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    Les tendances déco aperçues lors de nos visites d’appartements et maisons

    Chez Homelike Home, en dehors du bien immobilier que l’on visite d’un point de vue strictement professionnel, en tant que chasseur immobilier, on attache beaucoup d’importance à la décoration, au design, et encore plus aux tendances décoration en général, que l’on perçoit au fur et à mesure de nos visites.

    Dans notre travail au quotidien, dans nos recherches et chasses immobilières, on perçoit les tendances décoration les plus vues dans les appartements ou maisons visités. On voit souvent des similitudes de décoration, des influences que nous partageons avec vous aujourd’hui, aussi bien dans des appartements de 2 pièces, que des appartements de 150 m2 ou plus, des maisons de 80 m2, au bord de la mer ou des villas de 200 m2 et plus, en pleine campagne. Les tendances que nous relevons se font au fur et à mesure de nos visites, quel que soit le bien visité.

    Les Français ont le sentiment de passer plus de temps chez eux aujourd’hui qu’avant la crise sanitaire. Ils semblent même trouver du bien-être et de l’apaisement au sein de leur logement :  ainsi, pour beaucoup, la crise a changé le rapport qu’ils entretenaient avec leur logement. La maison contemporaine est ouverte, polyvalente et fluide. Durant les confinements, il a fallu refonctionnaliser les pièces : un coin pour travailler, un coin pour prendre ses repas, un coin pour se détendre. C’est ce qui perdure et ce que l’on repère au sein des différentes visites effectuées, avec la place pour un bureau, l’importance d’une table pour manger tous ensemble, l’importance d’un mobilier évolutif aussi, qui puisse nous suivre dans les différentes pièces de l’appartement.

    Nous partageons ces quelques repérages en décoration, vus à travers notre quotidien de chasseur immobilier…

     

    1°- Place au bureau sous toutes ses formes…

     

    Avec la mise en place du télétravail, travailler de chez soi est devenu le quotidien de beaucoup d’entre vous.

    Vous avez la possibilité de travailler sur la table de cuisine, le bar, la table de salle à manger, mais vous êtes nombreux à avoir installé un petit coin bureau.

    2°- Dans la cuisine, place à la céramique sous toutes ses formes :

    Assiettes, bols, pichet…tout est en céramique ou presque. La vaisselle ne se cache plus dans les placards, mais s’expose à la vue de tous. Il faut dire que cette vaisselle est de plus en plus jolie et que ce serait bien dommage de la cacher dans un placard… comme le faisait les générations précédentes. En tous les cas, on sent un vrai engouement pour les ateliers de poterie en tout genre et surtout pour l’artisanat.

    3°- les fauteuils et canapés en bouclette écru :

    Une envie de confort, de réconfort pour se retrouver chez soi bien confortablement. Le canapé, qui avait déjà une place très importante en tant que mobilier et fonctionnalité, est réellement devenu la pièce maîtresse de l’habitat, depuis les confinements successifs. On ressent ce besoin de confort et de réconfort, notamment dans les assises présentes dans les maisons.  Le petit fauteuil en bouclette écru est très souvent présent dans les salons des appartements visités.

    4°- les claustras en chêne clair pour délimiter les espaces :

    Place aux années 70 et les séparations entre salon, et cuisine sont importantes. Surtout lorsqu’on se retrouve de plus en plus à la maison, en télétravail, une partie de la semaine. On a besoin de s’isoler et de se constituer un espace bien à soi. Alors, les séparations, quelles qu’elles soient, ont leur importance dans nos maisons, car elles permettent à chacun de s’isoler un peu.

    5°- la verrière atelier a toujours le vent en poupe :

     

    Les cuisines sont ouvertes certes, mais on aime bien quand même une petite séparation, ne serait ce que pour les odeurs…

    La verrière atelier a toujours autant la côte même si on la vue et revue, on l’adapte à tous nos intérieurs ou presque !

    6°- Une envie de couleur :

    On veut de la couleur, oui, mais pas n’importe quelle couleur, uniquement des couleurs pastel et des tons chaleureux. De plus en plus, la maison a une signification de « cocon », notamment depuis ces derniers confinements où nous avons été sommés de rentrer à la maison afin de nous protéger et de protéger la communauté des différentes vagues de covid.

     

    Alors place aux couleurs chaleureuses telles que le rose poudré ou les couleurs terracotta…

    7°- les suspensions en fibre naturelle :

     

    Une envie de nature, d’allure de maison de campagne, place aux fibres naturelles pour nos luminaires, en bambou, en rotin, en paille, en bambou tressé… A chaque pièce sa touche bohème ou ethnique ! Suspendus au-dessus de la table de salle à manger, en lampe de chevet dans la chambre ou en version lanterne artisanale à poser au sol du salon, ces luminaires se font une place de choix dans nos intérieurs. En solo ou en accumulation, miniformat ou au contraire version extra large, naturels ou teintés, les luminaires en fibres naturelles ont décidément tout bon.

     

    8°- Des tables gigognes :

    Fini la seule et unique table de salon. On a besoin d’avoir plusieurs tables que l’on peut facilement déplacer. Une table pour travailler ponctuellement, une table pour prendre l’apéritif… Bref, l’accumulation des tables et bout de canapé est souvent très présente dans les appartements que nous visitons.

    Un petit tour d’horizon des meubles et tendances décoration vus dans les nombreux appartements et maisons que notre équipe de chasseur immobilier a pu repérer. Si vous êtes en vacances, profitez en pour découvrir les nombreuses villes où Homelike Home pourra dénicher votre futur Home Sweet Home.

     

     

     

     

     

    L’encadrement des loyers, revu et corrigé à Paris pour les baux signés entre le 1er juillet 2019 et le 30 juin 2020 !

     

    Vous n’en croirez peut-être pas vos yeux, mais suite à une erreur de calcul, le tribunal administratif de Paris a annulé une année entière d’encadrement des loyers !!! Les baux concernés sont ceux signés entre le 1er juillet 2019 et le 30 juin 2020.

     

    À la demande de la maire de Paris, l’encadrement des loyers est en vigueur dans la capitale, depuis le 1er juillet 2019.

     

    Petit rappel sur l’encadrement des loyers…

    L’encadrement des loyers, c’est tout simplement plafonner administrativement les loyers d’habitation du parc privé. En pratique, l’encadrement des loyers oblige à ne pas dépasser un loyer plafond dit « loyer de référence majoré » mais, exceptionnellement, ce plafond peut être dépassé par l’application d’un « complément de loyer ».
    L’encadrement des loyers concerne les contrats de location de logements, ainsi que les colocations avec des baux individuels, aussi bien pour les appartements vides ou meublés.
    Sont concernées les locations à usage de résidence principale et les locations à usage mixte (professionnel et habitation principale).
    L’encadrement des loyers s’applique aussi bien lors de la première mise en location que lors du renouvellement du bail arrivé à échéance. Ne sont pas concernés par l’encadrement des loyers :
    – les logements HLM,
    – les logements conventionnés APL
    – les logements soumis à la loi de 1948
    – les locations saisonnières.
    Ces loyers s’appliquent aux 80 quartiers de Paris regroupés en 14 secteurs géographiques, et prennent en compte le nombre de pièces qui composent le logement et la période de construction de l’immeuble. Dans chaque ville, un observatoire des loyers, créé spécialement pour l’occasion, doit produire les données permettant la publication d’un arrêté préfectoral fixant les montants des loyers plafond. À Paris, c’est l’OLAP, l’Observatoire des Loyers de l’Agglomération Parisienne, et le ministère du Logement qui s’en sont chargés, permettant de calculer les loyers de référence dans les 400 communes de l’agglomération parisienne, où l’encadrement des loyers est de nouveau entré en vigueur au 1er juillet 2019.
    Ce dispositif s’applique aux baux signés depuis le 1er juillet 2019 avec 3 types de loyers de référence :
    – un loyer minoré, équivalent au loyer de référence -30%,
    – un loyer de référence,
    – un loyer majoré, équivalent au loyer de référence +20%.
    Le loyer demandé par le propriétaire ne peut pas être supérieur au loyer de référence majoré. Entre deux locataires successifs, le propriétaire ne peut pas augmenter le loyer au-delà de l’actualisation par l’Indice de Référence des Loyers (IRL), sauf en cas de loyer initial manifestement sous-évalué ou de réalisation de travaux d’amélioration de l’habitat. Dans ces deux cas, le bailleur peut appliquer une augmentation supérieure à l’actualisation IRL, mais uniquement dans la limite du loyer majoré.
    Le non-respect des loyers de référence expose le propriétaire à des sanctions.
    Un complément de loyer peut être demandé par le propriétaire, si le bien immobilier présente des caractéristiques de localisation ou de confort déterminantes, par comparaison avec des logements de la même catégorie situés dans le même secteur géographique.

    Lorsque le logement est meublé, le complément de loyer tient compte des équipements et services exceptionnels (hors liste définissant l’équipement minimal des meublés) associés au logement loué.

    Dans tous les cas, le loyer principal (hors charges et hors complément de loyer éventuel) ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré. Le complément de loyer ne s’applique qu’à un loyer principal égal au loyer de référence majoré. Le complément de loyer doit être mentionné dans le bail.

    Les bailleurs qui ne précisent pas le loyer de référence dans le contrat de location encourent jusqu’à 5 000 euros d’amende pour une personne physique et jusqu’à 15 000 euros pour une personne morale. Rappelons que depuis avril 2022, les agences immobilières doivent indiquer le loyer de référence des logements dans les zones soumises à l’encadrement des loyers.

    Une Décision de justice inédite remet en question l’encadrement des loyers :

    Dans une décision du 8 juillet 2022, le tribunal administratif de Paris a annulé l’encadrement des loyers pratiqué dans la capitale entre le 1er juillet 2019 et le 30 juin 2020, car une erreur de calcul est intervenue dans les loyers de référence ! Une décision qui concerne donc tous les baux signés entre les propriétaires et les locataires durant cette période donnée, et qui provient d’une erreur de calcul au sujet de l’encadrement des loyers.

    Cette décision a une conséquence importante dans les relations entre les propriétaires et les locataires. En effet, si un propriétaire qui aurait été attaqué par son locataire sous prétexte qu’il n’aurait pas respecté l’encadrement des loyers au moment de la signature du bail, durant cette période, ne pourra pas être condamné en justice et ne devra pas verser une indemnité à son locataire.

    C’est grâce à l’action de l’association UNPI (Union Nationale des Propriétaires Immobiliers), représentant des propriétaires bailleurs, que la justice a cédé, ce vendredi 8 juillet 2022.  Cette association avait attaqué l’arrêté du préfet de Paris du 28 mai 2019, fixant le niveau des loyers de référence. Le tribunal administratif de Paris a en effet estimé que cet arrêté avait été déterminé sur une base de données trop ancienne. Pour rappel, le loyer de référence sert à calculer les plafonds de loyers autorisés pour les bailleurs.

    Le préfet de Paris s’était en effet basé sur les rapports de l’Observatoire des loyers de la région parisienne (OLAP). Or les documents consultés pour l’arrêté s’arrêtaient en 2017, soit deux ans après la publication du texte en question. De quoi fausser une analyse du marché parisien.

    Une décision inédite dans le milieu de la location immobilière. Mais pour l’instant, seule la ville de Paris est concernée !

    Bordeaux, nouvellement soumis à l’encadrement des loyers 

    Bordeaux rejoint ainsi Paris, Lille, Plaine Commune, Lyon, Villeurbanne et Montpellier qui appliquent déjà l’encadrement des loyers.

    Dans toute la commune de Bordeaux sont concernées les locations d’habitation vide ou meublée à usage de résidence principale du locataire, ainsi que les baux mobilité, qui font l’objet d’un contrat signé depuis le 15 juillet 2022. Il s’applique également aux colocations. C’est la date de signature du bail qui prime. Ainsi, les baux signés avant le 15 juillet 2022 n’ont pas à respecter l’encadrement des loyers, ainsi que les reconductions tacites.

    Rappelons que l’encadrement des loyers ne concerne pas les contrats de location à usage de résidence secondaire, de logement de fonction ou de vacances (les locations saisonnières touristiques).

    Le tribunal administratif de Paris a donc partiellement  suspendu l’encadrement des loyers expérimental sur la période du 1er juillet 2019 au 30 juin 2020. Il ne s’agit néanmoins pas d’une remise en cause totale du dispositif car le tribunal a d’ailleurs confirmé l’encadrement des loyers pour les années 2020 et 2021. En attendant les détails de ce plafonnement national, l’encadrement local des loyers est entré en vigueur à Montpellier le vendredi 1er juillet, et à Bordeaux, ce vendredi, 15 juillet 2022. Quelle ville sera la prochaine concernée ? On ne sait pas encore, mais en attendant, Homelike Home se tient à votre disposition pour dénicher votre bien immobilier en France et vous conseille sur les villes où il fait bon investir.

    L’été sera chaud, l’été sera chaud…

     

    L’été sera chaud, l’été sera chaud…

    On est la semaine du 14 juillet, et on a rarement eu aussi chaud à Paris, mais pas uniquement car la canicule semble s’abattre sur la France. Les seuils de canicule devraient donc être atteints durant plusieurs jours sur une grande partie de la France durant cette semaine du 11 au 17 juillet 2022, notamment entre le Sud-Ouest et l’Ouest où les températures très élevées devraient atteindre des records.

    Une maison les pieds dans l’eau :

    Chez Homelike Home, on privilégie les recherches de maison les pieds dans l’eau ou presque, notamment avec des maisons en Bretagne, en Normandie, dans le sud de la France avec Nice et Marseille et dans le sud-ouest à Biarritz. Les prix ont continué de grimper dans ces régions contrairement à Paris qui voit ses prix diminuer un peu depuis quelques semaines. Les confinements successifs et la banalisation du télétravail ont encouragé des départs vers des villes de seconde taille, créant un nouvel attrait pour ces marchés.

    À cette occasion, toute l’équipe Homelike Home s’est réunie à Pornichet pour notre séminaire annuel, dans un cadre magnifique, dans le Château des Tourelles. À proximité de la Baie de la Baule, le Relais Thalasso Château des Tourelles est un excellent spot pour votre futur séjour à Pornichet ou à la Baule, avant d’acheter votre résidence secondaire ou résidence semi-principale. Constance ARNAUD de Homelike Home Bretagne Pays de Loire dénichera la maison de vos rêves dans cette jolie région, où le thermomètre est, lui aussi, de plus en plus élevé. Terminé les clichés de la Bretagne sous la pluie, sous un ciel gris !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    En attendant de dénicher votre résidence les pieds dans l’eau, on s’inquiète de la remontée des taux d’intérêt qui grèvent votre budget d’achat de résidence secondaire, résidence principale, résidence semi-principale ou achat de pied à terre.

    Les taux d’intérêt continuent de grimper :

    Tout comme le thermomètre, les taux d’intérêt continuent de grimper cet été.

    Sans surprise, la remontée des taux des crédits immobiliers amorcée depuis le début de l’année se poursuit. Il devient maintenant difficile d’emprunter sur 25 ans en dessous de 1,50 %.

     

    Face à l’envolée des taux d’intérêt, la Banque Centrale Européenne (BCE) a tenu une réunion exceptionnelle mi-juin, quelques heures avant celle de la Réserve Fédérale Américaine (FED). À l’issue de cette réunion, les autorités ont décidé de relever ses taux directeurs de trois quarts de point, la plus forte hausse depuis 1994, pour lutter contre l’inflation à laquelle nous devons faire face. Les taux américains se situent désormais entre 1,5 % et 1,75% et pourraient grimper, dans les semaines qui suivent, jusqu’à 3,25% ou 3,5%.

    Pour nous, cela donne le ton pour les crédits que nous accordent les banques commerciales (immobilier, consommation, etc.), ainsi que pour les emprunts des entreprises également. Fini l’argent facile avec les taux zéro de ces dernières années, il faut désormais « compter » sur un taux moyen de 2,5%, et surtout bien faire valider son emprunt avant d’envisager un projet d’achat quel qu’il soit.

    Outre la hausse des taux, les candidats à l’achat d’un bien immobilier qui souhaitent emprunter doivent franchir d’autres obstacles. Le niveau du taux d’usure, qui correspond au taux au-delà duquel les banques ne peuvent pas prêter, ne permet hélas plus de financer certains dossiers d’acquisition. Pour les crédits immobiliers dont la durée est égale ou supérieure à vingt ans, il est de 2,57 % contre 2,40 % ces trois derniers mois.

    L’activité et les prix sur les marchés des logements des principales économies développées ont continué à nettement progresser pendant la crise COVID. La remontée des taux d’intérêt et la baisse du pouvoir d’achat des ménages, du fait de l’inflation pourrait rapidement infléchir la tendance.

    En attendant, on vous souhaite une belle semaine, un joli feu d’artifice où que vous soyez en France, et surtout un super 14 juillet en famille ou entre amis, sans oublier le traditionnel bal des pompiers.

    Les pièges fiscaux de la résidence semi-principale

     

    L’essor du travail à distance incite de nombreux ménages à investir dans une résidence semi-principale. Maison idéalement placée, que l’on peut rejoindre facilement pour télétravailler et passer les week-ends. Mais le choix de ce type de logement, dont l’usage échappe aux classifications juridiques actuelles, a des répercussions fiscales importantes. 

     

    La pratique du télétravail incite certains Français à investir dans une résidence dite «semi-principale» ce qui a des répercussion sur leur imposition.

    La résidence semi-principale n’a pas d’existence juridique :

    Avant la crise sanitaire, la pratique était peu répandue en France. Selon le ministère du Travail, seuls 9 % des salariés pratiquaient le télétravail quelques jours ou demi-journées par mois. Si depuis la baisse des contaminations au coronavirus, la part des télétravailleurs décline, elle reste nettement plus élevée qu’avant le début de l’épidémie.

    Aujourd’hui le marché évolue suite à la pandémie. Selon le ministère du travail, entre avril 2020 et avril 2021, les départs de Paris pour des destinations à plus de 100 km, ont augmenté de + 34%, soit 4000 déménagements supplémentaires en 1 an. 

    Les Parisiens cherchant une résidence principale en région, sont passés de 7% en mars 2020 à 13% en mai 2021. Ces personnes sont avant tout des salariés, âgés de 25 à 45 ans, recherchant une meilleure qualité de vie, un logement plus grand et surtout une connexion facile avec la nature

    Durant le mois de mars 2022, ce sont ainsi 21 % des salariés qui ont travaillé au moins une fois à distance. 63 % des télétravailleurs y ont eu recours un ou deux jours par semaine et même 23 % ont télétravaillé trois à quatre jours par semaine.

    Or, en permettant aux salariés de travailler loin de leur entreprise, le télétravail développe un nouveau marché immobilier, celui de la résidence dite semi-principale, c’est ainsi que se sont mis à les qualifier les agents immobiliers. C’est-à-dire une maison, le plus souvent à la campagne ou en bord de mer, que les citadins peuvent rejoindre facilement afin d’y passer leurs journées télétravaillées.

    Quels sont les villes ou les lieux les plus plébiscités :

    Il s’agit avant tout de villes moyennes avec un cadre familial comme Angers, Brest, Nantes et Rennes, sans oublier Marseille. A Marseille, le ratio départs et nouveaux arrivants a augmenté de +8,2% depuis la crise sanitaire et de +7,2% à Rennes.

    Rennes a vu ses prix augmenter de +9% en 1 an, avec un prix moyen à 4550 €/M2. De même, Aix-en-Provence, a vu ses prix augmenter de +5% en 1 an avec un prix moyen/M2 à 5218 €.

    Aix-en-Provence

    Marseille

    Nantes…ont le vent en poupe, plébiscitées par les salariés qui souhaitent se délocaliser. Sans oublier l’attrait de plus en plus important de la campagne, avec notamment le Perche pour de nombreux parisiens, et plus généralement la Normandie.

    Quelles sont les conséquences fiscales d’avoir 2 résidences principales ?

    A la différence de la résidence secondaire, habituellement occupée durant les vacances et certains week-ends, la résidence semi-principale peut être habitée autant, voire même plus fréquemment que le logement initial du ménage. Une nouvelle réalité qui échappe à la législation en vigueur.

    Il n’y a aucune définition juridique de la résidence semi-principale. Une résidence semi-principale est donc soit considérée comme une résidence principale, soit comme une résidence secondaire, sachant que selon le Code général des impôts, « une même personne ne peut détenir simultanément plusieurs résidences principales »

    Fiscalement, cette distinction est importante, car les règles d’imposition diffèrent d’un statut à un autre. En matière d’impôt sur le revenu (IR), la plus-value tirée de la vente d’une résidence principale n’est pas imposée. À l’inverse, les gains issus de la cession d’une résidence secondaire sont taxés, après abattements pour durée de détention, au taux de 19 % auquel il faut ajouter les prélèvements sociaux de 17,2 % . Pour être exonérée de ces deux prélèvements, la résidence secondaire doit être détenue depuis au moins 30 ans.

    S’agissant de l’impôt sur la Fortune Immobilière (IFI), seule la résidence principale bénéficie d’un abattement de 30 % sur sa valeur. Enfin, la nature du bien est aussi importante du point de vue de la fiscalité locale. Par exemple, la suppression de la taxe d’habitation ne vise que la résidence principale, les propriétaires d’une résidence secondaire y restent assujettis de plein droit.

    Dans la mesure où la résidence secondaire est davantage taxée, il peut être tentant de déclarer comme résidence principale le bien qui est le plus valorisé pour baisser ses impôts. Un faux choix!

    Une résidence principale répond à des critères explicités par l’administration fiscale. Elle désigne, « le logement dans lequel le contribuable réside habituellement et effectivement avec sa famille ». Lorsque le contribuable exerce une profession qui l’oblige à de fréquents déplacements », il s’agit du « logement dans lequel sa famille réside en permanence », selon les finances publiques.

    Concrètement, le lieu de scolarisation des enfants est le premier critère regardé par les inspecteurs des impôts. En l’absence d’enfants ou si ceux-ci sont en pension, ils regardent d’autres critères, comme le lieu de domiciliation des comptes bancaires et les contrats d’assurance ». L’assurance habitation donne aussi des informations à l’administration fiscale. Ainsi, le propriétaire doit indiquer si le bien est assuré en tant que résidence principale, résidence secondaire ou s’il est destiné à la location.

     

    Il demeure toutefois une exception potentielle permettant à un couple marié d’avoir deux résidences principales : obtenir une imposition séparée. Hors divorce, certains couples peuvent bénéficier de cette double résidence principale, notamment lorsqu’ils sont séparés de biens et ne vivent pas sous le même toit… une situation qui peut se présenter du fait de l’augmentation du télétravail.

    Les concubins n’étant ni mariés, ni pacsés restent également indépendants juridiquement. Ils peuvent donc avoir chacun leur résidence principale. En revanche, même s’ils déclarent séparément leurs revenus, les concubins notoires doivent remplir une déclaration d’IFI commune. Et s’ils disposent chacun d’une résidence principale, l’abattement de 30 % n’est alors applicable qu’à un seul des biens, le second sera imposé comme une résidence secondaire, sans abattement.

     

    Chez Homelike Home, on vous aide à dénicher votre résidence semi-permanente à travers toute la France, afin de dénicher la maison de vos rêves, pour pouvoir télétravailler en toute quiétude. Contactez notre équipe

     

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