x

Je souhaite être rappelé !

Merci de me contacter au numéro suivant :

    Dans les coulisses de l’immobilier de luxe avec ces fameux acheteurs étrangers

     

    A l’inverse de l’immobilier parisien en perte de vitesse, la niche des biens de prestige dans la capitale semble afficher une santé éclatante.  D’où vient cet engouement ? Quels sont les quartiers et les biens préférés ? A quel prix se font les transactions ? Qui sont réellement ces fameux acheteurs étrangers dont les médias parlent tant ?

    On peine globalement à voir des facteurs nouveaux venant améliorer les conditions d’acquisition de l’ensemble des ménages français. Pourtant le logement continue de bénéficier d’une forte confiance, notamment de la part des acheteurs étrangers. Il reste une valeur-refuge incontestable permettant la constitution d’un capital sécurisant. Les besoins en logement restent importants en Ile-de-France.

    Qui n’a pas rêvé de s’offrir un joli pied à terre parisien, notamment depuis le taux de change favorable en faveur du dollar. Le marché immobilier parisien peut remercier la série « Emilie in Paris » qui a « redoré » l’image de la capitale française aux yeux des acheteurs étrangers.

     

    Que représente la part des acquéreurs étrangers des logements parisiens en 2022 ?

    Contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, la part des acquisitions réalisée par les étrangers en Ile de France et à Paris est faible…très faible. En effet, les étrangers acquéreurs représentent 0,8% des acquisitions en Ile de France, et 2,8% des acquisitions parisiennes.

    Ils viennent principalement :

    • des Etats-Unis = 23%
    • du Liban = 12%
    • de l’Italie = 9%
    • de l’Allemagne = 8%
    • de la Belgique = 6%

    En revanche, Les appartements qu’ils s’offrent sont un peu plus grands et surtout beaucoup plus chers que ceux des autres profils d’acquéreurs :

    Les étrangers achètent un bien « médian » de 51 m2 à 12 450 € le m2, soit un budget de 635 000 €. Ils privilégient les 6ème et 7ème arrondissements, et sont à l’origine, de respectivement, 11% et 13% des ventes dans ces quartiers.

    Les non-résidents américains, qui ont bénéficié d’un $ fort pendant l’année 2022, ont acheté les biens les plus chers, avec un budget d’achat médian de 825 000 €, soit 12 890 €/m2 pour 64 m2 de surface.

    Que représente la part des acquéreurs français non-résidents en France ?

    Il s’agit des acquéreurs dont la résidence principale est située hors de France, appelés plus généralement expatriés.

    Les expatriés français représentent 1,3% des acquisitions de logements IDF, et 3,8% des acquisitions dans Paris.

    Ils privilégient le centre de la Capitale et représentent 10% des acquéreurs dans les 6ème et 7ème  arrondissements de Paris.

    Qui sont les acquéreurs étrangers résidents en France en 2022 ?

    La part des acquéreurs étrangers résidents en France, dans l’achat de biens immobiliers, représente 9,6% en IDF

    Les maisons achetées par des étrangers résidents en France sont plus petites et moins chères, avec une moyenne de 95 m2 et 314 000 € en valeur médiane, versus 105 m2 et 370 000 € pour les français en général en 2022.

    D’où viennent ces acquéreurs étrangers résidents en France ?

    Chine = 15%

    Portugal = 11%

    Tunisie = 8%

    Italie = 7%

    Algérie = 7%

    Maroc = 6%

    Roumanie = 7%

    Chez Homelike Home, on connait bien la problématique de l’impatriation, et notamment comment bien acheter quand on est loin. Notre service permet aux acquéreurs étrangers nevivant pas en France, mais aussi aux expatriés français de dénicher le bien immobilier de leur rêve, en privilégiant toujours une seule règle ou presque : l’emplacement

    Notre équipe Homelike Home parle couramment anglais et est à votre disposition pour une chasse immobilière aussi bien à Paris, qu’en Ile de France, amis aussi dans une quinzaine de villes et régions au niveau national.

    Pour les propriétaires : Une nouvelle déclaration à faire en 2023

     

    Beaucoup de changement en matière fiscale en immobilier en ce début d’année, avec des choses très positives car la suppression de la taxe d’habitation, est une excellente nouvelle pour de nombreux foyers français. Mais bien entendu, afin de bien valider quelles sont vos résidences utilisées à titre de résidence principale, le gouvernement a besoin d’avoir une déclaration de votre part.

    Vous avez jusqu’au 30 juin 2023 pour indiquer au fisc à quel titre vous occupez votre ou vos logements. La déclaration doit être faite dans votre espace personnel sur le site des impôts, rubrique « Gérer mes biens immobiliers ».

    En 2023, la taxe d’habitation sur les résidences principales a été supprimée pour tous les contribuables, y compris pour les 20 % de foyers qui la payaient encore jusqu’à l’année dernière. La taxe d’habitation reste en revanche applicable aux autres biens, notamment les résidences secondaires. Il en va de même de la taxation des logements vacants. Et pour identifier les locaux qui restent imposables, la loi de finances pour 2020 adoptée fin 2019 a mis en place une nouvelle obligation déclarative à destination des propriétaires de logements. En tout, 34 millions de contribuables et un peu plus de 70 millions de logements sont concernés.

     

    Mesure déclarative depuis le 1er janvier 2023

    La mesure est entrée en vigueur le 1er janvier 2023 et la déclaration est accessible depuis le 23 janvier. En pratique, vous devez vous connecter à votre espace personnel sur le site des impôts puis cliquer sur la rubrique « Gérer mes biens immobiliers » pour la remplir. Vous y retrouverez tous les logements dont vous êtes propriétaire et vous indiquerez, pour chacun, à quel titre vous l’occupez : résidence principale, secondaire ou logement vacant. Pour faciliter votre démarche, les données d’occupation déjà connue du fisc seront préremplies et vous n’aurez qu’à les modifier si elles sont inexactes.

    Pour les logements que vous n’utilisez pas vous-même (bien prêté ou loué), vous indiquerez aussi l’identité des occupants au 1er janvier 2023 ainsi que la période d’occupation.

    Vous avez jusqu’au 30 juin prochain pour vous exécuter. À défaut, une amende forfaitaire de 150 € par bien immobilier pourra vous être appliquée. Par la suite, vous renouvellerez cette déclaration uniquement en cas de changement de situation.

    Connaître quels sont vos logements occupés à titre de résidence principale

    Cette déclaration permettra au fisc de savoir quels sont vos logements occupés à titre de résidence principale, qui sont désormais totalement exonérés de taxe d’habitation. Cette déclaration permettra d’identifier vos biens qui restent taxables, soit au titre de la taxe d’habitation sur les résidences secondaires, soit au titre de la taxe annuelle sur les logements vacants. Vs par an ou si vous la louez de manière saisonnière.

    Bon à savoir, vous restez aussi redevable de plein droit de la seconde si vous êtes propriétaire d’un logement situé en zone tendue que vous laissez vide et inoccupé depuis plus de 1 an. Une « zone tendue » signifie une commune qui connaît des tensions sur le marché locatif, y compris si elle est située dans une petite agglomération, même avec moins de 50 000 habitants.

    Si vous êtes propriétaire d’une résidence secondaire dans une telle ville, vous risquez aussi de devoir payer la surtaxe d’habitation sur les résidences principales à compter de cette année…work in progress !

    L’équipe Homelikehome est à votre service pour dénicher votre futur bien immobilier, aussi bien à Paris ou en province. Nous travaillons avec de nombreux avocats, fiscalistes qui peuvent vous aider à « voir plus clair » dans votre patrimoine immobilier. D’ici là, passez de bonnes vacances, pour ceux qui ont de la chance d’être en vacances, et revenez en pleine forme avec de nombreuses idées d’achat immobilier

     

    Suivez-nous sur Instagram