de motifs longuement observés devant les nymphéas de Giverny ; pour Joan Mitchell, dans l’atelier de La Tour, à Vétheuil, elle explore la transposition, à travers le filtre de la mémoire, et ces perceptions restées vives par-delà l’espace et le temps.

     

    Si vous avez la chance de venir à Paris pendant les vacances de Toussaint, quel merveilleux programme de visites vous attend. Sans oublier les nombreuses pièces de théâtre, spectacles de danse. Et bien entendu, si Paris vous fait toujours autant rêver et que vous envisagez d’acheter un appartement , voire un pied à terre, notre équipe de chasseurs immobiliers Homelike Home est là pour vous accompagner dans vos choix.

    Bonnes vacances à ceux qui ont la chance d’être en vacances.

     

    Le vintage a plus que jamais le vent en poupe

    Chez Homelike Home, on profite de nos week-ends pour certes, effectuer des visites d’appartements pour le compte de nos clients, mais aussi pour découvrir les dernières expositions. Ce week-end du 15 et 16 octobre, c’était le 25ème anniversaire du Salon du Vintage au Carreau du Temple dans le 3ème arrondissement de Paris, appelé aussi le Haut Marais.
    La tendance du vintage et du rétro se développe et s’installe dans nos habitudes. C’est un mode de vie plus attentif, créatif et durable…
    Mais savez-vous pourquoi le vintage revient en force, outre la prise de conscience éco-responsable et de mieux consommer.

     

    Définition du Vintage

    Le vintage revient en force depuis l’apparition de la série Mad Men qui se déroule dans l’univers publicitaire des années 60. Depuis, les vêtements d’inspiration 50 et 60 fleurissent sur les podiums et les meubles de l’époque s’installent dans nos intérieurs. Il s’agit d’un véritable retour aux valeurs refuges en réponse aux incertitudes de notre monde moderne.
    On qualifie de vintage, un accessoire, un objet ou un meuble vintage qui a au moins 20 ans d’âge, qui est en bon état et qui a marqué une période du design.
    On pense toujours que le vintage est plus cher, mais ce n’est pas toujours le cas. En réalité, un meuble vintage qui est encore édité est moins cher dans sa version d’origine que dans sa réédition. En revanche, si le meuble que vous avez repéré n’est plus édité, c’est à ce moment-là que le prix du vintage s’envole, et devient presque une pièce de collection.
    Le fondateur organisateur, Laurent Journo, grand amateur de mobilier de la seconde moitié du 20ème siècle a décidé de donner une orientation résolument design à son événement. Désormais, le Carreau du Temple devient le temple parisien du design, le temps d’un week-end et accueille une centaine d’exposants, dont une cinquantaine de professionnels français et internationaux d’ameublement et d’objets de décoration, des années 1950 à 1990 avec des signatures telles que Pierre Paulin, Philippe Starck, Airborne, Guzzini. Des exposants mode et accessoires signés Yves Saint Laurent, Chanel ou Christian Dior étaient aussi présents.

    Un style de vie rétro en vogue :

    De nouveaux modes de consommations plus durables comme l’achat de vêtements de seconde main et de vêtements vintage voient régulièrement le jour et attirent de nombreuses personnes. Très économiques et durables pour la planète, les vêtements vintage et de seconde main sont une solution à ne pas négliger pour un meilleur futur. Vous avez sans doute entendu que la création de vêtements est l’une des industries les plus polluantes de la planète !
    Le Salon du Vintage s’inscrit dans une économie responsable socialement et écologiquement : chaque objet ou pièce vintage vendus est neutre en empreinte carbone, tout comme l’organisation du salon en lui-même en limitant sa production en CO2.
    Ainsi, les consommateurs redécouvrent avec la tendance vintage, le plaisir d’acheter peu et d’acheter rare.
    Le marché du luxe de seconde main est plus que jamais dynamique. Le recul des ventes physiques en 2020 et l’avènement d’une consommation durable lui sont favorables. C’est particulièrement vrai sur le marché du luxe vintage.
    La seconde main se numérise, et c’est désormais sur le web que les clients peuvent espérer faire les meilleures affaires. Ainsi, un véritable marché de niche dédié au luxe vintage a vu le jour. La tendance a encore été renforcée avec la crise sanitaire et les différents confinements. Les clients se connectent désormais plus volontiers pour traquer les bonnes affaires, sur des sites tels que Vinted, Vestiaire collective, vide dressing, The RealReal

    Désormais, le luxe vintage de seconde main s’expose en ligne. Et il se vend sur une large sélection de sites spécialisés. Objets de collection, de convoitise, valeur refuge… L’article de luxe vintage a le vent en poupe, et le marché progresse rapidement. Les friperies ont le vent en poupe, et les jeunes consommateurs sont particulièrement friands d’articles de luxe. Autant d’éléments qui poussent en faveur du luxe de seconde main. Mais le véritable argument qui explique l’engouement pour la seconde main, est à chercher du côté de la transition écologique. La mode éthique, la consommation durable, les achats raisonnés s’ancrent petit à petit dans le paysage de la vente. Et ce qui était auparavant un marché de niche est en train de devenir un véritable levier de chiffre d’affaires.

    En France, on estime que le marché de la seconde main a représenté plus de 7 milliards d’euros en 2020, dont 1 milliard rien que pour la mode. Et les chiffres ne vont faire qu’augmenter d’année en année depuis les différents confinements que nous avons connus.

    Chez Homelike Home, on est très sensible à notre environnement et plus particulièrement à notre planète. Notre baseline « Visitez de votre fauteuil », est une expression qui prend tout son sens depuis quelques années, et particulièrement depuis cette rentrée 2022, où il vaut mieux économiser son énergie !

    Homelike Home, au service de l’acheteur, a longtemps compris qu’il fallait éviter plus que jamais les déplacements inutiles. Etre éco-responsable signifie limiter sa consommation en énergie, mais pas uniquement…Ainsi, toutes les visites sont visibles en temps réel sur votre blog client my.homelikehome.com.

    Prenez soin de votre planète et déléguez votre recherche immobilière à votre chasseur immobilier Homelike Home, et en achetant du mobilier vintage pour votre futur Home Sweet Home…

    Une envie d’espaces verts, de m2 supplémentaires, encore plus marquée depuis cet été 2022

     

    C’est très clair, on peut vraiment dire qu’en cette rentrée du mois de septembre, l’immobilier est à 2 vitesses. Les demandes marquent le pas dans les grandes villes telles que Bordeaux, Lyon, Paris, excepté Marseille, alors que l’immobilier a toujours le vent en poupe aussi bien à la campagne qu’en bord de mer.

    Le confinement de 2020 a donné des envies d’évasion à de nombreux Français. Qu’il s’agisse d’une résidence secondaire ou principale, ou semi-principale, la maison de campagne est revenue en force depuis le début de l’épidémie de Covid-19. Ainsi, de plus en plus de français veulent s’éloigner des grandes villes et se ressourcer près de la nature. Sauf qu’un tel investissement n’est pas à la portée de tous les porte-monnaie.

    Avec l’inflation galopante, le marché de l’immobilier connaît des variations selon les départements.

     

    Et si depuis cet été, le bonheur était dans le pré ?

    Le paysage immobilier change et c’est la même chose pour les locations de vacances. Les Français sont de plus en plus attirés par les locations à la campagne ou à la montagne. La maison de campagne est, semble-t-il, la nouvelle appétence des Français.

    C’est ce que semble croire une partie des Français, puisqu’ils sont de plus en plus nombreux à opter pour une location en zone rurale en période estivale. Évidemment, si les Français ont plus tendance à réserver en zone rurale, c’est tout d’abord parce qu’il y a davantage d’offres cette année.

     

    En période de crise, le budget alloué à la location de vacances est regardé à la loupe. Il faut savoir qu’une maison à la campagne est en moyenne 10 % moins chère qu’à la mer…

    Cette envie de vert s’explique aussi par la crise de la Covid-19, qui a changé les habitudes touristiques des Français.

    En pleine crise sanitaire, ils cherchaient des maisons un peu isolées pour limiter les risques. Après avoir goûté au calme et être resté à l’abri de la foule, les Français cherchent des lieux moins effervescents et plus reposants. La campagne n’est plus du tout considérée comme une destination ringarde, mais de qualité, d’où l’engouement pour Le Perche, La Normandie aux alentours de Paris, mais aussi le Jura et la Saône-et-Loire autour de Lyon…ça tombe bien, car chez Homelike Home, on a ouvert un maximum d’agences de chasse immobilière en Bretagne, dans Le Perche et en Normandie bien entendu.

    Louer à la campagne, c’est aussi parfois bénéficier d’une location de meilleure qualité que sur le littoral. Les maisons à la campagne proposent souvent une capacité supérieure (7,2 personnes contre 6,6 à la mer). Raison pour laquelle elles sont plébiscitées pour les regroupements en famille ou entre amis. De plus, avec l’été que nous avons connu, les gens cherchaient à fuir la chaleur du bord de mer. Alors une maison à la campagne oui, mais pas n’importe laquelle car place au confort, avec notamment la présence d’une piscine.

     

    La France affiche un chiffre record : plus de 2.5 millions de bassins privés, avec 1.3 million de piscines enterrées et le reste est hors sol. La France a le plus important parc de piscines d’Europe et le 2ème au niveau mondial derrière les États-Unis. Avec plus de trois millions de piscines dans le pays, ce qui a été longtemps un signe extérieur de richesse ne l’est plus : le marché s’est clairement démocratisé, et va l’être encore plus avec les canicules de plus en plus fréquentes.

    Opter pour la campagne, c’est se donner la chance de trouver plus facilement une maison avec piscine. « C’est l’équipement le plus recherché, avant le wifi et le parking »

    Les vacanciers veulent plus d’espace, pouvoir se faire un barbecue entre amis, en famille et bronzer dans le jardin autour de la piscine. De plus l’offre est attractive, car qui dit location à la campagne ne signifie pas obligatoirement maison classique, mais bien au contraire la possibilité de louer des maisons hors du commun : un moulin, un château, une ferme…Les Français aiment la pierre et encore davantage la vieille pierre !

     

    Changement de vie, envie de déménager suite à la canicule de cet été :

     

    Des changements de métiers massifs sont intervenus ces deux dernières années en réaction à la crise de la Covid.

    Les conditions de distanciation sociale se sont révélées comme des opportunités de réflexion sur un nouveau projet professionnel. Comment travailler ailleurs, comment travailler autrement, comment travailler en étant plus en phase avec ses aspirations et ses valeurs, quitte à diminuer son salaire ?

    La maison est de plus en plus privilégiée avec la mise en place du télétravail. La présence d’un jardin, d’une terrasse et surtout d’un peu de verdure et de calme, depuis les nombreux confinements que nous avons connus depuis mars 2020, semble être une tendance qui perdure en 2022.

    Une forte disparité de la hausse des prix dans l’ancien selon les régions :

    Exercer son métier à distance, c’est-à-dire vivre à la campagne et continuer à travailler dans les grandes villes, reste encore la solution la moins risquée pour les citadins qui voudront conserver leur clientèle en étant joignables et opérationnels, grâce au numérique et au TGV !

    Beaucoup de Français ont été bouleversés par ces événements climatiques extrêmes, entraînant des prises de conscience écologique ou un sentiment d’éco-anxiété. Pour tous néanmoins, l’été 2022 restera dans leur mémoire comme celui d’une prise de conscience écologique.

    Les maisons tirent le marché du logement de luxe. Leur prix a gagné + 14 % depuis janvier 2021. De Biarritz à Deauville en passant par Chamonix, leur succès a été tel que les stocks se sont réduits et que les biens à vendre se font rares.

    La dégradation de la conjoncture économique n’affecte pas le segment de l’immobilier haut de gamme en France. En tout cas pour l’instant. Même s’il y a aujourd’hui de nombreuses inconnues, comme l’issue de cette guerre en Ukraine, l’inflation, la hausse des taux ou encore la volatilité de la bourse, il ne faut pas oublier que par temps difficiles, l’immobilier de prestige est toujours une valeur refuge pour les investisseurs. Par conséquent, il est fort probable que les prix plafonnent et peut-être même baissent dans un avenir proche, mais que l’activité résiste, notamment en province, et dans nos chères campagnes. 

    Si cette tendance à la hausse des prix devrait se tasser de manière générale, certaines zones devraient encore afficher des augmentations de l’ordre de 10%, selon le Conseil Supérieur du Notariat.
    Des villes de sous-préfectures, à proximité de grandes villes, bénéficient actuellement d’une forte attractivité.
    Aussi, le prix des maisons et des appartements à vendre dans l’ancien dans des villes telles que Bergerac, Melun pourraient connaître des tendances similaires à celles constatées en 2021 dans des villes telles que Poitiers, Reims, Limoges, avec des augmentations supérieures à +6% !
    Alors, vous dire quelle sera la tendance de l’immobilier à court terme dans les grandes villes et dans les petites villes françaises est très difficile. En revanche, il existe de véritables disparités entre l’immobilier haut de gamme, ou les prix continuent à progresser et l’immobilier classique, qui voit ses prix diminuer de mois en mois. D’où l’importance d’un véritable accompagnement et d’un vrai coaching par un chasseur immobilier qui saura vous faire acheter le bien immobilier au bon prix ! Contactez notre équipe Homelike Home et visitez de votre fauteuil en toute tranquillité.

    Le SIBCA, 1er salon de l’immobilier bas carbone ou comment construire des immeubles sans chauffage ni climatisation..

     

    Le 1er salon de l’immobilier bas-carbone a eu lieu à Paris du 22 au 24 septembre 2022. Le SIBCA était l’occasion  d’une rencontre entre les professionnels de l’immobilier dans un écosystème en mutation pour concevoir, construire, et rénover les grands projets urbains, bas-carbone. La maîtrise du bilan carbone devient la priorité et l’affaire de tous les intervenants du secteur immobilier, car c’est une urgence absolue et une bataille de tous les jours, avec le défi de la neutralité carbone 2050. En effet, l’énergie va devenir de plus en plus chère et va pousser le renouvellement et surtout l’achat de matières premières de proximité. À terme, il faudra faire avec les ressources locales et « sourcer » partout en France, là où les matériaux existent déjà.

    A Lyon, 1er exemple d’un immeuble construit sans chauffage ni climatisation :

    L’avenir de la construction d’immeubles ? Ce sera en tout cas le premier bâtiment de ce genre, en France, totalement neutre en carbone. Jouant sur l’inertie thermique et un certain nombre de règles qu’il a mises au point, l’architecte autrichien Dietmar Eberlé va construire à Lyon, en 2023, dans le quartier de la Confluence un immeuble de 6 étages, ne nécessitant ni chauffage, ni climatisation, ni ventilation, mais bénéficiant été comme hiverd’un bon niveau de température. Sa réalisation a été confiée au groupe Nexity qui l’a baptisé “Essentiel”. Il parvient aussi à utiliser des matériaux biosourcés et un coût de construction abordable.

    La température intérieure oscille entre 22 et 26 degrés tout au long de l’année, même sous la canicule ou par temps de grand froid.

    L’architecte, Dietmar Eberlé, a effectué des dizaines d’années de recherche pour arriver à ce résultat et édifier de tels immeubles ne demandant aucun apport énergétique, et se régulant eux-mêmes….une véritable prouesse

     

    Dietmar Eberlé, un architecte plus que visionnaire :

     

    Même en l’absence de chauffage et de climatisation et grâce aux matériaux de construction et aux isolants biosourcés utilisés, le bâtiment que l’architecte a édifié en 2013 à Lustenau en Autriche pour installer le siège de sa société, est donc capable de maintenir à l’intérieur une température confortable variant entre 22 et 26 °C pendant toute l’année, qu’il fasse 30 degrés ou -10 degrés dehors !

    Pour maintenir une température agréable dans toutes les pièces, sans aucun équipement technique, le bâtiment est doté en fait d’une grande inertie thermique. En effet, les murs extérieurs, maçonnés, composés de briques creuses ont une épaisseur de 80 cm, soit deux fois plus épais que les immeubles ordinairement construits. De plus, les fenêtres sont en triple vitrage…

    Les apports de chaleur nécessaires sont essentiellement fournis par les occupants, les équipements de bureautique et les apports solaires au travers des baies vitrées.

    Le bâtiment bénéficiera de la technologie nécessaire avec une régulation de la température pilotée par un logiciel, permettant d’équilibrer la température et les apports d’air frais dans tout le bâtiment.

    De plus, les fenêtres sont pilotées par capteurs, qui commanderont notamment de manière automatique l’ouverture de certaines fenêtres. Globalement les coûts d’exploitation d’un tel immeuble seraient de 30 à 40 % inférieurs à un bâtiment classique ! Alors pourquoi ne pas appliquer cette méthode révolutionnaire aux nouvelles constructions du Grand Paris ?

     

    Si le calendrier est respecté, le chantier devrait être lancé en 2023, pour s’achever en 2025. Gageons que de nombreuses équipes d’architectes viendront le visiter une fois achevé pour s’en inspirer. Voilà qui résoudrait à terme les problèmes d’accès au gaz…Le neuf va enfin « ringardiser » l’ancien !

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