
Mois : mars 2020
Un achat d’appartement à Aix en provence en toute sérénité grâce à notre chasseuse Fabienne
Envie d’acheter un appartement à Aix en Provence, sans habiter sur place…notre chasseuse, Fabienne est votre interlocutrice privilégiée.
Qu’il s’agisse d’un investissement locatif, d’une résidence secondaire, d’un appartement pour prendre sa retraite au soleil, Fabienne « chasse » toutes les bonnes opportunités sur Aix en Provence et ses environs.
Pour cet appartement situé cours Mirabeau, Fabienne a réalisé un service sur mesure, de la recherche de l’appartement, à la livraison clés en mains, travaux finis.
C’est après avoir visité 7 appartements que Fabienne a trouvé l’appartement de rêve pour nos clients. Lors des contre visites, elle a bien entendu fait un chiffrage estimatif des travaux, afin que l’enveloppe budgétaire globale corresponde bien au cahier des charges, et qu’il n’y ait pas de mauvaise surprise…
Cet appartement est au dernier étage , dans le quartier calme de Mazarin et donne sur l’Hôtel Caumon. D’une surface de 84 m², au 3eme et dernier étage sans ascenseur, comme dans de nombreux immeubles dans le centre historique de Aix en Provence, cet appartement est composé d’une entrée, d’une cuisine fermée semi-équipée, d’un salon, et de 2 chambres, avec une salle de bain et un WC séparé.
L’appartement a été acheté 469.500 € HAI et nécessitait de nombreux travaux pour le moderniser.
Fabienne, ingénieur de formation, gère les travaux dans sa globalité. A titre d’exemple, pour cet appartement de 84 m2, un budget travaux de 60.000 €TTC était nécessaire , sans compter la rénovation de la cuisine. Cette enveloppe incluait la démolition avec reprise de la structure, murs redressés et préparés, peinture de l’ensemble, menuiseries extérieures , électricité et plomberie refaites entièrement avec sanitaire, sol carrelage dans pièces humides…Voilà ce que Fabienne a préconisé comme travaux dans cet appartement et voici le résultat en photos..
AVANT TRAVAUX :
PENDANT LES TRAVAUX :
APRES TRAVAUX :
Chez Homelike Home, on est très très fières du résultat, et nos clients sont aussi ravis.
Vous aussi, si vous êtes intéressé pour réaliser un achat immobilier à Aix en Provence, faites appel à notre équipe Homelike Home et en particulier à Fabienne Lathuille…
En attendant, prenez soin de vous et attendons la fin de la crise du Coronavirus pour recommencer les visites au soleil !
Notre activité de chasse immobilière est en pause…
Notre activité de chasse immobilière est à l’arrêt total, mais pas de pause pour notre blog dé-nicher, même si l’actualité est moins riche !
Quelles sont les Tendances du marché immobilier au 1er trimestre 2020
Nous avons eu la chance d’être invitées à la réunion du club notarial immobilier et d’avoir les dernières tendances du marché immobilier en Ile de France et en France…Le marché est tendu aussi bien à Paris qu’en province en raison de ce même déficit de logements…Phénomène qui risque de s’accentuer dans les années à venir, car la pierre est devenue un placement idéal pour la retraite. En effet, avec entre autre le phénomène « grèves » des mois de Décembre et Janvier, les français ont pris conscience de l’importance de se constituer leur propre retraite, et notamment grâce à l’immobilier.
Pour autant, les ménages restent désireux d’accéder à la propriété, particulièrement en Ile-de-France où le taux de propriétaires reste inférieur de près de 10 points à la moyenne nationale. La pierre est LA valeur-refuge. En effet, le manque de logements locatifs, les évolutions socio-démographiques, les risques relatifs aux placements alternatifs, incitent toujours plus les ménages à l’acquisition immobilière. De plus, l’impôt sur la plus value à 30 ans « poussent » les propriétaires actuels à attendre avant de mettre en vente leur résidence secondaire, pied à terre ou investissement locatif.
Le marché en volume
Le marché en valeur
Tous logements confondus, la hausse annuelle des prix a été de 3,9% en Ile-de-France au 4e trimestre 2019. Elle a été beaucoup plus forte pour les appartements (+5,6% en un an) que pour les maisons dont les prix sont stables (+0.4%).
L’ évolutions des prix des appartements reste tirée par la Capitale (+6,6%) et la Petite Couronne (+5,3%) et +3,2% en Grande Couronne !
Quel est l’impact du Grand Paris ?
La Métropole du Grand Paris est composée de Paris et de 131 communes qui accueilleront au total les 69 gares du Grand Paris Express….
Les indicateurs avancés sur les avant-contrats des notaires du Grand Paris montrent que le prix de vente d’une maison en Ile-de-France s’établirait à 320 600 € en Avril 2020, soit une hausse annuelle de 4,3%. Cette poussée s’explique par une augmentation des prix en début d’année 2020 alors que, traditionnellement, les prix évoluent peu à cette période…ce qui signifie que les gens achètent effectivement moins dans Paris intra muros et d’avantage en Petite et Grande Couronne.
Il faut attendre que les projets de construction de Métro et RER soient un peu plus avancés, pour voir l’impact sur les prix à proximité des futures gares.
Si l’on s’intéresse aux prix autour des gares, on observe des prix très variés allant de 1 640 € le m2 pour la gare de Sevran– Beaudottes (ligne 16) à 10 530 € le m2 pour la gare de Pont Cardinet (ligne 14) dans le 17e arrondissement de Paris.
Actuellement, en Grande Couronne, les prix augmentent plus dans les quartiers éloignés des gares, qui sont souvent des quartiers plus résidentiels avec des grandes maisons et jardin. Les prix forment naturellement un éventail très large allant de 2 560 € le m2 au nord-est de la Seine-Saint-Denis (Paris Terres d’Envol) à 7 380 € le m2 dans les Hauts-de-Seine ( Grand Paris Seine Ouest).
Pour une même ligne de métro et compte-tenu de leurs étendues (la ligne 15 notamment sera longue de 75 km et couvrira trois départements), les écarts entre les prix peuvent être considérables d’une station à l’autre.
Par exemple, la station de Bagneux (à côté d’Arcueil-Cachan) se situe à 4 320 € le m2 quand la station suivante celle de Châtillon-Montrouge atteint 6 100 € le m2. Deux stations plus loin à « Issy RER » c’est un prix de 7 410 € que l’on observe (soit 72% plus cher que Bagneux).
De la même façon, le prix atteint 10 530 € le m2 à Pont Cardinet puis ensuite 6 520 € à la station suivante de Porte de Clichy.
Au 4e trimestre 2019, les prix oscillent entre 7 370 €/m2 dans le quartier « Pont de Flandres » dans le 19ème arrondissement et 15 870 €/m2 dans le quartier « La Monnaie » du 6ème arrondissement de Paris.
Le rapport entre le quartier le plus cher et le moins cher est à 2,15 et reste historiquement bas, traduisant la valorisation progressive des quartiers les moins onéreux.
Transformer des bureaux en logements, simple formalité ou véritable casse tête
Les immeubles de bureaux sont souvent obsolètes car ils ne correspondent plus forcément à l’évolution actuelle du monde du travail…donc dans un marché tendu avec une demande bien supérieure à l’offre, il semblerait logique de pouvoir les transformer aisément en appartements, plutôt que de les laisser vides…plus facile à dire qu’à faire ! Mais ce serait la solution idéale pour faire face à la pénurie de logements que connaissent les grandes villes en France.
Pourtant la solution existe : il suffit de prévoir dès le départ la réversibilité du bâtiment. Longtemps les normes et réglementations telles que incendie, isolation phonique, thermique…des bureaux et des logements ont été inconciliables. mais maintenant, c’est possible moyennant un surcoût de 5 à +20% au moment de la construction.
Les professionnels reconnaissent qu’il y a 750.000 m² de bureaux vides dans la capitale et la ville ne parvient à transformer que 400 immeubles par an. Le potentiel de la ville permettrait de doubler facilement ce chiffre !! Une chose est sûre: ce type de transformation de bureaux en logements ne peut se faire qu’avec une solide volonté politique, car l’équation économique est difficile à trouver.
Avec des taux de vacance historiquement bas dans Paris et des loyers à la hausse, le bureau traditionnel est actuellement bien plus rentable. D’autant que les opérations doivent compter une proportion de logements sociaux qui viennent encore alourdir la facture.
Des investisseurs frileux
Ajoutez à ces incertitudes, la fiscalité élevée, une rentabilité réduite et la complexité de la gestion de logements, et vous comprendrez que les investisseurs sont frileux. « Je suis sceptique, affirme Marc Bertrand, président de La Française Real Estate Managers. Il y a des freins partout et nous n’avons pas encore assez de recul pour puvoir apprécier les éventuelles économies d’une conversion en logements. » Pour Fabrice Bonnifet, directeur développement durable du groupe Bouygues, « aujourd’hui, la stratégie d’investissement est la seule limite de ces projets. Si l’investisseur est purement spéculatif et veut revendre son bien après trois ans, le surcoût généré par une conception plus sophistiquée n’aura pas beaucoup de sens pour lui. Par contre, s’il a comme objectif de conserver les biens sur le long terme, il s’y retrouvera à tous les coups ». Résultat, seuls les investisseurs long terme poussent aujourd’hui à la réversibilité. La Caisse des dépôts finance ainsi des recherches sur de nouveaux systèmes constructifs. L’un d’eux sera bientôt mis en œuvre à Bordeaux
Des métropoles comme Lyon, Paris ou Nantes favorisent elles aussi ces projets ? Dans les plus petites communes aussi, de plus en plus de maire lient la construction de bureaux à leur convertibilité. Mais c’est aussi le cas de certains maires du Grand Paris qui, attirés par les revenus des bureaux, craignent de se retrouver, plus tard, avec des bâtiments vides sur les bras.
Une législation plus favorable
De son côté, l’Etat fait des efforts pour adapter la législation : ainsi, la loi Elan permet désormais de déroger aux quotas de logements sociaux et de bénéficier, jusqu’à 30 %, de droits à construire supplémentaires en cas de conversion en logements d’un immeuble de bureaux. Le texte crée aussi une nouvelle classe de bâtiment aux normes, notamment en terme de sécurité et harmonisée. Le code de la construction et de l’habitation est également revu et corrigé pour éviter, comme le souligne le ministère du logement, les obstacles à la réversibilité. Il veut entre autre modifier les permis de construire, notamment via le permis d’innover. Pour le village olympique, l’Etat utilise déjà un permis à double détente pour des usages, pendant et après Paris 2024. A Lyon, le Work#1, nouveau projet David Chipperfield Architects, met en oeuvre le principe réversible Office Switch Home conçu par Bouygues Construction. Pensé pour un usage de bureaux pour son premier cycle de vie, le bâtiment de 5 442 m2 sur 8 étages et un niveau en attique pourra donc aisément évoluer en logements d’ici quelques années. Une transformation possible car intégrée dès la phase de conception. C’est ainsi que la profondeur des plateaux de bureaux est moins importante qu’à l’accoutumée pour pouvoir aménager des logements sans perte de surface à la transformation et que des espaces extérieurs ont été prévus à tous les étages.Ses 8 plateaux de bureaux sont convertibles en logements…une grande première
Construire réversible sera de toute façon bientôt une nécessité. De plus, avec le développement du télétravail et du home office, mis en exergue avec les grèves que nous avons connues en Décembre et l’épidémie du Coronavirus, Les investisseurs n’auront pas le choix : ils seront bien obligés de suivre…
L’Etat peine à trouver des bâtiments à convertir
Pour faire face à la pénurie de logements en Ile-de-France, dix grands acteurs de l’immobilier ont signé une charte avec le ministère de la cohésion des territoires en Mars 2018. Ils s’engagent à trouver 500 000 m² de bureaux vacants d’ici à 2020 pour en faire 5 000 à 10 000 logements d’ici à 2022. Un an et demi plus tard, à peine 200 000 m² de bureaux transformables ont été identifiés. Pour encourager la conversion des bâtiments vacants, le groupe Action Logement vient de lancer une foncière dont l’objectif sera de faciliter l’équilibre économique de ces projets.
A Paris, les entreprises misent désormais davantage sur la location. Aujourd’hui, 90% des entreprises franciliennes sont locataires de leurs bureaux. En effet, les prix de vente sont souvent trop chers, et bien au delà des 10 000 €/M2, voire beaucoup plus pour les bureaux situés dans le QCA , le Quartier Central des Affaires, ainsi que Levallois, Neuilly, Boulogne…De nombreux dirigeants de société préfèrent louer plutôt que d’immobiliser une forte somme d’argent et préfèrent investir ailleurs pour le développement de leur entreprise.
L’offre disponible est extrêmement réduite, avec un taux de vacances de moins de 2% en moyenne à Paris…du jamais vu. Si vous cherchez un bureau à la location ou à l’achat, Dominique Geoffray et son équipe Homelike Office sont là pour vous aider, de la définition de votre cahier des charges, jusqu’à la signature définitive du bail ou de l’achat…et même au delà avec le suivi de travaux, grâce à olivia Samson et sa société d’architecture so-workshop.