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    Coliving, une nouvelle forme de colocation

     

    La colocation et le coliving ont le vent en poupe et on comprend pourquoi….

     

    Dans un contexte de prix immobiliers élevés et de recherche de solutions locatives favorisant le lien social, la colocation est en forte progression. L’immobilier de colocation représente 7% du marché immobilier français, avec une croissance de 40% chaque année. Doté d’une fiscalité attrayante et d’une rentabilité locative élevée, l’investissement en colocation immobilière est particulièrement adapté aux grandes villes car la vie est souvent chère, et les loyers inaccessibles pour bon nombre d’étudiants ou de jeunes travailleurs. Mais quelle est véritablement la différence entre ces 2 modes de vie ?

     

    Quelle est la différence entre colocation et coliving ?

    La colocation se définit comme la location d’un même logement par plusieurs locataires, constituant leur résidence principale. La colocation est donc le fait de louer un logement avec d’autres personnes, quelle que soit la nature des liens. La colocation est aussi utilisée pour profiter d’un logement plus grand, que l’on ne pourrait pas financer seul. Mais c’est aussi un moyen d’éviter la solitude et de pouvoir partager des activités avec ses colocataires qui partagent les mêmes centres d’intérêt.

    Le coliving est né dans les années 2000 aux Etats-Unis, et c’est un mélange entre la colocation et le coworking. Le coliving, c’est donc vivre dans un même lieu, mais avec une certaine indépendance. Les locataires possèdent des espaces privés tels que chambre, SDB, WC et parfois cuisine, mais aussi différents espaces communs à partager, tels qu’une salle de sport, une pièce TV, Home cinéma, une terrasse….et souvent une espace partagé qui s’apparente plus à ce que l’on retrouve dans l’hotellerie classique. Le coliving est particulièrement bien adapté  aux travailleurs indépendants, entrepreneurs qui se déplacent souvent….d’où le phénomène d’ampleur qu’a pris ce nouveau mode de logement, avec la mise en place du télétravail.

    Le phénomène s’est aussi beaucoup accentué avec la hausse des prix de l’immobilier qui a renchéri les loyers. La colocation s’est alors imposée comme une solution permettant d’occuper un logement plus vaste ou mieux situé, au départ pour des étudiants puis de plus en plus pour des jeunes actifs. La colocation a notamment été popularisée par la série TV américaine »Friends » dans les années 1990. Le coliving est souvent considéré comme une déclinaison du coworking.

    En général, les espaces de coliving sont, la plupart du temps, gérés par des entreprises spécialisées dans l’immobilier, alors que les colocations sont généralement gérées par un bailleur, agence ou particulier, qui loue le bien immobilier.

     

    La difficulté d’accès au logement dans les grandes agglomérations favorise les solutions d’habitat partagé. Le coût des loyers constitue en particulier un moteur à la colocation, qui permet de mutualiser les charges communes et de disposer d’un espace plus vaste.

    Quels sont les différents types d’espaces de coliving ?

    Pour l’heure, plusieurs régimes réglementaires peuvent s’appliquer en matière de logements en coliving (location meublée, régime para-hôtelier, foyer de jeunes travailleurs,…). Le positionnement de l’offre détermine les règles applicables et les contraintes associées pour les gestionnaires.

    Cible prioritaire des gestionnaires d’espaces de coliving et des plateformes de colocation telles que Cooloc, les millenials, population âgée de 20 à 35 ans, sont faiblement attachés à l’accession à la propriété et envisagent des parcours professionnels moins linéaires. Ils sont a priori plus ouverts à des solutions flexibles en matière d’habitat.

    L’offre de coliving peut être segmentée selon le type de logement, le type d’habitation dans lequel se trouve ce logement (maison, appartement, immeuble-résidence) et la durée du séjour.

    – collectifs : une chambre privée dans une maison ou un appartement qui comprend également des espaces partagés (cuisine, salle de bain, salon, jardin, etc.). À noter que l’appartement peut se situer dans un immeuble-résidence prévu pour le coliving avec des espaces équipés. Ce type de logement est celui qui se rapproche le plus de la colocation traditionnelle.

    – semi-privatifs : un espace privé, composé d’une chambre avec une kitchenette et/ou une SDB, dans un appartement ou une maison avec des espaces partagés (salon, salle à manger, espaces détente, salle de sport…)

    – privatifs : un studio tout équipé (chambre, salle de bain, cuisine) dans un immeuble-résidence qui s’organise autour de vastes espaces collectifs (coworking, détente, bar, restaurants, etc.). Ce modèle partage des similarités avec celui des résidences étudiantes.

    Les gestionnaires de coliving ont pour principal objectif d’optimiser le remplissage de leurs logements, pour lequel la problématique est différente selon le positionnement de leur offre. Pour les acteurs qui misent plutôt sur des courts séjours, le modèle est proche de celui de l’industrie hôtelière, avec des coûts de gestion plus élevés en raison du turn over, mais des prix supérieurs aux offres de longue durée.

    A l’inverse, les offres de longue durée misent sur des relations de plus long terme, qui permettent de limiter les coûts de commercialisation des offres.

    Un type d’habitat destiné principalement aux millennials

    Le coliving s’adresse principalement aux « millennials », donc les individus nés à partir de l’an 2000, et dans une acceptation plus large, des étudiants et actifs âgés de 18 à 35 ans. C’est environ 16 millions de Français qui appartiennent à la génération des millennials et une partie de cette population cible se caractérise par un rapport différent des générations précédentes au travail, à la consommation et au logement. Le coliving correspond aussi à une volonté de créer des communautés…

    La qualité de vie et la flexibilité sont ainsi particulièrement valorisées. L’offre de coliving se base sur l’économie des fonctionnalités.

    En favorisant une prestation de services liée à l’occupation d’un bien plutôt qu’une location traditionnelle, le coliving s’inscrit dans le mouvement de l’économie des fonctionnalités. Celui-ci consiste à favoriser l’usage et la jouissance d’un bien ou d’un service, plutôt que sa propriété. Dans le cas du coliving, les clients colocataires bénéficient d’une prestation tout-compris (logement et services dont les prestations de conciergerie, ménage, abonnements divers). L’offre se substitue ainsi à un bail classique et à un ensemble de prestations complémentaires, associées à la vie quotidienne et aux loisirs.

    • Le prix est la première raison qui pousse les individus à intégrer une colocation
    • Le vivre-ensemble est la deuxième raison qui pousse les individus à rester en colocation. Il faut noter que 40% des demandes de colocations sont émises par des étudiants et 46% par des actifs !

    Les millennials attachent une plus grande importance à la qualité de vie que les générations précédentes, notamment dans le monde du travail. En outre, cette génération se veut indépendante. En témoignent la proportion de célibataires et la tendance à l’augmentation du travail en freelance, et à la mise en place du télétravail.

    Quelles sont les attentes des milenials vis à vis du logement ?

    La mutation des préférences de consommation de cette génération impacte le marché de l’immobilier. À titre d’exemple, 40% des millennials vivent encore dans un logement locatif à 30 ans, alors que cette proportion était deux fois moindre pour les générations nées entre 1965 et 1980.

    Une caractéristique qui peut trouver plusieurs explications : le frein du prix à l’achat, mais aussi la volonté de ne pas limiter sa mobilité. Près d’un tiers des milenials n’envisagerait pas l’accès à la propriété. Chez Homelike Home, en 19 ans de chasse immobilière, on a vu l’âge moyen de nos primo-accédants passer de 31 ans à 37 ans !

    Deux facteurs peuvent expliquer en partie cette évolution : l’augmentation des prix de l’immobilier dans les grandes villes rendant l’achat impossible pour les jeunes actifs sans aide de la famille d’une part et d’autre part, l’investissement immobilier qui est considéré comme un frein à la mobilité.

    S’il est trop tôt pour parler d’engouement, force est de constater que cette forme d’habitat suscite l’intérêt en France et que le coliving se structurera selon les promesses de valeur affichées :

    – les résidences services 2.0 miseront notamment sur les étudiants, avec un élargissement en direction des jeunes actifs et voyageurs d’affaires, à travers une dose supplémentaire de services. Cette offre correspond davantage aux foncières, promoteurs et bailleurs sociaux.

    – les colocations augmentées, qui miseront sur les jeunes actifs et les liens affinitaires. Ces offres resteront développées majoritairement par des startups, avec pour cible, les jeunes actifs.

    – le coliving de courte durée, de quelques jours à quelques semaines, avec une dimension professionnelle ou de loisirs et basé sur une promesse de mobilité. Ce type d’offre pourrait être proposé par des acteurs du tourisme (hôtellerie urbaine) voire des promoteurs dans le cadre de résidences services spécifiques.

    L’offre de coliving est encore embryonnaire en France mais elle est amenée à se développer, et de plus en plus.

    Au-delà du coliving, la recherche de lien social, la difficulté à accéder aux logements, y compris aux colocations, dans les grandes agglomérations, et la recherche de flexibilité, ainsi que la qualité des prestations fournies, sont les explications à l’essor de l’habitat partagé.  

    Un conseil, un besoin, une envie d’acheter un appartement pour le louer ensuite en colocation, contactez notre équipe de chasseurs immobiliers Homelike Home. Nous saurons dénicher le bien idéal pour une future mise en co-location, et surtout nous saurons aussi vous conseiller pour trouver la bonne société pour gérer vos futurs co-locataires…

     

    crédit Photos : cooloc

    FemmExpat, le site des expatriés au quotidien

     

    FemmeExpat est le site de votre expatriation au quotidien. Créé par la société Expat Communication, FemmeExpat.com accompagne des centaines de femmes, de familles et de collaborateurs dans l’aventure de l’expatriation. Homelike Home est partenaire de Femmeexpat car nous avons bien compris le rôle essentiel des femmes dans la réussite d’une expatriation.

    FemmeExpat est née de la rencontre de deux femmes qui rentraient d’expatriation et qui partageaient le même constat ; l’expatriation est une expérience fabuleuse mais c’est une aventure. Comme toute aventure il peut y avoir des échecs. Ces échecs sont particulièrement dangereux en expatriation car ce sont des carrières qui peuvent être sabotées, mais aussi un couple ou une famille qui peut se briser. Il est donc important de donner les clés de l’expatriation. C’est pour ça qu’elles ont fondés Expat Communication et FemmeExpat.

    A l’origine de cette belle aventure, on retrouve deux fondatrices : Sabine David et Corinne Tucoulat qui en 2001 se lancent le défi de monter une entreprise pour aider les expatriés à apprivoiser les transitions liées à la mobilité internationale.

    Expatriation, une affaire de femmes

    Femmexpat.com, est le premier réseau francophone des femmes actives à l’international qui ont osé l’aventure de l’expatriation et qui regroupe  plus  de 40 000 

    Ce web magazine au féminin a été créé en 2001 pour aider les femmes à mieux vivre leur expatriation et faciliter leur carrière à l’internationale… Entrepreneuses, diplomates, bénévoles, auteures, militaires, conjointes et mères de famille : elles sont des milliers à s’investir et font rayonner la France à l’étranger tous les jours, à leur niveau.

    Femmexpat donne régulièrement la parole aux femmes expatriées partout dans le monde et leurs témoignages notamment sur leur vie pro (création d’entreprise, reconversion professionnelle, bénévolat…) valorisent leurs différents parcours et transmettent tant d’inspiration pour notre communauté !

     

    Expatriation, un véritable projet de vie

    Une expatriation se prépare et se vit mieux lorsqu’on échange et partage.

    Ses valeurs sont restées intactes : accueil, audace, innovation, réalisme et optimisme. Depuis plus de 20 ans, l’entreprise continue d’évoluer et s’enrichit de compétences pour vous accompagner à toutes les étapes de votre expatriation.

    FemmeExpat.com vous accompagne dans votre expatriation avec une énorme collection d’informations, de guides, de vidéos pour que votre aventure se passe bien. Vous trouvez sur femmexpat.com de nombreuses informations et ressources autour de la carrière, la famille, le couple, la santé, la beauté, le bien-être, la vie quotidienne et beaucoup de bons plans pour réussir, au mieux, son expatriation.

    De la préparation au départ, en passant par l’installation et à la vie sur place : l’école, les enfants, la vie sociale et surtout professionnelle, tous les sujets sur l’expatriation sont traités. Sans oublier le retour en France, étape qu’il ne faut pas laisser de côté.

    FemmeExpat c’est aussi une communauté d’entraide via les réseaux sociaux.

    Femmes d’expatriés, quelles sont les perspectives professionnelles ?

    En France, entre 2 et 2,5 millions de personnes sont expatriées à l’étranger, selon les derniers chiffres publiés sur le site du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères. On dénombre autant de femmes que d’hommes mais nombreuses sont celles à avoir suivi leur mari. Mais quelles sont leurs perspectives professionnelles dans le pays d’accueil ?

    L’expatriation, c’est une opportunité pour certaines femmes, un sacrifice pour d’autres.
    L’une des principales difficultés, pour les femmes qui ont choisi de suivre leur mari à l’étranger, est de trouver une raison d’être en expatriation, de ne pas être là uniquement pour la famille.
    Certaines expatriées essaient de retrouver un poste équivalent à celui qu’elles avaient dans leur pays d’origine mais c’est généralement un véritable parcours du combattant.

    D’après l’étude d’Expat Communication, “49% des conjoints expatriés en recherche d’emploi affirment s’être sacrifiés pour leur conjoint car les postes trouvés sont inférieurs à leurs attentes.

    Ainsi, dans leur nouveau pays, d’autres femmes d’expatriés décident de tout recommencer à zéro en changeant de métier.

    De plus en plus de femmes expatriées se lancent dans l’entrepreunariat, ce qui leur permet d’être plus libres et plus flexibles, afin de garder un équilibre entre la vie professionnelle et personnelle.

    Une chose est sûre, pour réussir professionnellement à l’étranger, il est nécessaire de s’adapter, d’être agile pour retrouver un poste et d’avoir une force de caractère. Il est aussi nécessaire de bien anticiper votre retour d’expatriation et cela passe obligatoirement par une recherche immobilière, aussi bien à la location qu’à l’achat. 

    Vous êtes à des milliers de kilomètres, vous ne connaissez plus vraiment le marché immobilier local, vous ne savez pas dans quel quartier de Paris habiter, ou dans quelle ville vous diriger, vous avez besoin de conseils pour trouver la bonne école…L’équipe Homelike Home est à votre service pour votre retour d’expatriation, pour dénicher votre nouvel Home Sweet Home. Contactez notre équipe de chasseurs immobiliers Homelike Home pour votre chasse immobilière partout en France, et visitez de votre fauteuil en toute tranquillité, afin de vous assurer un retour d’expatriation serein.

    Les chasseurs de la Fédération des Chasseurs Immobiliers (FCI) se sont réunis à Paris

    Les membres de la Fédération des Chasseurs Immobiliers (FCI) se sont réunis à Paris, ce vendredi 10 mars 2023.

    La FCI représente les intérêts des chasseurs immobiliers auprès des pouvoirs publics, des syndicats professionnels et des Chambres des notaires.

    La FCI , défend les intérêts de l’acheteur, son client, et est le partenaire interactif des professionnels de l’immobilier, aussi bien agences immobilières, notaires, courtiers, banquiers, avocats…

    A l’origine, il existait 2 fédérations : la FFCI et la FNCI, qui ont fusionné pour devenir une seule et même fédération en 2022. Cette fusion a permis d’offrir un discours unique, au service de l’acheteur et d’avoir une seule force de frappe.

    Qu’est ce que  la chasse immobilière ?

    A la différence d’une agence immobilière, le chasseur immobilier Homelike Home va chercher un bien immobilier partout sur le marché, dans l’intérêt de son client. Il ne vend pas de biens immobiliers. Il est dédié au service de l’acheteur à 100%.

    Ce service s’inscrit toujours dans la cadre d’un mandat de recherche  et le plus souvent exclusif.
    Le chasseur peut également si son client le souhaite, l’accompagner dans la réalisation de travaux … le choix d’entrepreneurs, l’ameublement, la décoration d’intérieur, etc…

    En résumé, un chasseur d’appartement ou chasseur immobilier a pour objectif de trouver le meilleur bien, au meilleur prix et dans les meilleurs délais.

    Quels sont les atouts du Chasseur Immobilier ?

    • Le chasseur immobilier dispose d’une connaissance approfondie de son secteur et des prix du marché.
      Il est constamment au fait des normes et des réglementations en vigueur (étude des prix, lecture des diagnostics, évaluation des contraintes techniques et juridiques…)
    • Le chasseur immobilier est un expert reconnu, capable de conseiller et de guider les acquéreurs dans la réalisation de leur projet immobilier.
    • Son réseau (agences immobilières, particuliers, notaires, ventes aux enchères…) et sa réactivité permettent à ses clients de concrétiser, dans les meilleurs conditions et délais, l’acquisition de leur appartement, maison ou locaux professionnels.
    • Il détient une carte professionnelle immobilière (souvent appelée carte T pour Transaction sur immeubles et fonds de commerce) qui lui a été délivrée par la CCI.
    • Le chasseur immobilier est donc l’interlocuteur privilégié au service de l’acheteur, et va s’assurer que la recherche immobilière est bien réaliste par rapport à l’évolution du marché immobilier.

    Quels sont les avantages d’adhérer à une fédération professionnelle telle que la FCI ?

     

    La FCI réunit la très grande majorité des chasseurs immobiliers souhaitant garantir un service de qualité à leurs clients, mais aussi à leurs partenaires, agences, notaires, marchands de bien …

    Les adhérents de la FCI offrent la sérénité de travailler en confiance absolue avec des professionnels de la chasse immobilière.

    En résumé, un chasseur d’appartement (chasseur immobilier) a pour objectif de trouver le meilleur bien, au meilleur prix et dans les meilleurs délais.

    L’assemblée générale s’est terminée par une soirée au Sénat, où nos principaux partenaires, nos interlocuteurs privilégiés, étaient invités : agences immobilières, notaires, courtiers, banquiers, avocats . Dans un marché immobilier un peu compliqué actuellement, où les délais de transaction se rallongent beaucoup (80 jours en moyenne selon la FNAIM, entre la mise en vente d’un bien immobilier et la signature de la promesse !), on mutualise notre travail. Ainsi, les acteurs de la chasse immobilière se réinventent et ont construit des partenariats solides pour que chaque recherche immobilière aboutisse à une signature définitive.

    Tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin !

    Homelike Home est à l’origine de la FNCI, qui est devenue la FCI. Christine Pelosse est actuellement co-présidente de la FCI et a pour mission de valoriser le métier de chasseur immobilier et de le faire évoluer dans un contexte un peu plus difficile pour le marché immobilier. Votre chasseur immobilier Homelike Home sera votre véritable coach pour votre futur achat immobilier.

    les derniers chiffres immobiliers selon les notaires – Quelle est la tendance 2023 ?

     

     

    Ca y est, les derniers chiffres du 4ème trimestre 2022 ont été dévoilés par les notaires.

    En terme d’activité immobilière, l’année 2022 s’est déroulée en deux temps, avec un premier semestre très dynamique et un second semestre en recul par rapport à 2021.

    Amorcé au 3ème trimestre 2022, le ralentissement de l’activité en Ile-de-France s’est prolongé au 4ème trimestre, avec un recul du volume des ventes de – 11% , pour les logements anciens, versus le 4ème trimestre 2021. (ce recul était de -6% pour le 3ème trimestre)

    Le marché de la maison connaît aussi un repli de -19% lorsqu’on compare les 4ème trimestres 2021 et 2022. D’autant plus que les maisons ont connu une forte demande post confinement. Les ventes de maisons ont reculé de – 9% de 2021 à 2022 sur l’ensemble de l’Ile-de-France, de -7% en Petite Couronne et de -10% en Grande Couronne. Une baisse toutefois en trompe l’oeil car les heureux propriétaires de maisons ne veulent plus en bouger !

    Augmentation du taux d’usure au 1er mars 2023

    La Banque de France a encore relevé le taux d’usure le 1er mars 2023. Une nouvelle hausse mensuelle qui vise à débloquer le marché des emprunts. En revanche le taux d’intérêt de vos prêts immobiliers et de vos crédits à la consommation risquent d’augmenter dans la foulée.

    Ainsi, le taux d’usure pour les prêts à taux fixe supérieur à 20 ans passe à 4 % pour le mois de mars 2023.

    Sous l’effet de la remontée du taux d’usure, ce mercredi 1er mars, les banques et les établissements de crédits auront davantage de marge de manœuvre pour prêter de l’argent. Cette seconde hausse du taux d’usure, en 2023, fait suite au nouveau mode de calcul utilisé par la Banque de France, depuis le 1er février 2023. En effet, le taux d’usure est désormais révisé tous les mois et non plus une fois par trimestre comme auparavant. Cette exceptionnelle revalorisation mensuelle devrait s’achever le 1er juillet prochain, sauf décision contraire du gouvernement et de la Banque de France. La mesure vise donc à débloquer l’accès au marché des crédits, notamment immobiliers. Alors, un conseil, foncez chez votre banquier !

    Quels sont les prix pratiqués à Paris ?

    Au 4ème trimestre 2022, les prix au m2 varient de 8 010 € (quartier La Goutte- d’Or dans le 18ème  arrondissement) à 16 760 € (quartier Champs-Elysées dans le 8ème arrondissement).

    On remarque que 10 arrondissements sur 17 voient leur prix baisser tandis que 6 arrondissements enregistrent une hausse des prix de plus de +1% en un an. Les 19ème et  20ème arrondissements affichent un prix moyen/M2 inférieur à 9000 €

    Seul le 6ème arrondissement reste à plus de 14000€/M2. Comme nous l’avions signalé dans notre article précédent, les 6ème et 7ème arrondissements sont les arrondissements plébiscités par la clientèle étrangère.

    Les 3 arrondissements les plus chers, Paris Centre ainsi que les 6ème et 7ème arrondissements, affichent une hausse annuelle de plus de 3%.

     

    De plus, 11 arrondissements affichent un prix moyen/M2 entre 9 000 et 12000 €.

    D’après les avant-contrats des notaires, les prix parisiens reculeraient à 10.360 euros le mètre carré en moyenne en avril 2023.

    Vers un prolongement du ralentissement ?

    Le marché se trouve toujours privé de son principal moteur, à savoir un accès au crédit facile et des taux d’intérêt très attractifs.

    La solvabilité des ménages franciliens s’est dégradée, particulièrement pour les maisons. Elle oblige les acquéreurs à des efforts supplémentaires ou à des concessions. Elle impacte donc négativement l’activité.

    Pourtant le logement continue de bénéficier d’une forte confiance. Il reste une valeur refuge incontestable permettant la constitution d’un capital sécurisant.

    La dégradation du contexte économique, et surtout les resserrements des conditions d’accès au crédit, ont commencé à peser sur l’activité. En Ile de France, les ventes de logements anciens ont d’abord reculé en un an de -6% au 3ème trimestre 2022 puis de -11% au 4ème trimestre (versus 2021).

    La demande et le souhait de devenir propriétaire sont toujours présents mais désormais entravés, notamment par les refus de prêt qui sont de 80% en moyenne.

    Le contexte économique et géopolitique, les difficultés d’accès au financement et la hausse du taux des crédits ont continué de peser sur la demande. Cependant, l’excellente tenue du marché au premier semestre 2022 laisse un volume de ventes encore exceptionnel sur l’ensemble de l’année, inférieur d’à peine 1% au record historique de 2021 ! La baisse de l’activité commence à peser sur les prix qui enregistrent des variations beaucoup plus modestes ou tendent à s’éroder. D’après les avant-contrats, ce mouvement est appelé à se prolonger pendant les premiers mois de 2023.

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