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    Portrait chinois de Marguerite, Homelike Home Bretagne Nord

     

    Chez Homelike Home, on adore présenter une nouvelle personne de l’équipe de chasse immobilière Homelike Home, à travers son portrait chinois. Cet exercice, pas toujours facile, vous permet de mieux comprendre la personnalité de nos chasseurs immobiliers. Aujourd’hui c’est au tour de Marguerite de nous faire découvrir sa belle région de la Bretagne, et notamment Rennes et ses environs. Parisienne d’origine, Marguerite a posé ses valises en Bretagne Nord depuis 10 ans déjà, et a toujours travaillé dans les métiers de service. Alors si « la Bretagne, ça vous gagne », Marguerite se fera un plaisir de dénicher votre futur Home Sweet Home grâce à Homelike Home.

     

    1- En quelques mots, ton parcours ?

     Après 10 ans à Paris, nous nous sommes installés à Rennes avec mon mari pour élever nos enfants. Nous aimons dénicher des biens avec du potentiel et les retaper.
    Mais entre les enfants, les travaux et le travail, il fallait choisir! C’est ainsi que par l’intermédiaire d’une amie j’ai fait la connaissance de Dominique Guenin, associée chez Homelike Home, et cela m’a paru une évidence : rejoindre Homelikehome !

    2- Comment es-tu devenue « dénicheuse d’apparts » ?

    Après avoir obtenu mon diplôme d’infirmière j’ai travaillé 10 ans dans différents services de soins.

    Mais conjuguer le métier d’infirmière avec vie de famille et horaires décalés n’ était plus possible.

    Je me suis tournée alors vers mon autre passion : l’IMMOBILIER et j’ai surtout découvert les spécificités du métier de chasseur immobilier.

    Visiter, imaginer, prospecter, je le fais déjà pour moi alors pourquoi pas pour vous ?

    3- D’où viens-tu ?

    J’ai grandi à Poitiers jusqu’à l’âge de 16 ans! Mes parents souhaitaient finir leurs carrières en Bretagne ( et ils ont alors décidé de déménager à Vannes!
    J’ai trouvé un accueil très chaleureux dans cette ville de Vannes et des amis incroyables qui le resteront à vie ! Mais la Bretagne a ses limites, alors pour les études et le premier travail, direction la capitale! Je suis restée 10 ans à Paris où j’ai d’ailleurs rencontré mon mari, breton d’origine, avant de revenir m’installer, cette fois en famille, à Rennes.

     

    4- Pourquoi avoir choisi la Bretagne Nord ?

     Ah, épouser un breton, vous ramène toujours au pays…Mon mari a obtenu un poste, après ses études à Paris,  dans sa ville natale : Rennes. Il m’a fait découvrir sa région de coeur, la Bretagne Nord . Paimpol, en particulier mais aussi les week-ends sur la côte d’Émeraude, Saint Malo, Dinard, Cancale… je me suis attachée à cette magnifique région.

    Ai-je le droit de dire … que je suis devenue ( presque) bretonne?

    5- Grâce à ton métier, tu explores La Bretagne Nord et la région de Rennes en long, en large, et en travers…Mais si tu étais un quartier, un seul, tu serais ? 

    La Place des Lices à Rennes! Avec ces colombages aux multiples couleurs, son marché qui s’anime le samedi matin ,les bars le soir.. Ce marché est véritablement le coeur battant de la ville de Rennes.

     

    6- Et une rue en particulier ? 

     Les rues de Saint Malo intra-muros ! Elles sont incroyables et bouleversantes, on s’imagine facilement la vie que les habitants d’autrefois avaient. J’ai lu un livre : « Ces messieurs de Saint Malo  » de Bernard Simio , qui relate de l’époque des corsaires et l’heure de gloire de cette ville…Se promener dans les rues de l’intra-muros c’est comme  remonter un peu le temps!

     

    7- Si tu étais un parc ou un jardin ?

     Le parc du château de la Roche Jagu! Dans l’estuaire du Trieux près de Paimpol. Imaginez un château féodal sur un promontoire rocheux qui domine le fleuve… son jardin arboré avec des espèces d’arbres et de plantes variés, sa palmeraie qui descend en terrasse sur le fleuve. L’entrée du château est payante mais le jardin est en accès libre, alors allons flâner ensemble!

    8- Une boutique ?

    une agence immobilière ?
    Les boutiques de décoration en général sans pour autant en avoir une favorite.

     

    9- Un objet déco ?

     ​​​​​​Des tableaux de peinture! je suis fascinée par le talent et le savoir-faire des peintres!  Les rue de Paimpol, lieu de vacances pour moi,  sont truffées de petite boutique d’artistes près du port, je suis comblée par ces artistes!

    10- Un restaurant ?

     un restaurant de fruits de mer bien évidemment.

    11- Et si tu étais un style de maison ?

     Une maison ancienne, avec des colombages, des petits carreaux et des murs qui ne sont jamais droits. Vous l’aurez compris, j’aime la vieille pierre, les maisons chargées d’histoire, avec des anecdotes à raconter. Et on peut dire qu’ en Bretagne, je suis comblée.

    12- De toutes tes recherches, quelle est celle dont tu es la plus fière ?

    La prochaine !

     

    13- Et celle qui te semblerait la plus difficile ?

    Aucune, nous avons chez Homelike Home un cahier des charges et une charte déontologique qui garantit à nos clients une écoute et des réponses sur-mesure. Nous avons aussi à cœur de travailler en transparence avec tous les interlocuteurs du marché.

    Cependant il est vrai qu’une demande qui irait à l’encontre de l’environnement patrimonial et naturel serait pour moi, éthiquement parlant compliquée.

     

    14- Qu’aimes-tu particulièrement dans ton métier ?

    Rencontrer les clients et écouter leur projet de vie. Ainsi, je peux cerner leurs choix, me l’approprier et me lancer dans la recherche de leurs rêves. J’ai toujours aimé les métiers de service et aider les gens en général. Je suis d’ailleurs passer d’infirmière à chasseur immobilier sans me poser de questions, car être au service d’une personne donne du sens à ma vie.

     

     

    15- Et si tu devais en changer tu serais ? 

     Aucune idée puisque je ne compte certainement pas en changer !

     

     16- Allez, dernière question ! Si tu devais changer quelque chose en Bretagne Nord, ce serait… ?

    La météo? Quoique….. la réputation (loin d’être fondée d’ailleurs) d’être un endroit humide et venteux, nous protège d’un flux touristique trop important, enfin pour l’instant, car avec le réchauffement climatique, on ne sait pas tout. Une seule chose est importante à mes yeux : Préserver le côté sauvage de la Bretagne Nord.

    En tous les cas, la Bretagne Nord a le vent en poupe. Notamment depuis les confinements et la mise en place du télétravail  où nous avons vu le prix des maison s’envoler. Si vous êtes à la recherche d’une maison en Bretagne, et notamment aux alentours de Rennes, Marguerite se fera un plaisir de dénicher votre future résidence principale,  secondaire, semi-principale ou même votre investissement locatif. Contactez-nous :  info@homelikehome.com

    Un mauvais DPE peut entraîner une négociation importante d’un bien immobilier

    La performance énergétique d’un bien peut diminuer considérablement sa valeur. Avec la mise en place du nouveau DPE,  la décote frise les 15% pour les biens immobiliers notés en G (passoires thermiques) en comparaison avec les maisons classées A (logement performant), notamment à Dijon, Reims, Rennes et Angers…Ces décotes sont moins importantes dans les grandes villes telles que Bordeaux, Lyon et sont de l’ordre de -5%.

    À Paris, le DPE  n’a pas encore d’impact significatif sur le prix des appartements. Le marché parisien étant encore un marché tendu, les acquéreurs restent moins regardants. De plus, La majeure partie des appartements parisiens (52% ces 12 derniers mois) présente une faible performance énergétique, avec des DPE E, F ou G, contre 31% à l’échelle de la France.

    Rappelons que depuis le 1er janvier 2022, le diagnostic de performance énergétique (DPE) figure sur les annonces immobilières.

    Ainsi, les prix de vente restent élevés mais les acquéreurs négocient beaucoup plus.

     

    Il faut distinguer les acheteurs qui souhaitent faire de leur nouvelle acquisition leur résidence principale, auquel cas la décote est moins importante, des investisseurs, pour qui le DPE a une énorme incidence. Ils ont besoin de savoir si leur futur bien immobilier pourra être loué sans problème dans le temps.

    Rappelons que dès le 1er janvier 2023, les passoires thermiques de la classe G seront interdites à la location, pour les pires notations.

    En 2025, tous les logements notés G seront concernés par cette interdiction de location.

    Les logements classés F le seront en 2028 et les logements avec l’étiquette E en 2034.

    Un impact plus important sur les maisons :

     

    Pour ce qui est des maisons, le DPE a un impact plus important sur leur prix que sur celui des appartements, car le coût des travaux d’isolation à envisager est souvent plus important. Les décotes peuvent atteindre jusqu’à – 15% dans ce cas.

    Rappelons que les maisons sont souvent de taille plus importantes que les appartements et que le coût d’entretien au quotidien en terme de chauffage notamment, est beaucoup plus important.

    Il est important de passer par un professionnel de l’immobilier tel que Homelike Home, pour obtenir des conseils et négocier plus facilement selon la note du DPE du bien immobilier  que vous venez de visiter.

    Surfer en Bretagne, toute l’année ou presque…

     

    Vous avez peut-être eu la chance de partir au bord de la mer pour ce week-end du 11 novembre, en Bretagne ou en Normandie, avec des températures dignes d’un mois d’avril. Vous en avez peut-être profité pour goûter au plaisir du surf ou du kitesurf. On vous dit tout sur les meilleurs spots pour surfer en Bretagne, pour vos prochains week-ends ou vacances d’été.

     

    Le surf est plus que jamais à la mode, car on lui prête même des vertus thérapeutiques !

    En effet, le surf serait un moyen de se reconstruire. Ce sport aquatique permettrait d’atténuer les effets du trouble de stress post-traumatique, symptômes que l’on éprouve suite à une expérience douloureuse, qu’il s’agisse de difficultés physiques ou psychologiques.

    Rien que sur le plan physique, apprendre à tenir debout sur une planche est un véritable défi, surtout lorsque vous n’avez jamais surfé. Se relever, toujours en trouvant son rythme, tout comme l’on modulerait sa respiration, voilà l’une des épreuves, aussi bien physique que philosophique, que nous offre le surf.

    La zone d’action est limitée, la concentration doit être maximale, l’activité reste une activité solitaire et des compétences techniques sont nécessaires pour pratiquer ce sport. Cette équation entre les efforts physiques concrets qu’il nous faut fournir et une force abstraite, celle de l’environnement et des sensations qui nous submergent, mène à une sensation de bienêtre.

     

    De plus, le surf, comme toutes activités physiques, épuise le corps. Il permet ainsi de mieux dormir la nuit et s’avère d’une aide non négligeable pour les insomniaques, même les plus coriaces.

    Alors, pratiquez ce sport, contrairement à ce que l’on pense, ne se fait pas uniquement au Pays Basque ou dans les Landes. La Bretagne est devenue un « spot » de surf.

    La Bretagne est considérée comme l’un des 4 Paradis des surfeurs de la planète. Ses côtes sauvages sont moins fréquentées que la moyenne des plages où l’on surfe habituellement et les rendent uniques au monde.

    Homelike Home a identifié les principaux spots de Surf, aussi bien en Bretagne, Pays de la Loire, qu’en Bretagne sud et nord. 

    Le surf en Finistère : La Bretagne à la pointe !

    Du nord au sud, les spots de surf s’égrènent le long de la côte du Finistère. Par tous les temps, pour tous les niveaux, en toute saison, il est possible de pratiquer le surf.

    La Torche est sans équivoque LE meilleur spot de surf en Bretagne, mais de nombreux autres spots existent, et c’est cette diversité qui permet de surfer toute l’année en Bretagne, à condition de résister au froid ! Le spot de surf de la Torche a une position très avancée dans l’Atlantique, sans récif au large pour bloquer les déferlantes des belles vagues. Ces dernières sont connues pour leur longueur extraordinaire qui permet aux surfeurs les plus expérimentés de surfer pendant plusieurs minutes sur la même vague ! Les vagues peuvent atteindre jusqu’à 3,5 mètres les jours de grands vents.

    Guidel est un des spots de surf en Bretagne les plus courus par les surfeurs Bretons. Le site est situé à quelques kilomètres de Lorient et possède 3 spots dispersés sur 3 plages différentes : Les Kaolins, la Maeva et Le Loc’h. Le site est très réputé et ne peut être surfé qu’à marée basse. En effet, les courants de l’embouchure de la Laita rendent la pratique du surf difficile à marée haute.

     

    La presqu’île de Quiberon est un des sites de surf les plus réputés de Bretagne. Le site possède à ce titre l’une des zones les plus denses en spots de surf de toute la Bretagne. La ville de Plouharnel a d’ailleurs aussi été baptisée Ville du Surf. Les 4 plages les plus connues de la presqu’île de Quiberon sont,  Port Blanc, Port-Marie, Port-Rohu et Port-Bara. Cette dernière plage est la plus accessible pour tous les niveaux de surfeurs, à commencer par les débutants.

    Le spot de surf de l’Ile aux Vaches a longtemps été un spot secret connu uniquement par les locaux et quelques audacieux initiés. Le spot de surf est désormais l’un des plus réputés en Bretagne et réservé aux très bons surfeurs.

    Enfin, le spot de La Palue complète le top 5 des spots de surf de Bretagne.  Ce magnifique lieu sauvage posé entre deux falaises, est situé dans le Finistère, sur la presqu’île de Crozon. La plage de sable fin se déroule sur 2 km et reste moyennement fréquentée, en comparaison d’autres spots que nous avons évoqués.

     

    En Bretagne, Pays de la Loire, voici les principales plages pour surfer :

    La plage de la Govelle à Batz sur Mer, la plage des Libraires à Pornichet, la plage de Monsieur Hulot et de la Courance à Saint-Marc sur mer, sans oublier la plage de l’Hermitage à Saint-Brévin les pins…Sans oublier Belle-Île en Mer avec la plage du Donnant.

    De la côte de Jade à la Côte d’Amour, les vagues sont idéales à la pratique du surf, quel que soit votre âge, votre condition physique, ou votre connaissance de la discipline. La Loire-Atlantique toute entière peut être considérée comme une immense zone de repli lorsque ailleurs les conditions sont trop rudes. Cela sous-entend, que la meilleure période pour surfer en Loire-Atlantique sera l’hiver (de novembre à mars), là où les houles sont les plus fortes en Europe.

    Outre les houles importantes, la deuxième spécificité de la Loire-Atlantique est l’importance des marées. Étant donné qu’il y a un marnage important et des hauts-fonds au large de la côte, il est nécessaire de tenir compte des marées pour pouvoir surfer.
    La Baie de Pornichet à la Baule est particulièrement adaptée aux débutants. En effet, toutes les vagues déferlent sur des bancs de sable, ce qui limite grandement les risques liés à une chute sur un rocher.

    De Saint-Brévin à Préfailles, on retrouve dans cette zone une grande quantité de spots sur une trentaine de kilomètres. En règle générale, les récifs de cette zone sont compliqués à gérer pour des grands débutants et sont plus adaptés à des surfeurs aguerris. Les plages de Saint-Brévin sont bien adaptées aux débutants   et aux surfeurs voulant se perfectionner.

    Pour la partie Morbihan, on surfe à Quiberon ou à Erdeven, principalement.

     

    Après avoir listé les principaux spots de surf bretons, voici quelques exemples de prix au m2 pour acheter la maison qui vous permettra de surfer toute l’année ou presque !

    Sans aller jusqu’à donner tous les prix du littoral breton, surtout que les surfeurs se déplacent selon la météo, voici quelques exemples de prix à suivre…

    Dans le Morbihan  :

    À Plouharnel, il faut compter pour l’achat d’une maison, un prix moyen au m2 de 3883€.

    À Saint-Pierre Quiberon, les prix s’envolent avec un prix moyen au m2 de 4779 € pour l’achat d’une maison.

    À Erdeven, le prix moyen du m2 pour une maison est à 3579€.

    A Belle-île : 

    Sur la plage de Bangor, à proximité de la plage du Donnant, le prix moyen du m2 pour une maison atteind 4478€.

    Dans le Finistère :

    Pour la ville de Nevez avec le spot de surf de Dourveil, il faudra débourser 3195€/m2 pour l’achat de votre future maison. En moyenne, dans le Finistère, le prix moyen/m2 est de 3000 €, mais à ce prix là,  c’est sans avoir une vue sur la mer, bien entendu !

    En Bretagne – Pays de la Loire  :

    À Pornichet, il faut compter pour l’achat d’une maison, un prix moyen au m2 de 4540 €.

    À la Baule-Escoublac, on compte en moyenne 6060 € du m2 pour l’achat d’une maison.

    À Batz sur mer, les prix s’envolent avec un prix moyen au m2 de  4760 € pour l’achat d’une maison.

    À Saint-Brevin les Pins, le prix moyen du m2 pour une maison est à 3610 €.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Notre équipe Homelike Home Bretagne est à votre service pour dénicher la maison de vos rêves, aussi bien en Bretagne Sud, avec Nathalie Lalande, qu’en Bretagne Pays de la Loire avec Constance Arnaud, mais aussi Bretagne Nord avec Marguerite Gailly de Taurines…En attendant, profitez de ce week-end ensoleillé et contactez notre équipe Homelike Home pour votre futur achat en province.

     

     

     

     

     

    Comment se porte l’immobilier de bureaux et les prévisions pour ce dernier trimestre 2022

    La période estivale a confirmé la solidité du marché des bureaux d’Île-de-France, malgré la mise en place du télétravail et un léger tassement de l’activité.

    Cependant, l’économie mondiale doit faire face à 3 chocs importants en 2022 : la crise sanitaire, qui n’est toujours pas jugulée et continue notamment de peser sur l’activité en Chine, la guerre en Ukraine et la crise énergétique, ainsi que l’envolée de l’inflation.

    En Europe, l’augmentation des prix à la consommation s’établirait à + 8,1 % en 2022 et à + 5,5 % en 2023. Avec l’énergie pour principale composante, l’inflation varie fortement selon les pays du vieux continent. Atteignant en moyenne 10 %, elle dépasse légèrement ce seuil en Allemagne (10,9 %) et en Belgique (12 %) tandis qu’elle explose aux Pays-Bas ( 17,1 %).

     

    Sur le marché de l’investissement de bureaux c’est l’attentisme qui domine :

    Trois milliards ont été investis depuis le mois de janvier 2022, portant à 8 milliards le total des sommes engagées, soit une baisse de -13 % par rapport à la moyenne des autres années.

     

    Avec 4,05 millions de m2 disponibles à la fin du 3ème trimestre 2022, soit un taux de vacance de 7,2 %, l’offre immédiate n’augmente que de +1 % sur le dernier trimestre.

    En 1ère Couronne, le niveau relativement faible de la demande et des rythmes de développement toujours importants se traduisent par une nette augmentation de près de + 20 % de l’offre disponible par rapport à la même période l’an passé. La tendance est également à la hausse en 2ème couronne.

    Dans ce contexte, et avec un taux de vacance inférieur à 4 %, Paris est décidément un marché à part, avec un peu moins de 200 000 m2 disponibles. À l’exception des arrondissements du Nord Est parisien, 75018, 75019 et 75020, l’offre demeure très réduite et a continué de décroître au 3ème trimestre 2022 dans la quasi-totalité des secteurs. ce qui explique que les prix dans l’immobilier de bureaux se maintiennent à la hausse dans Paris intramuros.

    Le prix du loyer moyen dans Paris atteint ainsi un nouveau record, s’établissant à 955 €/m2/an !

     

    Le Croissant Ouest et La Défense sont dans une situation un peu plus mitigée avec une offre conséquente de bureaux, avec au total, plus de 830 000 m2 de bureaux à livrer d’ici la fin de 2024, dont environ 70% sont encore disponibles. A l’inverse de Paris, il y a beaucoup plus d’offre que de demande, ce qui est tout à fait logique avec la mise en place du télétravail post confinements.

    Ralentissement de la croissance française et dynamisme du marché de l’emploi :

    En 2023, la croissance ne serait plus que de 0,5 % selon le scénario médian de la Banque de France.

    Après plusieurs mois de hausse, les prix à la consommation atteignent + 5,6 % à fin septembre 2022. En France, l’inflation atteindrait + 5,8 % sur l’ensemble de l’année selon la Banque de France, avant de diminuer à + 4,7 % en 2023.

    Le moral des ménages se ressent de cette dégradation du climat économique : l’indicateur de confiance a continué de se replier ces derniers mois (- 19 points entre janvier et septembre 2022) et atteint son point le plus bas depuis 2013 !

    Le marché de l’emploi a jusqu’à présent bien résisté à la dégradation du contexte économique. Cependant, les faillites d’entreprises sont quant à elles reparties plus fortement à la hausse au dernier trimestre 2022, avec près de 9 000 faillites enregistrées au 3ème trimestre 2022 , soit + 69 % sur un an.

    Le ralentissement de l’activité économique, le resserrement des conditions de financement et les difficultés de trésorerie des entreprises engendrées depuis la crise sanitaire, devraient amplifier ce phénomène en 2023.

    Les difficultés d’approvisionnement et la flambée des prix des matériaux devraient continuer de perturber les chantiers et engendrer des retards de livraison, tandis que les difficultés à commercialiser les nouveaux immeubles pourraient, dans certains secteurs, inciter leurs propriétaires à en décaler l’achèvement.

    Déséquilibre entre l’offre et la demande, due au fait que les vendeurs temporisent davantage avant de mettre leurs biens immobiliers sur le marché et il est peu probable que l’attentisme s’estompe.

    L’activité du marché de l’investissement pâtira pendant encore quelques mois de la nouvelle donne financière et de l’écart entre les attentes des vendeurs et ce que les acquéreurs sont prêts à débourser.

    Une correction des prix est néanmoins en train de s’opérer, ce qui devrait à terme donner plus de fluidité au marché et permettre de relancer certaines cessions.

    Le bureau reste malgré tout l’actif dominant, jouissant encore d’une réelle popularité quand l’immeuble est bien situé, bien loué, adapté aux nouveaux modes de travail et vertueux sur le plan environnemental. Si la demande reste assez vigoureuse, c’est en 2023 que la résistance du marché francilien sera réellement mise à l’épreuve compte tenu du ralentissement attendu de l’économie. Vous donnez des prévisions serait bien hasardeux et au-delà de nos compétences, mais en tous les cas l’immobilier de bureaux se maintient en termes de prix à Paris, contrairement à l’immobilier d’habitation qui laisse la place à de plus en plus de négociation.

     

    Une envie d’acheter un local commercial, de changer pour un bureau plus petit avec la mise en place du télétravail, ou bien tout simplement de délocaliser votre bureau en province, Homelike Office, présent sur le marché de la chasse de bureaux et locaux professionnels depuis 2014, vous évite les visites inutiles et surtout une perte de temps et d’énergie significative. Contactez-nous, Homelike Office saura dénicher votre futur bureau…

     

     

     

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